Versification Le Pouvoir De Fable

Lecture Analytique n°2 La Fontaine, "Les animaux malades de la peste" Séquence: ARGUMENTATION Introduction. • La fable: court récit argumentatif qui délivre une morale. • La Fontaine: auteur (fabuliste) du XVIIème siècle. Appartirnt au mouvement littéraire du classicisme. Protégé par Nicolas Fouquet, surintendant du roi Louis XIV. Il entratient des rapports assez diqtants avec la Cour de Louis XIV, et conserve sa liberté d'esprit. Connu pour ses contes mais surtout pour ses fables. Il publie

Parnasse.1692, il tombe gravement malade ( supposition de tuberculose) et meurt le 13 Avril 1695, meurt en tant que grand homme connu, grand homme de Lettres.B. La Fable : éléments de définitionLa Fontaine n’est pas le créateur des Fables. La Fontaine reprend l’hisoire, les personnage et même la moralité, mais rajoute de lui la versification, il met en vers. Sa forme d’écriture est personnel.Petit genre, genre modeste. Pas aussi grand que la tragédie. Pas la même considération.Vocation didactique, transmettre

dont certaines sont des réécritures: Antigone en 1944, Médée en 1946, Eurydice en 1941. Il a également œuvre en qualité de metteur en scène. En 1962, ses réécritures s'inscrivent dans un autre genre: la fable. Il publie en effet un recueil intitulé Fables.   Eléments pour une introduction: La fable, genre ancestral, semble se prêter particulièrement bien aux réécritures. Si Jean de La Fontaine s'inspire en effet abondamment d'Esope ou de Phèdre et de Pilpay au XVII°, Anouilh ou Charpentreau donnent

ailes et à chanter sa victoire avec orgueil. Mais un oiseau de proie le vit, fondit sur lui et l'enleva à l'instant même ». On note ici la similitude avec la fable du même nom de La Fontaine. Loqman le Sage est ainsi le précurseur de l’apologue, bien avant Ésope et Phèdre.  Ilustration des Deux Coqs 1) Ésope : la matière de la fable Ésope est un fabuliste grec du VIe – VIIe siècle. On connaît peu de choses de sa vie, mais l’on suppose qu’il eut été esclave, puis affranchi, il est envoyé

seul animal n’est pas figé dans un rôle mais offre différentes facettes de son caractère. C’est là la richesse de la nature… humaine La morale n’est pas toujours exprimée : quelquefois elle est implicite : il faut la déduire. C’est le cas de la Fable « La Cigale et la Fourmi ». L’absence de morale clairement exprimée invite d’autant plus le lecteur à réfléchir, à se poser des questions . La Fontaine n’a pas inventé le jeu des emblèmes1 où chaque animal représente une caractéristique humaine

Objectifs culturels : Comprendre l’importance et l’intérêt de la reprise d’œuvres antiques à travers la comparaison de deux textes traitant d’un même sujet, savoir définir le genre de la fable et les registres merveilleux et comique. Objectifs méthodologiques : faire une recherche lexicale afin d’établir des nuances de sens ou de niveau de langue, comparer des textes traitant d’un même sujet, savoir observer un texte et son para texte, construire une réponse argumentée. Supports : - Pour

Introduction • Fable distrayante, avec une description des circonstances, des pers, une richesse du dialogue. La Fontaine donne autant d'importance au récit qu'à la morale mais garde une visée satirique. On assiste ici à une démonstration de la loi sociale : la raison du plus fort. • La fable amène une réflexion sur l'injustice à cause de la décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. I. Une fable dynamique et structurée

Pairs, correspondance abondante. Hugo est un poète qui appartient à la première génération romantique, chef de fil de ce mouvement : il considère le poète comme un être différent, visionnaire à qui il octroie une mission sociale et historique. Fable ou Histoire appartient au livre III du recueil poétique Les Châtiments., écrit en novembre 1852, Elle suit le cri furieux « L’homme a ri ». En découvrant le pamphlet Hugolien, Napoléon le petit, ( l’empereur ) aurait pris le livre et ironisé : «

 Les fables, par leurs qualités, sont bien destinées aux enfants. En effet, elles ont une apparence simple, amusante, qui permet de faire étudier l’enfant en le captivant. La fable s’inscrit souvent dans un cadre merveilleux. Elle rend vivant des objets inanimés comme « Le Cierge » (Livre IX, fable 12) victime de sa trop vive curiosité, et dote les animaux de la parole. Ces derniers se querellent, se lamentent, et qui ont très souvent des manières proches de celles des hommes. Ainsi dans « Le

de la fable « Le loup et le chien ». La fable est une forme d’apologue, qui comporte souvent un récit précédé ou suivi d’une morale. Les plus célèbres sont celles de Jean de La Fontaine, auteur du XVIIe siècle, qui connut un immense succès, sans doute par que ses fables répondaient à la grande doctrine du classicisme « plaire et instruire ». Dans « le loup et le chien », extrait du livre I des Fables publié en 1668, nous ne trouvons pourtant aucune morale explicite. En effet, cette fable est composé