Vidame

monde et montre ainsi sa grandeur. Tout d’abord, le texte fait figurer une liste de personnes très puissantes et riches, le lecteur peut déduire cela des nombreux titres qui sont mentionnés tout au long, il y a le «prince de Cleves» (l. 4), le «vidame de Chartres» (l. 6). Ce sont des gens courageux et qui ont beaucoup de succès dans leur carrière occupant de «grands emplois» (l. 2). Cet aspect est renforcé la présence du registre épique montrant leur hardiesse dans des passage tels «dont la vie

sera accrédité par l'effet qu'il produit sur les personnages déjà présentés. La narratrice souligne qu'elle se fonde sur le témoignage des connaisseurs qui sont les courtisans « l'on doit croire », « les yeux du monde ». On voit la surprise du vidame ( ligne 26 ) que la narratrice justifie d'un commentaire « avec raison ». En plus de la beauté, elle a la noblesse la plus authentique ( ligne 4 ) et la richesse la plus fabuleuse ( ligne 5 et 6 ). Elle a autant d'esprit que de beauté. ( ligne

apporte à Diane de Poitier le pouvoir politique et l’indépendance : “Cette Duchesse s’enquit si le Roi était mort: et comme on lui eut répondu que non: «Je n’ai donc point encore de maître” ● Le fait qu’elle se remette de la trahison et de son amant le vidame de Chartres est, en soi un signe pour la princesse de Clèves que la passion n’est pas mortelle ou complètement destructrice → l’existence de ce personnage et son histoire fait de lui un contrepoint encore différent de diane de poitier (sa passion

devinrent de hauts barons au XIe siècle. On dit une vicomtesse pour une femme. Un titre équivalent à celui de vicomte qu’il convient de prendre en compte est celui de vidame. Un vidame est à l’origine celui qui mène l’armée d’un évêque et exerce au nom de celui-ci un certain nombre de droits féodaux. A l’époque moderne, le titre de vidame est intégré à la hiérarchie nobiliaire. - Le titre suivant est celui de baron. Il est à l'origine l'homme du roi : en effet cette qualification s'applique d'abord

l'âme, une sorte de peur vague en voyant que monsieur de Montriveau ne comprenait rien aux finesses de la coquetterie FaubourgSaint-Germanesque, et prenait au sérieux les minauderies parisiennes. Celui-là, ma chère duchesse, lui avait dit le vieux vidame de Pamiers, est cousin germain des aigles, vous ne l'apprivoiserez pas, et il vous emportera dans son aire, si vous n'y prenez garde. Le lendemain du soir où le rusé vieillard lui avait dit ce mot, dans lequel madame de Langeais craignit de trouver

l’âme, une sorte de peur vague en voyant que monsieur de Montriveau ne comprenait rien aux finesses de la coquetterie Faubourg-Saint-Germanesque, et prenait au sérieux les minauderies parisiennes. – Celui-là, ma chère duchesse, lui avait dit le vieux vidame de Pamiers, est cousin germain des aigles, vous ne l’apprivoiserez pas, et il vous emportera dans son aire, si vous n’y prenez garde. Le lendemain du soir où le rusé vieillard lui avait dit ce mot, dans lequel madame de Langeais craignit de trouver

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Après la mort du prince de Clèves, la Princesse perd « quasi l’usage de la raison » et n’éprouve d’abord que de l’horreur pour elle-même et pour M. de Nemours. Cependant elle ne peut s’empêcher de songer à celui qu’elle aime toujours. Son oncle, le Vidame croit bon de faire venir la Princesse chez lui, sans lui dire que M. de Nemours y sera également. Ces deux êtres se retrouvent donc en présence seul à seul. La princesse veut d’abord fuir, puis se ravise, elle avoue enfin à Nemours combien elle l’aime

l'extrait (« Son père était mort jeune […] madame de Chartres, sa femme ») que le lecteur comprend qu'il s'agit donc de Mlle de Chartres et que à la fin de l'extrait que son portrait devient plus détaillé. Ce portrait se fait à partir de la vision du « vidame », c'est donc une focalisation interne. Il se concentre sur les canons de la beauté classique : « blancheur de son teint » qui est un signe de noblesse et de pureté morale, « traits réguliers » qui traduisent l'harmonie du classique et les « cheveux

Christophe Honoré : Le roi Henri II devient Henri, la Reine Catherine de Médicis devient Catherine, personnage peu présent dans le film, la Dauphine Marie Stuart devient Marie, l'ancienne maîtresse de Nemours, l'aventure de Mathias rappelle celle du vidame de Chartres qui multiplie les liaisons et fait de faux serments. Si Mathias semble bien amoureux de Martin, il semble cruel à Junie pour avoir trahi Esther, sa petite amie tout comme Catherine et Henri. Celui-ci ira jusqu'à tenter de le tuer. Otto