Victor L Enfant Sauvage

le passé, puisqu’ils se réclament de Shakespeare, qui mélangeait les genres (tragédie, comédie) et les régistres (tragique, lyrique, grotesque). Cette nouvelle revendication est celle de la totalité. Les jeunes romantiques se réunient auprès de Victor Hugo pour lire et commenter Shakespeare et Byron en dénonçant les «erreurs» du classicisme. Mais ce mouvement n’est pas français d’origine, il est inspiré de l’Allemagne (Goethe, Schiller), mais aussi de l’Italie et de l’Angleterre. Mme de Staël,

l’Etat de nature, et donc à la guerre de tous contre tous. L’Etat sociétaire, au contraire, garantie le bien-être de ses membres. Prenons en comparaison le droit du sauvage qui prévoit en l’existence d’un droit de vol pour la horde, c’est-à-dire que la horde se confédère pour voler à qui il appartiendra, soit les autres sauvages, soit les civilisés voisins, soit les caravanes. De plus, si hier la loi naturelle prévoyait que tous les biens soient communs en cas d’extrême nécessité. Aujourd’hui

Texte 1 : «Elle était déchaussée », Les Contemplations , Victor Hugo, 1856 Le texte est de Victor Hugo, un écrivain polymorphe, né en 1802 mort en 1885. Celui-ci écrit Les Contemplations en 1856 alors qu’il était en exil. Ce recueil de poèmes se compose de deux tomes : Autrefois (1830-1843) et Aujourd’hui (1843-1856). Le poème que j’analyserai est le 21eme poème du premier

comparaisons de l’écologie fardeau (apocalypse) à l’écologie sereine.- Les questions : dans la première partie nous voyons par exemple une question indirecte qui personnifie l’écologie qui se demande quelle planète nous allons laisser à nos enfants, au lieu de quels enfants nous y allons laisser (on note un parallélisme entre les deux parties de cette phrase). À cette question, il faut réfléchir et prendre le temps de choisir notre côté. Alors que dans la deuxième partie, Arnaud Viviant écrit la seule vraie

la propagande publicitaire avec ces affiches et d'autre part l'embrigadement des jeunes. Un troisième qui est lui aussi un texte traite de la mise en place du totalitarisme nazi issu de Mes soldats de papier : journal 1933-1941, un livre de Victor Klemperer, juif converti au protestantisme qui sera démis de ses fonctions dû à cela. Un quatrième, une affiche de propagande allemande anti-juive de 1937 avec comme inscription « Le juif éternel : grande exposition politique à Munich dans le bâtiment

Chateaubriand, mal dans sa peau, qui se met à voyager pour combler sa solitude. Souvent, ce héros fait partie des marginaux de la société, des révoltés. Des œuvres prennent alors une forme autobiographique, aussi bien des romans (comme La Confession d’un enfant du siècle, de Musset 1836 – décliné en cinq parties –) que des mémoires (comme Les Mémoires d’outre-tombe, de Chateaubriand 1848. □ Le Mal du siècle Le siècle est caractérisé par ses poètes et ses romanciers : ils expriment un sentiment de désenchantement

» De plus notre société fonctionne grâce à une complémentarité, à la somme des compétences de chaque individu. Aucun être humain ne peut se suffire à lui-même. Un homme complètement seul ne peut s’épanouir, il ne fait que survivre, tel Victor l’enfant sauvage ou Robinson Crusoé sur son Ile. Si tout sujet conscient peut reconnaître des différences et inégalités de conditions d’existence, il ne peut renier l’utilité physique, intellectuelle et morale de ses semblables. C’est sur l’union des savoirs

Musset. -A ma femme endormie de Charles Cros. -J’ai tant rêvé de toi (« corps et biens ») de Robert Desnos. Œuvre d’art se référant à Sonnet de Félix Arvers. Le thème de l’Univers Religieux : -Ecrit au bas d’un crucifix de Victor Hugo. -Durant plus d’un jour de Rabindranath Tagore -Elégies, Amour et Charité de Marcelin Desbordes-Valmore -Extase d’Agrippa d’Aubigné -Le Maître que j’adore d’Alphonse de Lamartine Présentation Cette anthologie

Lamartine La mer Loin des grands rochers noirs que baise la marée,La mer calme, la mer au murmure endormeur,Au large, tout là-bas, lente s’est retirée,Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt. La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage,Au profond de son lit de nacre invioléRedescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage,Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire,À l’écart, en secret, son immense tourment,Que la fauve amoureuse

 Anthologie poétique Le lyrisme Veni, vidi, vixi Victor Hugo Recueil : Les contemplations, PAUCA MEAE, 1848 J'ai bien assez vécu, puisque dans mes douleurs Je marche, sans trouver de bras qui me secourent, Puisque je ris à peine aux enfants qui m'entourent, Puisque je ne suis plus réjoui par les fleurs ; Puisqu'au printemps, quand Dieu met la nature en fête, J'assiste, esprit sans joie, à ce splendide amour ; Puisque je suis à l'heure où l'homme fuit le jour, Hélas ! et