Vidame

beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l'avait laissée sous la conduite de madame de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle

la ligne 36) b) La cour : un milieu superficiel - Après l’insistance sur le paraître, l’auteur montre l’importance de l’avoir (= biens, richesses) - Ses la ligne 4, on précise ses liens de parenté qui montrent sa richesse « la même maison que le vidame » - On remarque aussi le superlatif de supériorité « une des plus grandes héritières de France » (à la ligne 5) qui insistent sur sa richesse. - Elle est désignée à la ligne 29 par « cette héritière » - La proposition subordonnée conjonctive

est conforme à l’idéal de l’époque et « donne de l’admiration dans un lieu où l’on est si accoutumé à voir de belles personnes ». Mlle de Chartres est une héritière issue de grands partis. Parente des proches du roi elle est de la même maison que le vidame de Chartres. Elle se mariera avec le Prince de Clèves mais tombera amoureuse du Duc de Nemours. Relation à laquelle elle se refusera car celle-ci est en opposition avec la vertu prônée dans son éducation. ➢ Madame de Chartres est la mère

De par sa naissance, le personnage est aussi exceptionnel; l'adjectif: « extraordinaire », «héritière »: qui est porteuse des valeurs de sa « maison ». L'effet de suspensif dans le texte: le nom est livré qu'à la fin de l'extrait, après celui de Vidame et de sa mère. Madame de Chartres considère sa fille comme le moyen de faire un bon mariage. «cultiver son esprit et sa beauté » l'esprit est mit sur le même plan que la beauté. On n'en sait pas plus sur le portrait intellectuel de l'héroïne « elle

qu’elle tombe directement sous les charmes du duc en le rencontrant. La messagère n’est jamais nommée, et dit « cette personne de mérite » (l.24 et l.33). La reine intervient comme dans les dénouements des tragédies. Dans l’excipit, la reine et le vidame de Chartres interviennent aussi pour entrainer une fin sans issu. B) 2 êtres d’exception La 1ère information qu’on peut souligner c’est que ce sont deux personnages de haut rang (duc et princesse). Les 2 héros ont un côté surhumain et leur passion

mariage du duc, aveux involontaires de Madame à la cour) ; 3. L’histoire d'Anne Boleyn par la Dauphine ; 4. Les péripéties romanesques (vol du portrait, le tournoi, la lettre perdue et les premières conséquences) ; 5. La marche à l'aveu (histoire du vidame de Chartres, péripéties autour de la lettre, remords de Mme, aveu à son mari). c) Les conséquences de l'aveu Trois séquences : 1- Le destin en marche (indiscrétion du duc, torture des trois personnages, fiançailles et mariage de Madame, mort du

elle-même un sentiment nouveau, l’amour, et son mari n’en est pas l’objet. Tout le roman est tourné vers la relation entre ces 2 personnages. La mort de madame de chartres et ses paroles envers sa fille la princesse de clèves La lettre perdue du vidame de chartres qui va donner lieu a un tete e tete entre le duc et la princesse L’aveu de madame de clèves a son mari pour ses sentiments a l’égard de monieur de n’mours La mort de monsieur de clèves Les principaux personnages sont les suivants :

perfection *Informations physiques : CL de la beauté "beauté" l.1, "beauté parfaite" l.2, "charmes" l.28, "éclat" l.27, "grâce" l.28 *Informations social : -Mlle de Chartres appartient à la noblesse, elle a des origines familiale prestigieuse : "vidame" l.4, "Cette héritière était alors un des grands partis" l.21 "la blancheur de son teint" l.26, marque de noblesse de l'époque *Informations morale : elles ne concernent pas Mlle de Chartres mais sa mère qui lui a enseigné "la vertu" l.9, et la

et les émotions des personnages dans la vie de la Cour sous le règne d'Henri II. L'extrait que nous allons étudier et à la fin du tome 4 du roman ou la Princesse de Clèves se retrouve avec M. De Nemours, cette rencontre est organisée par le vidame de Chartres. Cet extrait est important car la Princesse de Clèves fait un long discourt dans lequel elle déclare pour la première fois ouvertement ces sentiments à M. De Nemours, mais c'est un amour impossible puisqu'elle s'y refuse par devoir et

La Princesse de Clèves est une nouvelle historique et un roman d’analyse publié anonymement en 1678 par Marie-Madeleine de Lafayette. Lafayette appartient au Classicisme et au mouvement de la préciosité. L’histoire se déroule au XVIème siècle, et raconte l’amour interdit entre la Princesse de Clèves et le duc de Nemours. Pour traiter le sujet, il convient d’expliciter d’abord la citation d’Henriette Levillain qui écrit au sujet de La Princesse de