Verlaine Sagesse 1881

! ! ! ! ! ! ! Sommaire: ! ! 1. Paul Verlaine - « Initium » 2. Victor Hugo - « Aimons toujours ! Aimons encore » 3. Arthur Rimbaud - « Sensations » 4. Théophile Gautier - « Cher ange, vous êtes belle » Élégie VII. 5. Victor Hugo - « Demain dès l’aube » 6. Alfred De Musset - « À mon ami Alfred T. » ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Page 1 Préface: ! Ce florilège s’adresse aux personnes sensibles au beau langage qu’exprime la poésie. La poésie est, selon moi

a disparu avec lui. Paul Verlaine [pic] Paul Marie Verlaine dit Paul Verlaine, surnommé Le Prince des Poètes, est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Paul Verlaine naît en 1844 au 2 rue Haute-Pierre à Metz, d’un père capitaine dans l’armée et d’Elisa-Stéphanie Dehée, native de Fampoux, dans le Pas-de-Calais. Sa famille appartient à la bourgeoisie française. Ses parents arrivent à Paris en 1850, lorsque M. Verlaine obtient sa retraite de l’armée

amis……………………………………………………………………………… p 9 Evariste de Parny Le ballet des heures…………………………………………………………………. p 10 Gérard de Nerval L’Ennemi …………………………………………………………………………… …. p 11 Charles Baudelaire Chanson d'automne …………………………………………………………………p 12 Paul Verlaine Le Lac ………………………………………………………………………………p 13-14 Alphonse de Lamartine Le Pont Mirabeau …………………………………………………………………… p 15 Apollinaire La fuite du temps……………………………………………………………………. p 16 Zhu Ziqing Préface La fuite du temps est quelque

Le gouvernement tombe en 1899 et les républicains se regroupent face à l'agitation des nationalistes ; un Bloc des Gauches s'installe alors au gouvernement jusqu'à la Première Guerre mondiale. 1881 -1882 Les lois Ferry rendent l'école gratuite, laïque et obligatoire pour les enfants de 6 à 13 ans. 1881 Loi du 29 juillet qui vote la liberté de la presse. 1889 – 1892 Scandale de Panama En 1879, Ferdinand de Lesseps, satisfait de son canal de Suez, retente, avec de nombreux accords, son

Salammbô en 1862, puis Madame Bovary (1857), qui lui vaut un procès pour "outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes mœurs". Œuvres Madame Bovary 1857 Salammbô 1862 Paul Verlaine 1844-1896 Poète français. Il est l'auteur des Poèmes saturniens. Œuvres Poème saturniens 1866 Sagesse 1881 François RABELAIS (1483-1553) François Rabelais étudie le latin, le grec, et correspond avec le célèbre humaniste Guillaume Budé. Il a d'abord été moine et traducteur avant d'exercer

mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville. --Qu'as-tu fait, ô toi que voilà Pleurant sans cesse, Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà, De ta jeunesse ? Paul VERLAINE, Sagesse (1881) Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend

même phrase. Ex: -»Le clair-obscur» (oxymore) Ex: D’où viens tant de glace quand je suis tout de feu. (antithèse) ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots Ex: Allitération en [s] dans Colombine de Verlaine : Cassandre sous son Capuce ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers Ex: Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits ASSONANCE n.f. Répétition d’une même voyelle

| | |1862 : Les Misérables, Hugo | | | | | | |1866 : Poèmes saturniens, Verlaine | | | | | | |1868 : Les Fleurs du Mal, Baudelaire | | | | |

poèmes émouvants connus sous le nom de Poèmes de Fresnes. Fresnes Le parc de Sceaux à l'horizon, La route des pèlerinages, Les peupliers et les maisons, Nous offrent les libres images Avec lesquelles nos prisons Essayent de nous tenir sages. Les quatre murs de la cellule Sont peuplés quand tombe le soir Des feux où notre coeur se brûle, Des spectres que nul ne peut voir, Dans la foule pourtant circule Et nous tend les mains dans le noir. Un sifflet dans les corridors, Un oeil

et consubstantiel avec lui. Il ne doute pas qu’il ne fût destiné à être Hugo de toute éternité. Barbey d’Aurevilly, Les Poètes Témoin constant de la production – en particulier romanesque – de Hugo, Barbey lui consacre 24 articles entre 1838 et 1881, et ses autres critiques regorgent d’allusions à son propos. Il fait partie des détracteurs les plus virulents, car l’hugolâtrie de ses contemporains ne cesse de l’exaspérer ; il épingle Hugo sans complaisance, même s’il lui reconnaît un talent indéniable