Victor Hugo Georges Et Jeanne

pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Ses œuvres : Les Précieuses ridicules (1659), Tartuffe (1664), Don Juan (1665), Le Misanthrope (1666), George Dandin (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), L’Avare (1668), Les Fourberies de Scapin (1671), Les Femmes savantes (1672), etc. Racine (1639-1699) Issu d’une famille modeste, très tôt orphelin, Racine est recueilli par sa grand-mère qui le

Jean Nicolas Arthur Rimbaud Il est né à Charleville en 1854, il est le fils d’une mère sans tendresse et d’un père militaire. Il a été élevé dans les règles religieuses le plus strictes. Il est très bon élève mais il a une mauvaise réputation. Il a été remarqué pas un professeur aux idées révolutionnaires, Georges Izambard, pour ses dons en latin et en rhétorique, mais aussi pour sa révolte et sa soif d’évasion. Il va l’initier à la poésie moderne et lui faire découvrir Rabelais et Victor Hugo

rime est constituée d'au moins deux sonorités (voyelle + consonne ou inversement) : elle est alors suffisante. Ex. : « Il neigeait. On était vaincu par sa conquête. Pour la première fois l'aigle baissait la tête. » (Victor Hugo, « L'Expiation », 1852 ; Les Châtiments, 1853 et 1870.) Dans le cas où la rime n'est constituée que d'une seule voyelle, on dit qu'elle est pauvre. Ex. : « Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits Ceux qui m'ont

monde réel où il est incompris tel un poète maudit. Le poète peut également parler de l'amour, une source de souffrance que beaucoup raconte lors de la période du romantisme au début du XIXème siècle, comme dans le poème d 'Alfred de Muset « A George Sand (I) » où le poète raconte le retour de l'être aimé qui avait disparu pendant trois ans, il lui dit « Mets la main sur mon cœur, sa blessure est profonde » ce qui exprime la souffrance de l'absence de l'être aimé. Un poète, comme n'importe quel

dessin de Louis-Philippe en Gargantua. En 1835, la loi contre la liberté de la presse l'oblige à s'orienter vers la caricature de mœurs. Il meurt aveugle en 1879, âgé de soixante et onze ans. C’est en 1866 que le chansonnier et révolutionnaire Jean-Baptiste Clément écrit les paroles de la future romance Le Temps des Cerises. Né en 1837, dans la région parisienne, ce fils d’un riche meunier avait rompu avec sa famille et gagna sa vie dès l’âge de 14 ans comme ouvrier monteur en bronze. Par la

LE ROMANTISME ET LE R ~ A L I S M E BALZAC DE peu de chronologie : Lamartine est n i en 1790; Vigny en 1797; Balzac en 1799; Victor Hugo en 1802; Dumas p i r e en 1803; George Sand en 1804. C’est la grande giniration romantique, les vrais “enfants du si2cle”, dont Musset, n i en 1810, Thiophile Gautier, n i et en I 8 I I, sont les Benjamins. Quelques dates encore: le premier roman de Balzac qu’il ait signi, L e s Chouans, parut en I 829 ; les derniers qu’il ait terminis Iui-mEme sont de 1847. Ses

François VIBERT : Pridamant – Roger CORNILLAC : Dorante – Roger BLIN : Alcandre – Roland DUBILLARD : Matamore – Pierre ARDITI : Clindor – Dominique LABOURIER : Isabelle – Danièle LEBRUN : Lyse – Jacques LALANDE : Géronte – Jean LESCOT : Adraste – Jean O’COTTRELL : le page – Jean-Pierre BAGOT : le geôlier – Marc-Ludovic CHAPITEAU : Éraste DISCIPLINES – Français. – Littérature. – Théâtre. – Éducation artistique. – Éducation aux médias. NIVEAUX DE PROGRAMME – Collège-Lycée. De la quatrième à

1870- 1940 La IIIème République : La République est de nouveau instaurée en dépit des royalistes qui ne réussissent pas à ramener le roi . On crée une république modérée qui va durer jusqu'en 1940. Les Républicains (Jules Ferry, Léon Gambettta, Georges Clemenceau ) savent concilier les réformes (en particulier l'enseignement laïque et la modération). Cependant, ils attaquent l'Eglise catholique. Leur anticléricalisme, qui aboutit à la séparation de l'Eglise et de l'Etat en 1905, représente une position

Victor HUGO (France) (1802-1885) Né à Besançon, le 26 février 1802, il fut élevé à Paris, loin de son père, Léopold-Sigisbert qui, issu d'une lignée de cultivateurs et d'artisans lorrains, était officier dans l’armée napoléonienne où il allait s'élever par degrés au grade de général. La gloire militaire, avec ses accents d'épopée sous l'Empire, marqua son enfance. Sa mère, d'origine vendéenne et d'esprit voltairien, unissait à un déisme émancipé des convictions royalistes. La « blonde enfance»

par la subtilité des sentiments). On retiendra : Maurice Scève, Olivier de Magny, et deux femmes : Louise Labé et Pernette de Guillet. De la Brigade à la Pléiade : A Paris, étudiants en langue et civilisation gréco-latines auprès de l'humaniste Jean Dorat, Joachim Du Bellay et Pierre de Ronsard fondent un groupe avec pour intention de défendre la poésie française (contre la poésie latine) en la nourissant des trésors de l'Antiquité. En 1549, la Brigade se dote d'un manifeste signé par Du Bellay