Victor Laloux

du XIXe siècle, le roman social (et champêtre parfois) trouve sa place dans la littérature avec les textes de George Sand (Consuelo – 1842, La Mare au diable -1846, La Petite Fadette – 1849) et, un peu plus tard, avec la grande fresque humaniste de Victor Hugo, Les Misérables(1862). Émile Zola (1840-1902) est le dernier très grand romancier du siècle : il théorise dans le Roman expérimental (1880) le naturalisme et donne au réalisme extrême, au-delà même des bienséances et en prenant en compte

ce livre, Victor Hugo est en exil. Aidé depuis la France par des amis qu'il charge de vérifier si tel coin de rue existe, il retranscrit dans ce roman la vision des lieux qu'il a aimés et dont il garde la nostalgie[3]. Mais la motivation principale de Victor Hugo est le plaidoyer social. « Si les infortunés et les infâmes se mêlent (...) De qui est-ce la faute ? » Selon Victor Hugo, c'est la faute de la misère, de l'indifférence et d'un système répressif sans pitié. Idéaliste, Victor Hugo est convaincu

poèmes, pour laquelle il a une grande admiration. Cette femme représente sa mère qui était veuve car il y a chez Baudelaire le rappel de cette relation fusionnelle entre sa mère et lui... Ainsi nous pouvons citer Les Contemplations de Victor Hugo. Dans ce livre Victor Hugo évoque son expérience de la vie et de la poésie. Les poètes s'inspirent donc de leur vie, de leur vécu, mais aussi des réalités du monde de leur époque, notamment grâce à la poésie engagée. Elle nous ramène aux enjeux essentiels

ménageant pas les effets d'amplification, l'orateur s'inscrit dans un édifice de valeurs auxquels chacun est invité à souscrire. Dépassant ces catégories, l'écrivain moderne a su allier dans les ressorts de son émotion l'objet public à l'hommage privé : Victor HUGO, Le manteau impérial (Châtiments, 1853) | COLETTE, La Naissance du jour (1928) | Oh ! vous dont le travail est joie, Vous qui n'avez pas d'autre proie Que les parfums, souffles du ciel, Vous qui fuyez quand vient décembre, Vous qui dérobez

Compte-rendu de lecture 1.Titre : Ruy Blas 2.Auteur : Victor HUGO 3.Date de première publication : 1838 4.© Hachette, Les Classiques Hachette, 2005 5.Genre : Théâtre 6.Registre : Lyrique 7.Résumé L'action se situe à la fin du XVIIe? siècle,à la cour d'Espagne. Ruy Blas est valet de chambre de Don Salluste, un grand d' Espagne, hier en ministre mais aujourd'hui' en disgrâce à cause d' une mésaventure : il a séduit une fille d' honneur de la Reine et il a refusé de l' épousé. Don Salluste

différentes pièces que vous avez pu lire ou voir et en vous référant à divers éléments propres au théâtre (costumes, décor, éclairages, les gestes, la voix etc.), vous vous demanderez si le théâtre est seulement un art de l'artifice et de l'illusion. Victor Hugo disait « le théâtre n’est pas le pays du réel, c’est le pays du vrai ». Le théâtre est-il de la littérature ? Ionesco dit « une pièce est faite pour être jouée, non pour être lue ». Roman : Dans quelle mesure le personnage de roman

« Les Misérables » de Victor Hugo Le Livre : C’est le plus long roman qu’a écrit Victor Hugo. Il fait 5 livres et nous explique la miser de la société du 19 ème siècle par la vie vécus par les personnages. Les Personnages :  Fantin : la mère de Cosette.  Cosette : une petite fille martyre qui devient malgré elle la servante des Thénardier : de méchants aubergistes.  Jean Valjean : un ancien forçat libéré.  Marius : un bourgeois qui tombe amoureux de Cosette.  Gavroche : le gamin de

Jour d'un Condamné, Victor Hugo. Un homme condamné à mort entretient un journal sur la façon dont il vit ses dernières vingt-quatre heures, il résume le début de son procès jusqu'à son exécution. Le narrateur décrit sa vie d'avant et comment elle était par rapport à la vie qu'il est en train de vivre avant son procès. On ne connait ni le nom, ni pourquoi cet homme est accusé ce qui introduit le fait que cela peut arriver a n'importe qui d'entre nous. Le message délivré par Victor Hugo est clair, il

tombeau muet et noir ! Mais dans l'autre horizon l'âme alors est ravie. L'avenir sans fin s'ouvre à l'être illimité. Au matin de l'éternité On se réveille de la vie, Comme d'une nuit sombre ou d'un rêve agité. J'ai choisi ce poème de Victor Hugo avant tout pour son titre : Le matin. Pour moi, le matin représente tout à fait la nature parce qu'on voit tout notre environnement changer de couleurs, l'aurore permet au monde de se réveiller. J'ai déjà assisté à des levés de soleil, j'ai vu

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les rayons et les ombres’’ (1840) recueil de poèmes de Victor Hugo pour lequel on trouve ici les analyses de ‘’Fonction du poète’’ (page 3) ‘’Tristesse d’Olympio’’ (page 9) ‘’Oceano nox’’ (page 13) Bonne lecture ! “Fonction du poète” Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert Malheur à qui dit à ses frères Je