Vertu Cardinale La Prudence

intérieure ? Le tyran a-t-il espoir de conservation de son pouvoir éternellement ? La vertu n’est elle pas la seule a pouvoir répondre à long terme aux inclinations humaines qui empêche l’homme d’être heureux. Nous verrons d’ abord que le pouvoir peut superficiellement rendre heureux un tyran, mais cependant cet état n’est que provisoire et tient a la satisfaction et au plaisir. Le vrai bonheur eternel est le fruit d’une vertu irréprochable. Il y aurait des tyrans heureux 1) Seul l’injuste serait

l’Eglise nous a rapporté ces faits incontestables. L’Eglise est notre mère, c’est Elle qui nous nourrie. Mais ni avec des pommes de terre ou des fayots pourris ! Mais avec l’espérance, la foi, la charité, ces nobles vertus théologales qui font échos aux vertus cardinales force, justice, prudence et tempérance. « Orare et labore », cette devise intemporelle mais si présente que nous ne la voyons pas toujours passer. La liturgie et les textes sacrés nous avertissent pourtant tous les ans de ce qui nous attends

infaillibles, appelée science, que très peu possèdent, et seulement sur peu de choses, qui n'est ni une faculté innée née avec nous, ni une faculté acquise en s'occupant de quelque chose d'autre, comme la prudence, je trouve une plus grande égalité entre les hommes que l'égalité de force. Car la prudence n'est que de l'expérience qui, en des temps égaux, est également donnée à tous les hommes sur les choses auxquelles ils s'appliquent [5] également. Ce qui, peut-être, fait que les hommes ne croient pas

celui qui veut écarter son âme (du corps) le fasse hardiment, s'il peut ». Il les associe donc bien, car pour lui il faut beaucoup de courage et d'audace pour les séparer l'un de l'autre. La tempérance est une des quatre vertus cardinales selon Platon à côté du courage, de la prudence et de la justice. Elle sert à maitriser ses envies et à garder des désirs dans les limites de l’honnêteté pour pouvoir être heureux ainsi que malheureux. C'est pour cela que Montaigne la recommande afin de ne pas trop

Au XVeme siècle, la France est au centre d'un brassage ethnique et artistique. C’est dans sa capitale que l’art gothique se développe au milieu du 12e siècle et s'étend ensuite à l’ensemble de l’Europe Occidentale. La peinture de style gothique est enrichie d’apports variés et évolue au cours du temps. Mais en 1384, à côté de Paris, se forme un puissant Etat, l'état Bourguignon qui comprend plusieurs régions, les Pays Bas, la Belgique, le Luxembourg et le Nord de la France. Cet état a une intense

morale » et fixe comme objectif de se concentrer sur les valeurs sur lesquelles tous les hommes s’accordent, laissant à chacun ses propres opinions, ou croyances religieuses. Au titre de ces valeurs sont mentionnées : la tolérance, l’universalisme, les vertus morales, la liberté d’opinion, la fraternité et ce qui est noté comme une valeur essentielle : la Bienfaisance.La franc-maçonnerie naissante adhère à la philosophie des Lumières, prône le système représentatif et la Raison, et pratique dès le XVIIIe

les vertus correspondant à la ferme volonté d’accomplir le bien clairement connu par la raison. On peut évoquer les quatre vertus cardinales : la prudence, la tempérance, la force (au sens de courage) et la justice. Celles-ci prônent la recherche du véritable bien, la maîtrise de la volonté sur les instincts, le maintien des désirs dans les limites de l’honnêteté et évoquent les meilleurs moyens à adopter pour accéder le plus facilement et le plus justement au bonheur. D’ailleurs : « La vertu seule

C’est recherché pour lui-même et par soi-même et donc, c’est impossible que le souverain bien soit le plaisir parce que le plaisir est éphémère. #3 En vous rappelant les critères de reconnaissance de la vertu authentique, présentez (en les justifiant) deux autres exemples de fausses vertus, à côté de ceux donnés par Aristote. Hypocrisie, afficher un comportement aimable mais actions pas guidées par le souci des autres (façade trompeuse). Manipulation, viser un objectif important mais

limite pas à trancher : c’est un ensemble de vertus entremêlées qui fera que celui qui rendra la justice le fera équitablement. LA JUSTICE, Raphaël (Vatican 1510) L’iconographie a eu un engouement pour la représentation de la Justice sous diverses formes. Raphaël nous en donne ici un magnifique tableau. Dans l’antiquité grecque, Thémis (déesse de la loi éternelle), a engendré de ses amours avec Zeus, des divinités qui incarnent les vertus du droit : Eunomia (la discipline), Eiréné

| |Aveu |-Il est, à mon sens, d’un plus grand homme de savoir avouer sa faute que de savoir ne la pas faire. | | |Paul de GRONDI , cardinal de Retz, Mémoires. | |Aveugle |-Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.