Victor Hugo Contre La Guerre Et Pour La Lutte

provient essentiellement des conflits politiques. La guerre est ainsi omniprésente, aussi bien dans la poésie que dans les romans. Cependant, la littérature engagée n’apparaît pas suite à la seconde guerre mondiale. En effet, des artistes comme Ronsard qui dénonçait les guerres de religion, Voltaire et sa lutte contre l’obscurantisme ou encore Victor Hugo et son opposition au second empire ont été des artistes engagés bien avant la seconde guerre. Cet engagement va s’intensifier pour atteindre son

une fille du peuple, vivante et fougueuse, qui incarne la révolte et la victoire. Coiffée du bonnet phrygien, les mèches flottant sur la nuque, elle évoque la Révolution de 1789, les sans-culottes et la souveraineté du peuple. Le drapeau, symbole de lutte, faisant un avec son bras droit, se déploie en ondulant vers l’arrière, bleu, blanc, rouge. Du sombre au lumineux, comme une flamme. La pilosité de son aisselle a été jugée vulgaire, la peau devant être lisse aux yeux des rhétoriciens de la peinture

Fables (16681693), livre VIII, fable 6, "Les Femmes et le Secret". MOLIERE, Les Femmes savantes (1672), I, 1, débat entre Armande et Henriette, "Mon Dieu, que votre esprit... qui sont de la matière." MONTESQUIEU, Lettres persanes, lettres 161 (1721) HUGO, Les Misérables, première partie « Fantine » 1862 SIMONE DE BEAUVOIR, extrait de Le Deuxième sexe (1949) * Il est possible aussi de supprimer une lecture analytique. 1 II. Deuxième séquence : Lecture cursive de VOLTAIRE, Candide, 1759, avec quelques

L'HUMANISME Le retour de la paix favorise un important mouvement culturel : l'humanisme. Il s’agit d’un grand élan qui porte les hommes de la Renaissance vers l'étude des lettres anciennes. Des professeurs et des intellectuels veulent réagir contre l'enseignement des Universités qui s'est sclérosé; aussi prônent-ils la lecture des chefs-d’œuvre de la littérature latine. Le mot humanitas désignant la culture, ils appellent leur enseignement lettres d'humanité et bientôt on les nomme eux-mêmes

désarroi ressenti devant la toile. Il existe une toile d’Odilon Redon, Copie d’après la Chassse aux Lions, exposée au musée des Beaux-arts de Bordeaux qui relate de manière plus explicite la scène. On y voit deux lions se débattant sauvagement contre des hommes voulants les chasser. Cette scène est d’une intense férocité et montre l’instinct animal face à la mort. Un point étonnant dans cette peinture est à relever : Les hommes affichent un visage serein et assuré, ce qui est assez troublant

atour de Victor Hugo et de quelque jeunes poète inféodes au partie conservateur continuent à y voir surtout l'expression d'une sensibilité nouvelle et d'aspirations religieuses et spirituelles, d'autres, réunis autour de Delécluze et de Stendhal, héritiers de Mme de Staël et libéraux en politique, entrevoient déjà plus nettement la nécessité d'une révolution littéraire. 3) Premier combat (1824 – 1826): De 1824 à 1826, les deux groupes restent nettement distincts. mais la guerre que les partisans

arts, états, pouvoirs (œuvre engagée). 2) Décrire l’œuvre et en expliquer le sens Premier plan : Les morts On voit des cadavres, un d'un révolté, dépouillé de son pantalon, un autre d'un soldat suisse du Roi Charles X et un dernier, face contre terre. Ces corps morts montrent la violence, leurs visages blêmes, pâles, avec du sang montrent la mort en face, réaliste. Leurs vêtements sont déchirés. Deuxième plan : Les vivants Toutes les classes sociales sont représentées, ce qui montre

langue française : texte dans lequel Du Bellay défend le français comme langue de culture et illustre sa théorie en variant les genres, en imitant les Anciens, en créant de nouveaux mots. XVII° siècleLa préciosité Ce mouvement est né d’une réaction contre la grossièreté des mœurs à la cour d’Henri IV. Il recherche le raffinement dans l’expression, les manières, les sentiments (amour platonique, courtois), les idées.La préciosité s’épanouit à l’hôtel de Rambouillet et dans les salons, tel celui de Melle

une fille du peuple, vivante et fougueuse, qui incarne la révolte et la victoire. Coiffée du bonnet phrygien, les mèches flottant sur la nuque, elle évoque la Révolution de 1789, les sans-culottes et la souveraineté du peuple. Le drapeau, symbole de lutte, faisant un avec son bras droit, se déploie en ondulant vers l’arrière, bleu, blanc, rouge. Du sombre au lumineux, comme une flamme.  Son habit jaune, dont la double ceinture flotte au vent, glisse au-dessous des seins et n’est pas sans rappeler les

Convictions religieuses Selon Alain Decaux[142], Victor Hugo, élevé par un père franc-maçon et une mère qui n'est jamais entrée dans une église se construit une foi profonde mais personnelle. Victor Hugo n'a jamais été baptisé, a tenté l'expérience d'un confesseur mais finit sa vie en refusant l'oraison des églises. Il reproche à l'Église le carcan dans laquelle celle-ci enferme la foi. Alain Decaux cite[142], à ce sujet, cette phrase prononcée par Olympio: « Les dogmes et les pratiques sont des