Victor Hugo Subjectivité

poèmes s’explique par la similitude dans leur thème commun : l’amour. En premier lieu, le romantisme, mouvement littéraire et culturel apparu à la fin du XVIIIe siècle jusqu’aux années 1850. Le Romantisme se caractérise par la représentation de la subjectivité. L’œuvre exprime des sentiments individuels confrontés à l'espace naturel, signe de la présence du divin. Le poète romantique se fait le témoin des sentiments amoureux et religieux de son temps. Ses poèmes évoquent principalement l'amour et la

plusieurs intrigues, et les époques et les lieux peuvent être multipliés. L’histoire se situe généralement à une époque récente. Le héros du drame romantique est passionné, et le dénouement de la pièce est malheureux, comme dans la tragédie.
Cf. Victor Hugo, Préface de Cromwell : Que ferait le drame romantique ? Il broierait et mêlerait artistement ces deux espèces de plaisir1. Il ferait passer à chaque instant l’auditoire du sérieux au rire, des excitations bouffonnes aux émotions déchirantes, du

de liberté qui s’inscrit dans les grands moments de la conscience humaine. Beaucoup d’autres œuvres littéraires ont marquées un tournant dans des idéologies, des débats ou encore des réformes comme, par exemple, Le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo traitant de la peine de mort. On a toujours utilisé la littérature dans un but précis et ce quelque que soit le genre littéraire auquel appartient une œuvre ou son contexte historique. Le plus souvent elle a fait bouger l’histoire et la mentalité

Lecture analytique 1 -> Les misérables de Victor HUGO (1862) BIOGRAPHIE Victor Hugo est né le 26 Février 1802 à Besançon en France. Poète, romancier et dramaturge, il est sans conteste l'un des géants de la littérature française. Les romans les plus connus de Victor Hugo sont Notre-Dame de Paris (1831) et Les Misérables (1862).Entre 1827 et 1830, Victor Hugo s'affirme comme le chef du romantisme. De 1830 à 1840, il publie un grand roman historique, Notre-Dame de Paris (1831) : Ce roman est

l’expression de la société (Germaine de Staël). Cette littérature doit se libérer des contraintes du clacissisme. Le mouvement romantique en France est conduit par Chateaubriand, Lamartine, Victor Hugo et Alfred de Vigny. Les romantiques privilégient la sensibilité et ils découvrent leur je, leur subjectivité, ce qui explique la prolifération d’oeuvres plus ou moins autobiographiques. Ce je est divisé, complexe et à la recherche d’une unité. Les romantiques privilégient différents thèmes : l’amour

le reflet de l’âme. Il est un moyen d’interaction entre deux subjectivités au même titre que la parole et le toucher. L’autre nous renvoie le reflet de nous-même et son jugement passe aussi par le regard qu’il porte sur nous. Je suis ce que le regard des autres me renvoie, nous fait remarquer Sartre dans Huis clos. L’œil de l’autre est éminemment porteur d’un jugement : « l’œil était dans la tombe et regardait Caïn» a écrit Victor Hugo dans le poème la Conscience. Cette culpabilité qui envahit Caïn

du modèle. Le photographe Nadar a exécuté ainsi des portraits artistiques aux poses très étudiées qui se voulaient révélatrices de la psychologie ou de la position sociale de ses modèles. On peut prendre comme exemple son célèbre portrait de Victor Hugo avec une mise en scène étudiée : une position de penseur, accoudé à des livres évoquant sa condition d’homme de lettres et d’homme influent. Depuis 1934 à Paris, le studio Harcourt a immortalisé bon nombre de personnalités en perpétuant la tradition

montrer en quoi le lien postulé par Victor Hugo, dans la préface de Cromwell, entre mélancolie et christianisme se trouve vérifié dans nos pièces. Je prendrai pour guide, au cours de cette rapide enquête, l'Anatomie de la mélancolie de Robert Burton (1621), ouvrage monumental et passionnant qui fait la synthèse, au début du XVIIe siècle, de la riche tradition médicale, philosophique et littéraire sur le sujet. I. L'héritage antique Quoi qu'en dise Victor Hugo, la mélancolie, du moins en tant que

(1532) et le Gargantua (1534) de Rabelais. Enfin, la volonté de Victor Hugo d'éduquer le peuple se retrouve dans nombreux de ses textes. Claude Gueux(1834) narre l'itinéraire d'un homme condamné aux travaux forcés pour un vol destiné à faire survivre sa famille affamée. Séparé arbitrairement d'un codétenu auquel il s'était attaché, il finit par tuer son geôlier, parfaitement conscient qu'il sacrifie sa propre vie par cet acte. Hugo reprend la parole à la fin de son texte en s'adressant directement

authenticité bien supérieure à celle de la poésie classique et néoclassique, sans pour autant que cette évocation d’un moi singulier rebute le lecteur, censé reconnaître dans la figure du poète des traits universels. • Alphonse de Lamartine et Victor Hugo, le lyrisme romantique « La poésie lyrique s’exprime au nom de l’auteur même », affirme Mme de Staël dans son manifeste en faveur du romantisme (De l’Allemagne, 1813). Si le « jeune homme » des Méditations sollicite l’adhésion d’un public aristocratique