Vérité

Faut-il aimer la Vérité ? Il n’est pas rare de constater que bien nombreuses sont les personnes qui aiment la vérité. Historiens, journalistes, juges, explorateurs, police sont tous à sa recherche. Nous pouvons constater que le sujet associe deux notions contradictoires : l’amour et la Vérité. La Vérité est souvent définie de ce qui est conforme à la réalité, qui révèle du jugement où le sujet se doit

La vérité est-elle soumise au temps ? En quoi la vérité est-elle soumise ? D’entré de jeu, on remarque une question d’un air provocateur. En effet, la vérité dépend elle ou plus précisément obéit-elle à quelque-chose, ici le temps ? Par définition, la vérité est l’adéquation parfaite entre la réalité (qui est indépendante de l’homme) et la représentation qu’en fait l’homme. A ce titre il y a plusieurs forme de vérité : les vérités mathématiques, les vérités logiques, les vérités du sens

n°1 : La recherche de la vérité peut-elle être désintéressée ? Analyse du sujet : Le problème posé par le sujet renvoie aux conditions de possibilité de la recherche de la vérité( « peut-elle » au sens de « est-il possible ») mais aussi à sa légitimité ( « est-il en droit permis de ... »)Par ailleurs, il ne s'agit pas seulement de s'intéresser aux dimensions épistémologiques du sujet mais aussi à la plurivocité de la vérité (vérité historique, vérité judiciaire, vérité de foi...) et c'est du fait

Philosophie : De quelle vérité l’opinion est-elle capable ? I) Analyse paradoxale Dans nos sociétés actuelles, cette question peut paraître assez étrange pour quelqu’un qui ne s’intéresse pas vraiment à la philosophie. Pour beaucoup, l’opinion est une chose sacrée qu’il faut savoir respecter même si l’idée ne nous plaît pas et que l’on doit avoir l’humilité d’accepter que chacun n’a pas à penser comme nous. C’est un argument que l’on entend souvent. Les personnes qui cherchent à démontrer

La vérité est une notion très complexe: philosophie, science, religion la recherchent. Pour affirmer la vérité, il faut la connaître et la découvrir. La vérité pose avant tout un problème de définition et peut être considérée de plusieurs manières. En effet le terme de vérité est ambigu. Nous entendons par là une adéquation complète entre le réel et notre pensée, nous jugeons donc tout le vrai dans son rapport avec le réel. Le réel n’est pour autant par nécessairement la vérité. Mais peut-on fuir

La vérité La vérité fait partie de ces termes que la philosophie scolastique nommait des « transcendantaux », parce qu'ils sont toujours « au-delà » (trans) de tout ce qui est (ens), et que, comme tels, ils ne sont pas définissables : il ne s'agirait pas alors de les comprendre, mais de les saisir directement par une intuition immédiate. 1. Quel sens donnons-nous habituellement à la vérité ? Descartes remarque que l'on définit couramment le vrai comme ce qui n'est pas faux, et le faux comme

FAUT-IL AIMER LA VERITE ? Il peut sembler paradoxal de relier en philosophie l’amour à la vérité. En effet la vérité est ce qui est vrai comme une proposition ou un fait bien établi. De plus on peut distinguer deux sortes de vérités : les vérités éternelles ou de raison et les vérités formelles, consistant dans l’accord de la connaissance avec elle-même. Elle est de part en part un objet rationnel. Or, l’acte d’aimer est à l’opposé d’un acte de raison, aimer la vérité ne saurait donc être

Constant 1) Si le devoir de vérité était pris au sens strict comme devoir absolu et inconditionné ne souffrant aucune exception, il rendrait toute société humaine impossible. Il y a des cas où le devoir commande de mentir, par humanité, par politesse, pour sauver une vie, pour éviter un plus grand mal. 2) Un devoir n’existe que là où existe un droit réciproque. Où il n’y a pas droit à la vérité, il n’y a pas non plus devoir de vérité. 3) Je ne dois la vérité qu’à celui qui la mérite, qui en

Toute vérité est-elle démontrable ? A première vue, il sembleraient qu'une vérité n'est vraie que si elle est démontrée ou démontrable. Chacun, dans son existence, fait l'expérience de ce que l'on considère comme la vérité. Chacun a en conscience l'exemple des mathématiques ou des sciences appliquées : 2+2=4, sans aucun doute. Il est difficilement envisageable, sans y avoir réfléchi, d'admettre pour concret ou véritable quelque chose dont on ne peut pas prouver l'efficience. Néanmoins, si l'on

à une vérité. Mais cette formule n'est pas totalement exacte. Pouvons-nous affirmer que la vérité est absolue, c'est-à dire invariable, unique, complète, universelle ? Si oui ceci voudrait dire qu'il y a qu'une seule vérité pour n'importe quelle personne. Mais on peut aussi se demander comment démontrer une vérité relative, vérité qui varie d'un individu à un autre ? Pour tenter d'éclaircir ce problème, nous aborderons d’abord l’idée d’une vérité absolue dans laquelle on parlera de la vérité universelle