Victorine Taillefer

de 1829 à 1852. II) Résumé Jeune aristocrate de province, Rastignac décide d'étudier le droit à Paris mais doit pour cela habiter dans la sinistre pension Vauquier. Il y rencontre l'énigmatique et ancien forçat Vautrin, la jeune orpheline Victorine Taillefer, mais surtout Goriot. Celui-ci s’est quasiment ruiné pour ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen qui le tiennent à l’écart de leur vie. Elles mènent grand train auprès de leurs maris aristocrates, mais elles ont honte de la

le long du discours de son interlocuteur, et son silence semble montrer qu’il ne désapprouve pas les analyses lucides de Vautrin. Mais il n’admettra pas vraiment la proposition d’un meurtre déguisé en duel (Vautrin lui propose de tuer le père de Victorine). Il est vrai qu’Eugène reconnaît la justesse d’analyse de ce discours tentateur : « il m’a dit crûment ce que Mme de Beausséant me disait en y mettant les formes », mais il refuse encore d’adopter des opinions et des conseils aussi cyniques et il

fiction dans le but de captiver le lecteur balzac place des information outil a la conprehension de l'histoire et en glisant des indice qui ne prendront sence qu'apres une observation plus approfondi , le portrait de vautrin est placé entre Victorine Taillefer et celui d'Eugene de Rastignac Vautrin l homme de 40 ans se situe entre les deux personnages il sert de transition entre les jeunes et les plus âgée . Vautrin est un personnage qui se situe entre les deux extrême on peut dire que c’est

parisienne de son époque. D’un côté, les citoyens sont en quête absolue d’argent, même si cela cause le malheur d’autrui. Vautrin tente de persuader Rastignac de devenir son complice dans son affaire criminelle qui consiste à tuer le frère de Victorine Taillefer afin qu’elle puisse accéder à son héritage. Ce plan est formulé dans l’unique but de se faire de l’argent. De plus, en comparaison à l’argent faramineuse sur un plan plutôt matérialiste, l’argent essentielle est plutôt dévalué. Anastasie et

  Fiche 1  Le roman Le Père Goriot commence à Paris à  l'automne 1819. Dans la pension Vauquer, rue  Nueve­Sainte Geneviève, sept pensionnaires  habitent ensemble : Mlle Michonneau, Victorine  Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret,  Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, et le  père Goriot.    Rastignac est un beau, jeune et ambitieux homme  qui vient d'une famille noble à Charente. Il arrive à  Paris pour faire ses études de droit et trouver  fortune. Sa famille n'a plus de l'argent, mais il 

romans inachevés qui seront tout de même publiés. Résumé en 15 lignes : Le roman Le Père Goriot commence à Paris à l'automne 1819. Dans la pension Vauquer, rue Neuve-Sainte Geneviève, sept pensionnaires habitent ensemble : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, et le père Goriot. Rastignac est un beau et ambitieux jeune homme qui arrive à Paris pour faire ses études de droit et trouver fortune. Sa famille n'a plus de l'argent

chance auprès de Delphine, la seconde fille du Père Goriot. Devinant que Rastignac a besoin d’argent pour mener à bien ses ambitions mondaines, Vautrin lui propose un marché : séduire Victorine Taillefer (une des pensionnaires) dans le but d’obtenir sa dot. Vautrin n’aurait qu’à se charger d’éliminer le frère de Victorine pour que cette dernière puisse hériter d’une grosse fortune. Rastignac devrait, bien sûr, lui offrir une commission. Il refuse, mais Vautrin lui laisse quinze jours pour réfléchir.

1819. Dans une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner. Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour

Vicomtesse de Beauséant, Eugène retrouve l’assistance d’une parente, et sa reconnaissance n’a pas tardé : « Ma chère cousine, dit Eugène, vous m'avez déjà bien protégé ». Madame de Couture marque aussi ainsi l’amour qu’elle porte à sa nièce Victorine Taillefer. Elle lui dit dans un élan de protection : « − Remontons, ma chère petite, dit madame Couture, ces affaires−là ne nous regardent pas » Cette astuce est utilisée par Vautrin et par le père Goriot à l’endroit de Rastignac pour tisser une relation

Vautrin le manipule mais son désir de paraître riche dans la haute société est plus fort que sa dignité. Vautrin essaie de mettre en marche un complot avec Rastignac en lui présentant Victorine Taillefer. Vautrin voudrait que Rastignac la séduise et que Vautrin tue son frère. Comme cela, Rastignac pourra marier Victorine et hériter de son dot d’un million. Rastignac résiste un tel complot mais par certains incidents, le frère meurt quand même à la main de Vautrin. Rastignac peut se livrer de la culpabilité