Vers La Fin De La Troisième Année Le Père Goriot

ENFA Toulouse-Auzeville Monique FIORAMONTI – Professeur de LETTRES – FLAUBERT TROIS CONTES & Groupement de textes : Écriture et originalité du Conte de Flaubert ¶ Étudier TROIS CONTES en classe de : BAC PROFESSIONNEL – 2e année – ENSEIGNEMENT AGRICOLE Intégration au Référentiel de Bac Professionnel n Objectif 3 = lire et écrire : - découvrir l’œuvre littéraire, - développer son imagination et son raisonnement. • 3.1 = Analyser et comparer des textes littéraires • 3.2 = Enrichir ses connaissances

BALZAC “Illusions perdues” (1843) Roman de 630 pages Première partie “Les deux poètes” À Angoulême, vers 1820, David Séchard, qui a repris l’imprimerie vétuste de son père à Angoulême, désire révolutionner l’industrie de la papeterie. Pour le sauver du désespoir, il prend comme prote un ancien camarade de collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable local et la femme qui est la plus en vue dans la société aristocratique

philosophique (page 38) la destinée de l’œuvre (page 41) l’étude d’un passage (page 72) Bonne lecture ! Résumé Première partie “Les deux poètes” À Angoulême, vers 1820, David Séchard, qui a repris l’imprimerie vétuste de son père à Angoulême, désire révolutionner l’industrie de la papeterie. Pour le sauver du désespoir, il prend comme prote un ancien camarade de collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise

Analyse (la pagination est celle du “Livre de poche”) Intérêt de l’action Les deux premières parties ont été rédigées par Balzac en 1837 et 1838, la troisième en 1843 . Genre de l'histoire : Parlant d’”Illusions perdues” à la princesse Belgiojoso, Balzac lui écrivit le 2 mars 1843 : «C’est l'oeuvre capitale dans l'oeuvre». C'est en effet un roman d'une importance essentielle, le sommet de “La comédie humaine”, d’abord à cause de sa place dans la vie de Balzac : il a porté “Illusions perdues”

personnage dans un contexte social ou familial précis. TEXTE A Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1re partie, chapitre V, « Une négociation », 1830. [Le jeune Julien Sorel, fils de charpentier doué pour les études, a de très mauvaises relations avec son père. Celui-ci, pour s’en débarrasser, compte le placer chez M. de Rênal, le maire de Verrières.] – Réponds-moi sans mentir, si tu le peux, chien de lisard1, d’où connais-tu Mme de Rênal, quand lui as-tu parlé ? – Je ne lui ai jamais parlé, répondit Julien

principal, mais muet, chargé de l’intelligence du récit. C’est là qu’on vit, c’est cette maison que l’on quitte, c’est à elle qu’on revient, c’est elle qui demeure et mène vers La Comédie humaine, alors même que les personnages, Sommervieux par exemple, s’arrêtent à eux-mêmes. La Rabouilleuse, quant à elle, fait partie de la troisième série des Célibataires des Scènes de la vie de province. Les deux parties de ce roman, deux volets d’un diptyque, se présentent comme une sorte de soudure entre une scène

connivence avec le narrateur. Puis méditation sur la taille des landes qui suppose qu’on est sensible à un paysage. Les petites landes on a pas le temps d’être sensible à leur poésie mais pas pour les grandes landes. “mélancolie” “charme” ( = envoûtement, vers, poésie, ensorcellement)

Langue Français Parution  28 juin 1882 dans Gil Blas Recueil Le Père Milon Nouvelle précédente/suivante Rêves Clair de lune modifier  Confessions d’une femme est une nouvelle de Guy de Maupassant, parue en 1882. Historique[modifier | modifier le code] Confessions d’une femme est initialement publiée dans la revue Gil Blas du 28 juin 1882, sous le pseudonyme Maufrigneuse, puis dans le recueil posthume Le Père Milon en 18991. Résumé[modifier | modifier le code] Une vieille femme

comparable à la synecdoque, exprimant le tout par la représentation de la partie. D'une manière plus générale, cela s'illustre dans « l'effet Koulechov ». Lev Koulechov, à partir de l'étude de films et d'une série d'expériences, a conclu vers 1922 qu'une image a deux valeurs : 1. sa valeur en tant qu'image photographique; 2. la valeur acquise quand elle est associée à une autre, juxtaposée avec elle. En partant ainsi d'un plan du visage totalement inexpressif d'un acteur, Mosjoukine

on jouait des "tragédies": pièces qui racontaient des histoires dramatiques. Ce n'est qu'à la fin du Ve siècle av. J.C. que les "comédies", pièces qui racontaient des histoires drôles, apparurent. Plusieurs auteurs les ont écrites, on parle aujourd'hui de trois auteurs célèbres : Eschyle, Sophocle et Euripide. Les personnages préférés étaient les bouffons, les esclaves et les serviteurs. Une troisième forme de pièce existait : Les dithyrambes, chants religieux Le théâtre Grec était très religieux