Victor Hugo Thénardier

« Les Misérables » de Victor Hugo Résumé de l’histoire par partie Partie I : Fantine Jean Valjean, un ancien bagnard et forçat, ayant était condamné dans sa jeunesse pour le vol d‘un pain, à être enfermé au bagne de Toulon ; voit sa peine prolongée à chacune de ses tentatives d'évasion. En 1823, il est finalement libéré après dix neuf ans d’emprisonnement. Rejeté par tous, il doit son salut à la rencontre de Monseigneur Myriel qui lui offre la nourriture et le repos. Mais Jean Valjean déchiré

souci d’en avoir moins pour s’en occuper plus. 2. Document 2 Eléments du paratexte : Genre : extrait du roman « Les Misérables » Auteur : Victor Hugo Date : 1881 Type : narratif Thème directeur : Ce passage montre comment certains n’hésitent pas à exploiter la misère des autres pour en tirer profit. Les Misérables : Roman de Victor Hugo (1862). A travers les personnages (le forçat Jean Valjean, qui connaît la rédemption morale à force de générosité ; Cosette, petite fille malheureuse

| | |Recherche sur les Misérables de Victor Hugo | 1- « Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant

bataille de Waterloo Mai 1861. Le narrateur raconte une visite à pied sur les vestiges de la défaite napoléonienne de Waterloo ( visite que Victor Hugo fit en 1861, lors de son retour de l'Ile d'Elbe sur les lieux même de la bataille de juin 1815). Ce jour-là, Napoléon affrontait les troupes anglaises et les forces coalisées de l'Europe continentale. Victor Hugo réfléchit sur les causes de ce désastre napoléonien : il pleuvait ce jour-là, le sol était boueux, ce qui empêcha l'empereur de déployer librement

eût fait pitié l’été et qui faisait horreur l’hiver. Elle n’avait sur elle que de la toile trouée ; pas un chiffon de laine. On voyait sa peau çà et là, et l’on y distinguait partout des taches bleues ou noires qui indiquaient les endroits où la Thénardier l’avait touchée. Ses jambes nues étaient rouges et grêles. Le creux de ses clavicules était à faire pleurer. Toute la personne de cette enfant, son allure, son attitude, le son de sa voix, ses intervalles entre un mot et l’autre, son regard, son

le réalisme est l'objet de toutes les convoitises chez les plus grands auteurs comme Balzac, Zola et encore Hugo. Ce genre littéraire consiste à refléter le réel à l'aide de la fiction et engendrer chez le lecteur une prise de conscience sur des sujets qui touchent la plupart des gens. Viser les vices, les travers de la population mais aussi celle de la société, c'est ainsi que Victor Hugo dit dans la préface des Misérables « des romans de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles ». Le

des Misérables, Victor Hugo présente les Thénardier et nous avoue « Rien qu’en les entendant dire un mot ou qu’en les voyant faire un geste, on entrevoit de sombres secrets dans leur passé de sombres mystères dans leur avenir ». Par cette phrase, Hugo nous guide dans ce que nous devons imaginer des Thénardier, en conséquent, nous n’auront aucune surprise sur ceux qu’ils pourront dire ou faire. De plus, en regardant d’une façon plus générale toute la description des Thénardier, Hugo ne laisse passer

un « serpent fatigué qui se repose » : ainsi le lecteur se la représente comme une femme vicieuse, manipulatrice, comme une créature sordide, cela ne faisant que la rendre plus antipathique. Dans le texte C, extrait des Misérables de Victor Hugo, Mme Thénardier nous apparaît comme une marâtre et une femme tyrannique. Le narrateur en fait un portrait extrêmement péjoratif : « de la race de ces sauvages colosses », « l'ogresse »... Notamment en utilisant des procédés stylistiques récurrents tels

laquelle elle a tout sacrifié, Cosette. Elle souhaite retourner à Montreuil sur Mer, sa ville natale, où elle espère trouver du travail. En chemin, à Montfermeil, elle fait la connaissance d'un couple d'aubergistes, d'allure plutôt accommodante, les Thénardier. Très vite Cosette joue avec les petites filles des aubergistes. Fantine y voit là un signe du ciel et propose de leur confier quelque temps la garde de Cosette. Les aubergistes acceptent moyennant une pension. Cosette qui n'a que cinq ans se retrouve

Introduction : Au XIXème siècle règnent les mouvements du romantisme, du réalisme, et enfin, du naturalisme dont Victor Hugo était le chef de file. En 1892, celui-ci publie Les misérables, qui incarne le romantisme par excellence, et dont l’extrait étudié est tiré de son dixième chapitre ; « La descente ». Problématique. La première partie étudiée montrera que la société pousse le personnage à la prostitution, puis, la seconde partie traitera des déchéances matérielles, physiques et morales de