Vertumne

Palais du Luxembourg à Rubens. Ici elle est représentée sur les genoux de Minerve, Mercure tombe du ciel et lui donne le gout des arts, et les trois grâces représentent la féminité = il représente toutes les qualités de la reine. Anthon VEN Dick, Vertumne et Pomone tiré des métamorphoses d’Ovide. Jeu de séduction où nous sommes à un moment décisif, Ven Dick vaut nous toucher et on voit cupidon qui s’en va fâcher car on n ‘ a plus besoin de lui. Nicolas Poussin est français mais il a peint toute sa

panneau respectif. Au dos du diptyque figure Le Triomphe des deux époux. Ces tableaux à deux faces s’inspiraient certainement de l’art des monnaies et des médailles avec leurs avers et leurs revers. Guiseppe Arcimboldo, L’Empereur Rodolphe II en Vertumne, vers 1591 Le portrait de Rodolphe II en dieu des saisons est entièrement composé de fruits : épis, millet, raisins, melons, pommes, pêches, et bien d’autres encore. Loin d’être une caricature, ce portrait de l’empereur, ainsi transformé en paysage

élevaient des troupeaux de chèvres ou de brebis, ou des ruches d'abeilles. À Rome, il était considéré comme un dieu protecteur des jardins. C'était lui, croyait-on, qui les gardait et les faisait fructifier. Mais il ne doit pas être confondu avec Vertumne. On le représente le plus souvent en forme d'Hermès ou de Terme, c'est-à-dire en buste sur un socle, avec des cornes de bouc, des oreilles de chèvre, et une couronne de feuilles de vigne ou de laurier. Les anciens avaient coutume de barbouiller ses

parfait ; et les artistes de l’Antiquité étaient considérés à cette époque comme étant insurpassables. La littérature antique est donc la base de ces peintures de la Renaissance comme par exemple l’œuvre majeure de Homère : l’Iliade et l’Odyssée Vertumne et Pomone de Van Dyck 19 / 37 TPE / Diffusion de la peinture humaniste à travers l’Europe Ou encore Antigone de Sophocle : 2. La culture antique La leçon de l’Antiquité est partout. À son exemple, le nu devient pour les artistes de

élevaient des troupeaux de chèvres ou de brebis, ou des ruches d'abeilles. À Rome, il était considéré comme un dieu protecteur des jardins. C'était lui, croyait-on, qui les gardait et les faisait fructifier. Mais il ne doit pas être confondu avec Vertumne. On le représente le plus souvent en forme d'Hermès ou de Terme, c'est-à-dire en buste sur un socle, avec des cornes de bouc, des oreilles de chèvre, et une couronne de feuilles de vigne ou de laurier. Les anciens avaient coutume de barbouiller

INTERDISCIPLINARITE AU CYCLE 3 Annexe 5 : fiche de sciences : pour avoir une alimentation équilibrée Carine CREPIN – HUART Année 2005-2006 37/50 MEMOIRE DE FIN DE CYCLE : L’EXPLOITATION D’UN ALBUM EN ANGLAIS EN INTERDISCIPLINARITE AU CYCLE 3 Annexe 6 : Vertumne Rodolphe II de Giuseppe ARCIMBOLDO Carine CREPIN – HUART Année 2005-2006 38/50 MEMOIRE DE FIN DE CYCLE : L’EXPLOITATION D’UN ALBUM EN ANGLAIS EN INTERDISCIPLINARITE AU CYCLE 3 Annexe 7 : « le Jardinier » de Giuseppe ARCIMBOLDO Carine

également un grand mécène, confirmant en 1595 les privilèges de la corporation des peintres et acquérant de nombreux tableaux du Titien, d'Albrecht Dürer ou des Brueghel qu'il installe au Château de Prague. L'Italien Giuseppe Arcimboldo le peignit en vertumne et reçut le titre de comte palatin. Le Kremlin de Moscou : Il y a plusieurs siècles de cela, la Renaissance a transformé le visage de la Russie. Ivan III voulait de nouvelles idées pour incarner son puissant Etat centralisé, et voulait bénéficier

grenades, olives, etc. Nous ne croyons pas nous tromper, en attribuant statue à en adoptée la classe aisée. genoux une Celte statue tient sur ses beille généralement Pomone, déesse des fruits femme du dieu champêtre Vertumne, temple à Rome. chez les laquelle celte Latins, avait 20 un — 234 — FiG. 37. Socle en pierre de statue aux pieds chaussés de la solea Au-dessous, dans un encadrement, suivante, dont le style

tentèrent point, pour conquérir ses charmes, les satyres, jeunesse folâtre et dansante ; les Pans, dont le pin couronne la tête ; Silvain, toujours jeune dans ses vieilles années ; et le dieu difforme des jardins, qui de sa faux écarte les voleurs ! Vertumne, avec plus d'amour, n'était pas plus heureux. Combien de fois, pour chercher les regards de Pomone, il prit l'habit du rude moissonneur, et courba sa tête sous le poids des gerbes ! Combien de fois, couronné de guirlandes de foin, il offrit l'image

qu'il était à la fois le bon et le mauvais principe, le protecteur et l'ennemi, le dieu et le diable reconnus en Égypte. Moïse, selon ce savant homme, est le même que Zoroastre. Il est Esculape, Amphion, Apollon, Faunus, Janus, Persée, Romulus, Vertumne, et enfin Adonis et Priape. La preuve qu'il était Adonis, c'est que Virgile a dit : Et formosus oves ad flumina pavit Adonis. (VIRGILE, églogue X, V. 18.) Et le bel Adonis a gardé les moutons. Or, Moïse garda les moutons vers l'Arabie. La preuve