Victor Hugo Fables Ou Histoires

n’est pas envisageable pour quelqu’un qui souffre et qui ne souhaite pas vivre dans de telles conditions. Victor Hugo, un des plus grands auteurs de tous les temps, écrit « Veni, vidi, vixi » peu avant sa mort. Dans ce poème, Hugo voit la mort comme une délivrance qui le délivrera du supplice qu’est devenue sa vie et qui lui permettra de retrouver ses proches dans l’au-delà. Dans ce contexte, Hugo parvient à effacer l’image tant redoutée de la mort et fini par l’espérer. Le dernier poème de cette anthologie

et lui assurant qu’avec ceci on peut tout obtenir. La fin laissant le dernier mot à la fée montrant donc bien que tout s’achète avec l’argent même la plus pure et simple volonté « contemplation simple » 2) Les Morales que nous avons tirées des fables ne sont pas conforme (on pourrait même dire s’oppose) à ce qu’on appelle communément la morale. En effet si on part de la morale comme une théorie de l’action humaine visant au bien les morales, la fourmi de La fontaine aurait dû aider son congénère

En 1695, Charles Perrault défendit dans sa préface des Contes en Vers les valeurs de l'apologue, plus précisément des fables et des contes. Il affirma notamment que «Ces bagatelles n'étaient pas de pures bagatelles, qu'elle renfermaient une morale utile et que le récit enjoué[…]instruisît et divertît tout ensemble ». Comment les auteurs d'apologues font-ils pour mêler enseignement et plaisir à la lecteur dans leurs récits ? Nous verrons dans un premier en temps la manière d'enjouer le récit qu'utilisent

* Far-niente, Théophile Gautier : page 12 * L’envie : page 14 * La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf, Jean de La Fontaine * La colère : page 16 à 19 * Le legs, Robert Desnos : page 16 * Melancholia, Victor Hugo : page 18 * La luxure : page 20 * Le serpent qui danse, Charles Baudelaire * Union libre, André Breton PREFACE Dans le dictionnaire, la poésie nous est définie comme un « Art du langage écrit généralement en vers ou en prose

et les sauces lui dégouttent du menton et de la barbe» (ligne11). Il parvient à nous convaincre grâce à un raisonnement logique qui nous oblige à réfléchir sur les travers humains. Il en est de même pour certains recueils comme Choses vues de Victor Hugo. Hugo traite cette scène de rue comme une fable politique résumant la situation de la société française en 1846. Narratif et descriptif, ce texte révèle une intention argumentative. La description laisse percer les sentiments du narrateur vis à vis

Le roman raconte une histoire par l'intermédiaire d'un narrateur. Il développe une intrigue en présentant au lecteur une succession d'événements. Il crée un cadre spatio-temporel organisé et structuré en jouant sur l'alternance entre l'enchaînement des actions et la description des lieux et des personnages. Cependant le roman n'est pas seulement fictif et divertissant. De nombreux auteurs font passés un message dans leurs histoires. Ils y défendent des causes et y dénoncent des injustices. La forme

se développe, s'affirme, et voit naître ses oeuvres les plus célèbres. Balzac (Honoré de) : Les Illusions perdues Dumas (Alexandre) : Les trois mousquetaires. Flaubert (Gustave) : L'Education Sentimentale .- Trois contes. Hugo (Victor) : Notre-Dame de Paris .- Les Misérables. Maupassant (Guy de) : Une vie .- Boule de suif .- Bel-ami . Zola (Emile) : L'Assomoir .- Germinal. Dostoievsky (Fédor) : Crime et châtiment. Mérimée (Prosper) : Carmen [nouvelles].

 La littérature est variée, elle est composée de plusieurs mouvements littéraires qui différencient la tournure d'une histoire. Cependant la notion d'histoire ne perdra pas son sens premier : la mise en lecture de l’évolution d’événements ou de personnages réels ou inventés par l'auteur. Elle n'obéit à aucune règle fixe et laisse donc à l'écrivain une liberté de composition pour la construction de la fin de son récit. Celle-ci peut très bien être définie dès le début du récit pour être révélée au

Histoire et mouvements littéraires Chaque écrivain, chaque œuvre littéraire possèdent leur singularité, que la lecture analytique s’efforce de mettre en lumière. Mais ils appartiennent également à une époque, ils se rattachent ou s’opposent à des mouvements littéraires ou esthétiques qu’il est important d’identifier. Les mouvements littéraires, culturels, esthétiques se succèdent dans l’histoire, le plus souvent en réaction contre ceux qui les précèdent. Ils se définissent par des thèmes

Le corpus est constitué de quatre textes, appartenant à trois genres littéraires distincts. L’apologue est deux foisreprésenté, avec une des Fables de La Fontaine, « La cour du lion », et une autre de Victor Hugo, extraite des Châtiments: « Fable ou histoire ». Le conte philosophique est aussi présent, avec un extrait de Candide ou l’optimisme, de Voltaire. Le théâtre, enfin, trouve sa place dans ce corpus avec une scène d’Ubu roi, d’Alfred Jarry. Tous ces textes ont en commun de proposer une