Victorine Taillefer

sorte qu’ils paraissent véridiques. « Faire vrai consiste à faire l’illusion complète du vrai », dira Maupassant. Le réalisme balzacien souvent frôle le fantastique, dépassant le réel pour suggérer un univers supra-naturel. Madame Vauquer Victorine de Taillefer et madame Couture Mademoiselle Michonneau Poiret Jean-Joachim Goriot –Pitoyable rentier de soixante neuf ans, il est le plus âgé de la Maison Vauquer et aussi le plus ancien des pensionnaires (1813). Les premiers temps, sa fortune et ses

enferme la comtesse. Du coup, Maxime (qui a d'autres maîtresses), l'abandonne. - Jean-Frédérique Taillefer : riche banquier qui refuse de reconnaitre sa fille Victorine jusqu’à la mort de son fils (ce dernier mourra lors d’un duel avec le colonel Franchessini arrangé par Vautrin pour que le père reconnaisse enfin sa fille car n’ayant plus de descendance). - Madame Couture : tutrice de Victorine, sa pupille. - Gobseck : usurier (Goriot y dépose des chèques pour ses filles) - Vautrin : alias

Point de vue de l’auteur : Le roman est écrit du point de vue d’un narrateur omniscient, qui délègue souvent son point de vue à Rastignac, par qui nous voyons les autres. Personnages de la maison Vauquer : Mlle Michenneau et M. Poiret Victorine Taillefer, jeune fille déshéritée par son père Eugène de Rastignac, étudiant noble mais pauvre, venu faire son droit et chercher gloire et pouvoir Le mystérieux M. Vautrin, une force de la nature Le père Goriot, vieux et pitoyable locataire, qui semble

s'y rencontrera toujours un lieu vierge, un antre inconnu, des fleurs. des perles. des monstres, quelque chose d'inouï, oublié par les plongeurs littéraires. La Maison Vauquer est une de ces monstruosités curieuses. Victorine Taillefer [pic] Quoique mademoiselle Victorine Taillefer eût une blancheur maladive semblable à celle des jeunes filles attaquées de chlorose, et qu'elle se rattachât à la souffrance générale qui faisait le fond de ce tableau, par une tristesse habituelle, par une contenance

Geneviève, la maison Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Les plus importants d’entre eux sont ceux dont le nom est précisé : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon (étudiant en médecine), Vautrin, Eugène de Rastignac et le Père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années

que le schéma actantielle du roman. Le roman se passe à Paris en 1819 dans une pension miteuse qui porte le nom de Maison Vauquer. Dans ses murs se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier. Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un

Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires dont certains ont un comportement assez mystérieux. Parmi eux un certain M. Vautrin et un vieillard, le père Goriot. Deux jeunes gens contrastent par leur fraîcheur avec la masse des habitués : Victorine Taillefer,une orpheline et Eugène de Rastignac, un étudiant. C'est Rastignac qui perce le mystère du père Goriot grâce à sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, qui l'initie aux mystères du grand monde. Goriot s'est ruiné pour ses filles, Anastasie de

veut tuer le frère de Victorine Taillefer, pour en avoir une partie de sa fortune. Sa tatouage le trahit et il est identifié. Il finit par se faire arrêter par la police.   Madame Vauquer- Elle est chargée de la Maison Vauquer, pension bourgeoise des deux sexes et autres. Mademoiselle Michonneau- une vieille fille nommée. Bianchon- l'étudiant en médicine, un ami de Rastigniac. Madame Couture- veuve d'un commissaire ordonnateur de la République française. Victorine Taillefer- une jeune femme qui

retrouve souvent son ami Horace Bianchon, étudiant en medecine. Mais il s’avère être plus ambitieux et décide de faire fortune, initié par sa cousine la vicomtesse de Beauséant et Vautrin dont il refuse la proposition satanique au détriment de Victorine Taillefer, car pour lui la meilleure façon de réussir est de travailler. En vrai arriviste, Eugène fréquente tout les salons Parisiens où il fait la connaissance de Mme de Restaud puis de Mme de Nucingen dont il tombe amoureux. Ils s'installent ensemble

ses sœurs pour leur demander de lui adresser leurs dernières économies Vautrin, qui devine l'ambition qui anime Rastignac lui propose un marché cynique : séduire Victorine Taillefer tandis que lui se charge d'éliminer son frère, seul obstacle à l'obtention par la jeune fille d'un héritage fabuleux. Rastignac épouserait alors Victorine et sa dot d'un million, sans oublier d'offrir à Vautrin une commission de deux cent mille francs. Fasciné, puis indigné par ce marché scandaleux, Rastignac refuse