Verlaine La Musicalité

A la recheche la musicalité et l’innocence dans le poème de Verlaine Le ciel est, par-dessus le toit Introduction Certains livres, il est vrai, possèdent un pouvoir de transformer ou de faire dévier l'existence de quelqu'un, mais les poèmes aussi, appartient à ces puissances. Ces jours-ci, j'ai lu Sagesse de Verlaine,. Ce qui me donne une impression profonde, c’ est Le ciel est, par-dessus le toit... Dans ce poème, le poète chante ses paroles au coeur et je réfléchis beaucoup sur ces mots

------------------------------------------------- CORPUS : Texte A : Soleils couchants (1831) HUGO Texte B : La musique (1861) BAUDELAIRE Texte C : Soleils couchants (1866) VERLAINE Texte D : Texte surréaliste (1925) QUENEAU Texte E : Le grand combat (1927) MICHAUX Les cinq poèmes Soleils couchants de Hugo, La musique de Baudelaire, Soleils couchants de Verlaine, Texte Surréaliste de Queneau et le Grand combat de Michaux ont tous été écrits dans la même période, entre le XIXe et le XXe siècle : du romantisme

Mme Solomon « De la musique avant toute chose », clamait Paul Verlaine. La musique, cet art qui parle sans mot, semble au chœur de l’œuvre entière du poète. Si, dans son propre Romance sans parole le compositeur Mendhelson parvient à transformer sa musique en dialogue, Verlaine, dans le sien, transforme les paroles en musique. Son contemporain Léon Bloy acclame la finesse de la « suggestion », une particularité chez Verlaine, qui se distingue poétiquement grâce à cette capacité à faire passer

principalement mnémotechnique pour la transmission orale. Depuis, de nombreux auteurs font de la musicalité la caractéristique première de la poésie avant même l’attachement aux mots. Verlaine est le plus connu avec l’Art Poétique. Dans son œuvre considérée comme didactique, il établi quelques règles comme « […] l’indécis au précis […] », « Car nous voulons la Nuance encor » ; et il prône, pour plus de musicalité, l’utilisation du vers impair : « Et pour cela préfère l’Impair/Plus vague et plus soluble

Romances sans paroles est un receuil de poèmes écrit par Paul Verlaine en 1872-1873 pendant son voyage avec Arthur Rimbaud. Cet ouvrage est composé de quatre sections : Ariettes oubliées, Paysages belges, Birds in the night et Aquarelles, chacune formées de plusieurs poèmes très variés. Dans ce receuil Verlaine introduit aussi son nouvel esthétique moderne car il constate que les mots expriment, touchent et émeuvent plus par leur musicalité que par leur sens. Il traduit le monde mouvant de son paysage

Paul Verlaine, Romances sans paroles, « Ariettes oubliées », VII, 1874 « L’amour véritable n’est jamais malheureux «  nous dit Louis Scutenaire. Cependant Verlaine nous démontre le contraire lorsqu’il publie n 1874, un recueil de nouvelles Romances sans paroles dans lequel il inclut un groupe de neuf nouvelles intitulées les « Ariettes oubliées ». Verlaine est connue comme étant un poète maudit et en effet, la tristesse et l’échec sont un des caractéristiques du poème étudié dans cette analyse

l'Impair Plus vague et plus solide dans l'air Sans rien en lui qui pèse ou qui pose » Par cette citation, Verlaine résume sa vision de l'art poétique, outrepasse déjà les frontières entre poésie, musique, image, et sensations pour laisser libre cours à l'expérimentation de nouveaux procédés dans le but de mêler ces différents arts en un tout qui ne les dissocie pas. Verlaine, qui ne se reconnaît pas vraiment dans le mouvement romantique mais pas complètement non plus dans le Parnasse, ne

Commentaire de texte : Paul VERLAINE, « Mon rêve familier » Paul Verlaine a écrit les poèmes saturniens en 1886 : Le poème étudié fait partie de ce recueil de poèmes. « Mon rêve familier » est un poème qui suit les règles du sonnet, Il est donc constitué de deux quatrains et deux tercets d’alexandrins aux rimes embrassées avec alternance de rimes féminines et masculines. Depuis toujours une certaine musicalité est présente dans les poèmes de Verlaine, le sonnet possède également un rapport

de poèmes publié par Paul Verlaine en 1866. Il s’agit précisément du troisième poème de la partie intitulée « Paysages tristes ». Ce texte précède de huit ans le célèbre « Art poétique » (1874), considéré comme un manifeste symboliste. Il faut souligner, cependant, que même si Verlaine a été rapproché de la poésie du parnasse dans le contexte de la complexité des interactions entre le symbolisme et le romantisme, sa poésie reste difficilement classable. Certes, Verlaine s’inscrit dans la tradition

caractérise du lyrisme, Verlaine l’utilise dans son poème avec la phrases « sonnez, cloches ! » répéter deux fois dans ce quintil. Il utilise aussi des figures de styles typique du lyrisme comme l’antithèse « vieillard prématuré » ou encore la personnification de son cœur avec les verbes « redresse,brûle, sème, pousse, entonne.. », les adjectifs « vieux, pauvre » ou encore le mot « rides ». L’adjectif lyrique vient du mot lyre, l’instrument de musique car il est basé sur la musicalité. Dans son recueil