Vers la paix perpétuelle

y’a un état de nature = à un état de guerre perpétuel de chacun contre chacun. Les libertés individuelles que nous possédons sont données au souverain pour la paix et la sécurité. * La théorie du CS interroge aussi le fondement du droit pénal, CAD le droit de punir de l’Etat, en quoi est-il légitime à punir ? Le droit de punir est légitime parce qu’il repose sur le consentement de tous. Il faut abandonner quelques unes de nos libertés pour garantir paix et sécurité. Parmi les droits que l’on va

créateur de contraintes et de règles pour les citoyens, n'est pas constitué, comme le pensaient Aristote et les théoriciens du droit divin, selon la "nature des choses", de façon définitive et éternelle. L'Etat est l'objet d'une renégociation perpétuelle de la part de ses membres. Il est donc le produit d'un "contrat", et les citoyens ont vocation à être leurs propres législateurs. Cette genèse de l'Etat permet de définir sa raison d'être : il n'existe pas pour lui-même, il n'existe que parce que

essence une véritable unité qui se réalise dans la synthèse dont il faut saisir le principe fécond permettant de parvenir à un niveau supérieur, à une authentique connaissance. La dialectique s’inscrit dans un processus d’évolution et de création perpétuelle. La dualité ne peut vivre que dans le mouvement et s’écroule dans le repos. Elle est partie intégrante de la nature. Dans la vie tout est à l’image du pavé mosaïque. Deux forces repoussent et attirent, agrègent et dispersent. Il faut distinguer

Mara et de Jacques ; Violaine la ressuscite. Avant de mourir à son tour, tuée par Mara, elle obtient pour cette dernière le pardon de son père et de son mari. Et, tandis que la lèpre de Pierre Craon a été mystérieusement guérie, Mara trouve enfin la paix dans le pardon, aux sons des cloches de l’Angélus, un ange du seigneur est venu annoncer Marie… Le drame est organisé en quatre actes auxquels précède un prologue. Quant on parle du cadre historique de ce drame, l’action est située au cœur

confirmer. La guerre entre russo-tchétchènes, une zone de fracture entre la civilisation orthodoxe et islamique, a repris en 1999 - l’occupation et la répression russe en Tchétchénie n’ont jamais cessées. Palestiniens et Israéliens ne sont toujours pas en paix. Mais l’événement qui vient confirmer le plus la thèse de S.H. reste les attentats du 11 septembre et ses suites. Une attaque qui comme le rapporte Bernard Lewis (cité dans le texte de S.H.), fait partie « d’une guerre pour l’islam contre les infidèles7 »

alors, sans détours, dans un combat contre l’injustice et éprouve, dans le malheur, un fort désir de liberté. 3. Un désir de liberté La forme du poème est la preuve la plus visible du désir de liberté qui occupe le poète : en effet, le poème est en vers libres, on remarque ainsi l’absence de rimes et de ponctuation. Paul Eluard abandonne alors les codes poétiques traditionnels, inscrivant son poème dans la modernité et exprimant son envie de changement, jusque dans son art. Cette envie libertaire

continent en un havre de paix, de développement et d'espoir et nous aimerions qu'elle inspire d'autres régions du monde. Il importe de se rappeler la profondeur des divisions et des haines qui animaient l'Europe après la seconde guerre mondiale. Les nationalismes exacerbés imprégnaient nos mentalités. Après l'horreur absolue de deux guerres, nos manières de voir étaient profondément remises en cause, les haines demeuraient, la paix était impossible mais la soif de paix immense. Peu à peu s'imposât

les rende. Mais on m'a dit que c'était défendu. Les premiers jours ont été très durs. C'est peut-être cela qui m'a le plus abattu. Je suçais des morceaux de bois que j'arrachais de fa planche de mon lit. Je promenais toute la journée une nausée perpétuelle. Je ne comprenais pas pourquoi on me privait de cela qui ne faisait de mal à personne. Plus tard, j'ai compris que cela faisait partie aussi de la punition. Mais à ce moment-là, je m'étais habitué à ne plus fumer et cette punition n'en était plus

en l’absence de celle-ci. Mais même s’il amenuit le terrain d’étendue de sa liberté, il ne se révolte pas ( « il se trouva définitivement enchainé dans le carcan de la société et de la paix ». Etrangement sa nature primaire ne le force pas à se révolter, il s’accommode de ce « carcan ». Mais il avance également vers une conscience plus haute, le deuxième degré, la conscience réflexive. L’homme n’est plus seulement conscient de son corps, de ses besoins ou de ses émotions, il s’analyse lui-même comme

des douanes * La cartographie = moment clé dans la construction de l’Etat, on définit le territoire (grande importance) 1-2. Le traité de Westphalie ou la naissance de l’Europe politique moderne * Traité de Westphalie = traité de paix de 1648 qui marque la naissance du système international et met fin à la guerre de Trente ans (1618-1648) 1ere fois que les gds Etats d’Europe se rencontrent tous ensemble (ce traité a remodelé l’Europe) * 3 principes de la souveraineté (fragmentée) :