Vie Associative

Réflexion personnelle Le vieillissement Le vieillissement selon moi se rapporte à la déclinaison de la vie, au moment où l’importance de la fin s’impose dans la façon de concevoir et de construire sa réalité. Il n’y a pas d’âge pour se sentir vieux, et ce sentiment provient de la perspective qu’un cheminement à été réalisé auparavant et que celui-ci touche inévitablement à son terme ou risque éventuellement d’être dépassé, de se voir relégué à une époque qui n’est plus perçue comme actuelle

s’arrogent de diriger leurs semblables, de penser à leur place, en leur faisant croire qu’ils agissent pour leur bien C’est pourquoi Kant prend le triple exemple des livres, des médecins et des “directeurs de conscience”: dans chaque domaine de la vie humaine (la pensée, la conscience morale et la santé, càd sur le plan théorique et pratique), il est facile de (se ?) trouver des personnes ou /et des institutions pouvant servir de guides et auxquels il est toujours possible de s’en remettre pour décider

particulier. C’est un projet anthropologique : repenser l’homme dans sa confrontation avec le monde de la machine, de la vitesse, de la technologie. Pour Marinetti être futuriste veut dire adapter la vie humaine à la politique du devenir et du progrès. Et l’art, pour suivre cette voie, doit être relié a la vie. Comment le futurisme a-t-il inscrit le mythe de « l’art-vivant » dans l’histoire de l’art moderne ? I. LA FONDATION DU MOUVEMENT, UNE VOCATION REVOLUTIONNAIRE A) Le

qu’ils sont absolument identiques ? A ce niveau beaucoup d’entre vous n’hesiteront pas a faire etat des conditions de vie de ces jumeaux pour expliquer leur difference. Il est evident que les conditions de vie de ses derniers apporteront des corrections importantes sur l’apparente unicite ou ressenblance qu’ils presentent, mais ce ne sera que les consequences tres lointaines de leur vie. Cela peut paraitre etrange mais ces jumeaux monozigotes, des la naissance, bien qu’issus d’une meme cellule et pas

 nous-même » peut paraître absurde du fait qu'on a bel et bien cette sensation de ne jamais changer radicalement d'identité. Pourtant, dans la vie de tout les jours, on s'aperçoit bien que nous peinons parfois à reconnaître des gens que nous avons cru connaître. Dans un premier temps, nous étudierons ce qui nous semble le plus logique, qu'au cours de notre vie nous sommes affectés par de multiples changements qui modifient notre caractère aussi bien physique que psychologique. Mais nous viendrons rapidement

fondamentaux de toute vie humaine: l’enfance, le mariage, la mort, les travaux… Il y est raconté le cheminement évolutif de la vie d’un héros, souvent jeune, noble ou pauvre jusqu’à qu’il atteigne l’idéal de l’homme accompli et cultivé. Il va nous y être raconté les destinées de ces différents héros qu’ils vont construire peu à peu, à travers leurs réussites, mais aussi leurs désillusions ou leurs échecs. Ce sont sois des romans de la réussite donc avec un héro qui va commencer sa vie de rien et au final

retrouve brouillé. Il est victime de confusion totale : « parlant peut être – ou criant » (l.7). Ces bruits semblent être les seuls repères du personnage en état de panique lui permettant à la fois de fuir le danger et de vérifier qu’il est toujours en vie. N’ayant plus que ses sens, il se comporte comme un animal traqué. Très vite, comme en images, le narrateur nous décrit une scène ou l’action démarre aussitôt. L’intensité est accentuée par le style narratif de l’auteur, ainsi que par la présence

la volonté divine: sommes-nous réellement libre face à nos choix? L'appréhension de la mort et la lâcheté: jusqu'où accepter la sacrifice, qui peut donner ou reprendre le bien le plus précieux que nous ayons sur terre, notre propre vie, quelle est la valeur de la vie humaine? La violence nourrit la violence: la barbarie la plus atroce se nourrit d'actes barbares et le cercle vicieux infernal de la violence nourrit celui de la négation de l'humanité des ennemis. Le sens du devoir face à sa liberté

qu’il a m’appartient, et que son droit étant le mien, ce droit de moi contre moi-même est un mot qui n’a aucun sens ? » Rousseau, Contrat social, I, IV. Explication de texte : L’objet de ce texte est le rapport entre la liberté et la vie en société qui génère des lois, des devoirs. La question que pose le texte, est de savoir si l’Homme peut conserver toute sa liberté tout en acceptant de vivre dans l’espace des lois qui sont pourtant limitatives d’un point de vue de sa liberté. La

L'existence est le temps dont l'homme dispose entre le moment où il naît et le moment où il meurt. Dans cette période, ce dernier cherche à faire de son existence la meilleure qui soit. Nombreux sont ceux qui parlent du cadeau qu'est la vie, de ce chef d'œuvre de la nature. Pour autant il apparaît nécessaire de se demander si on peut comparer l'existence à une œuvre d'art : toutes les maladies, les guerres ou les malheurs engendrés par l'homme peuvent laisser sceptique quant à la beauté artistique