Vie Associative

Introduction : « La pensée du vivant doit tenir du vivant l’idée du vivant ».Cette phrase de Canguilhem place le vivant comme un problème récurent chez l’homme. Le vivant est défini comme un être animé capable de se reproduire et de respirer. Il est la vie et l’équilibre de la planéte.IL se définie en 3 catégories que sont le végétaux, les animaux et les humains. Lorsque l’on parle du « respect », il se définit comme le sentiment qui porte à traiter quelqu’un ou quelque chose avec de grands égard tout

(génétique, spécifique et écologique) sont très reliés et forment ensemble la biodiversité. La biodiversité, et sa conservation, ne doit pas être limitée à un seul de ces aspects car chacun de ces éléments forme un maillon de la grande chaîne de la vie.

III Parties du corps F. Si je puis me permettre, notre corps en est l’exemple le plus concret. De nombreux rapports du corps humain observables aussi bien à l’œil nu qu’au microscope témoignent de son esthétisme. M. Oui, J’ai étudié l’une des œuvres de Leonard De Vinci dans laquelle son visage s’inscrit dans plusieurs rectangles, vous faîtes référence à cela, n’est-ce pas ? D. Cependant, Aucune spirale logarithmique n’est visible sur le corps humain F. J’ai peur que vous n’ayez tort, la

bac, baccalauréat, SVT, sciences, S, 2011, Septembre, Métropole, examen, vie, terre, sujet |Bac S - Sujet de SVT - Session Septembre 2011 - Métropole |     1ère PARTIE : Restitution des connaissances (8 points). |LA CONVERGENCE LITHOSPHÉRIQUE ET SES EFFETS | Présentez les marqueurs d'une zone de subduction entre une lithosphère océanique

l'homme, et particulièrement la guerre. Sa satire s'applique à la folie des hommes, qui acceptent de combattre sans savoir pourquoi, à la violence de ces mêmes hommes comparés à des animaux sauvages, aux souverains qui ne tiennent aucun compte de la vie humaine et sont prêts à sacrifier des milliers d'hommes pour satisfaire leurs ambitions territoriales et à l'église qui ne dit rien et participe aux cérémonies solennelles de remerciements à Dieu.

nous permettent de nous classer dans une autre catégorie que être vivant ; on est également des hommes. Et les hommes cherchant toujours à tout contrôler, ces trois capacités n’échapperont pas à la règle. Quel dictateur n’a jamais rêvé de contrôler la vie de chacun, leurs pensées, leurs envies… . Pas payer quelqu’un pour qu’il obéisse, mais le contrôler du plus profond de son esprit. Plus d’opposition, plus de révolte, tout le monde ayant les mêmes idées, mêmes opinions, un rêve pour ces dictateurs.

une personne, et ne mérite pas le terme d'humain qui lui est attribué. Il est donc nécessaire que l'homme se conçoive lui-même comme un être persistant à travers le temps : c'est à ça que sert le "je" : à unifier, synthétiser une expérience de la vie. Cette capacité, bien qu’inscrite dans la nature de l’homme, n’apparaît pas spontanément dès sa naissance, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’enfant même lorsqu’il commence à parler n’est pas en mesure de s’exprimer à la première personne.

par le faite que je désire que je souffre. Alors sommes nous condamnés à souffrir en désirants l'objets de nos désirs? Ou pouvons nous ne pas souffrir tout en désirant une satisfaction?Ou bien pouvons nous vivre sans désirs? Le désir est liée à la vie, conditionné pas rapport à la souffrance, nous sommes tiraillé par un manque qui crée une souffrance et un désirs qui cherche une satisfaction, un plaisirs, pour combler ce manque. Si le désirs est l'origine du manque, comment le réguler avec l'action

naissons pour une vie si courte, de ce que la mesure de temps qui nous est donnée fuit avec tant de vitesse, tarit de rapidité, qu’à l’exception d’un très-petit nombre, la vie délaisse le reste des hommes, au moment où ils s’apprêtaient à vivre. Cette disgrâce commune, à ce qu’on pense, n’a point fait gémir la foule seulement et le vulgaire insensé : même à d’illustres personnages ce sentiment a arraché des plaintes. (2) De là cette exclamation du prince de la médecine : La vie est courte, l’art

Y a-t-il, oui ou non, quelque chose dans la conception de l'être humain de la Genèse, qui nous permette de dire que l'être humain possède une dignité? Dans l'affirmative, quel serait ce quelque chose? Dans la négative, dites-moi ce qui vous fait dire cela. Que nous soyons religieux, croyant, pratiquant ou non, nous pouvons tout de même nous interroger sur les textes contenus dans la Bible. Un texte comme la Genèse, qui traite de la conception de la nature humaine, nous porte à s'interroger sur