Vie Associative

ne croit pas vraiment que les animaux sont des choses comme les autres. Contrairement à Descartes, il croit plutôt à une spécificité de certains organismes, les êtres vivants, qui ne sont pas de vulgaires machines (CFJ). Cf. fait que Kant définit la vie comme "faculté d'agir d'après la représentation d'une fin", ce qui est l'analogon de la liberté. Pour Descartes, on peut réellement faire ce qu'on veut des animaux, puisqu'ils ne souffrent pas : ainsi, pas de différence entre l'animal qui crie sous

SVT PONDICHERY Session de 2003 Série S Q1 : (10 points). LA CONVERGENCE LITHOSPHÉRIQUE ET SES EFFETS Reliez les informations apportées par les principales caractéristiques (topographique, magmatique,..) de la subduction aux événements et aux transformations minéralogiques subis par la lithosphère océanique plongeante. On limitera l'étude au cas d'une subduction sous une marge continentale. La réponse organisée comportera une introduction et une conclusion. Elle sera illustrée par un schéma

De nombreuses questions philosophique sont liées à la nature humaine et à la place de l’homme au sein de la Nature, l’être humain appartient à celle-ci, il en est de même pour l’ensemble des êtres vivants puisqu’il s’agit de toute entité dotée de vie, appartenant à la nature. Pour autant, on peut se demander si l’homme est un être de la nature comme les autres, tant il a ou a eu tendance à se définir supérieur à ceux-ci depuis des centaines d’années. L’homme n’est-il alors qu’in être vivant ? Ainsi

qui sont parfois difficiles à identifier car avec le temps, il y a disparition de la MO qui caractérise le sol. I La pédologie : Objets et Méthodes Etude des caractères de l’évolution et la répartition des sols. 1) Historique : Dans la vie on parle de terre grasse et de terre maigre par rapport aux rendements d’un sol. Les romains savaient que la richesse des sols dépendait de la quantité de l’humus. Au XVI : Olivier de Serres établit un classement des sols. Bernard Palissy :

Le désir est-il l’essence de l’homme ? Le désir , au point de vue étymologique , vient du latin ‘’ desiderare’’ qui signifie ‘’ Chercher’’ , ‘’désirer’’. Dans la vie courante , désirer serait une tendance consciente vers un objet jugé agréable. Tout désir apparaît donc a la conscience. Spinoza écrit même dans l’Ethique : ‘’ le désir est l’appétit avec conscience de lui-même’’. A la différence du désir , subjectif et conscient , le besoin est jugé objectivement nécessaire. Le besoin est donc

vu que l'opinion générale n'est pas du même avis que le poète. Victor Hugo, pour nous induire à avoir le même avis, même si ce ne doit pas être la fonction première de ce poème, Victor Hugo nous fait parvenir de sa pitié, nous démontrant la triste vie de ces deux êtres vivants. (Champs lexical de la pitié) dont on peut y relever au vers 3 « tout châtie », vers 7 « captives », « victimes » vers 15, « faites grâce » vers 17 ainsi que « Plaignez » vers 19.  La phrase "Ô sort! fatals nœuds !" nous fais

part, les dérives des progrès scientifiques et la société de croissance à tout va amène de plus en plus de consciences éclairées, pour ne pas dire de visionneurs, à penser dès maintenant à une redéfinition des rapports entre l’homme et son milieu de vie. L’homme peut maîtriser la nature, il l’a montré, mais il ne peut pas faire ce qu’il veut sans lui-même se compromettre. A la limite, accorder des droits à la nature, c’est la protéger, et de fait protéger l’homme. En somme, accorder des droits à la

génération vivipare, ovipare ; la génération asexuée, sexuée. Les organes de la génération. 2. Pour divers que soit le mode de génération des êtres vivants, il apparaît toujours comme une conséquence de l’accroissement cellulaire. (J. ROSTAND, La Vie et ses probl., 1939, p. 26.) Génération spontanée. Constitution, formation d’êtres vivants à partir de la matière inerte. 2. P. ext. Action par laquelle une chose est produite, se forme ; p. méton., le fait ou la manière de se former. La génération

A. Le concept de croissance Ne perdons pas de temps et allons droit au but : le terme de croissance n'a pas son origine dans l'économie, mais dans la nature même de la vie. 1) Il est dans la nature même de la vie, au sens biologique, de chercher à s'accroître et à se développer. Les grecs avaient un mot pour cela, le mot Nature lui-même. La phusis, la Nature, est un mot dérivé du verbe phuein qui veut dire croître. La Nature est celle qui croît. Cependant, dans le contexte de la Nature

Le travail Réussit-il d'ailleurs à satisfaire ne serait-ce qu'un besoin (Réflexion sur l'aliénation par le travail, voir Marx) ? Au lieu d'apporter une satisfaction, n'apporte-t-il pas une souffrance ? Au lieu de gagner sa vie, on perd sa vitalité ou même, on perd son humanité (problème de l'esclavage). Et pourquoi serait-il si réducteur que le travail ne soit qu'un moyen (réflexion sur le "ne/que" du sujet) de subvenir à nos besoins ? Conseils pratiques. Demandez-vous si le travail n'est pas, pour