Vie quotidienne

Je t’aime au-delà de tout. Rien n’est plus puissant, plus grand que mon amitié envers toi. Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime. Ma meilleure amie. Ce sont trois mots qui rythment l’essentiel de ma vie. Cette personne qui ne m’a jamais laissé tomber. Cette personne qui sait me faire rire n’importe quand, a n’importe quel endroit, pour pratiquement n’importe quel raison. Comment expliquer ce que je ressens à son égard ? C’est tellement puissant, tellement fort que les mots ne pourrons même pas décrire

Ma pendule accrochée au mur remplit tout le quotidien de ma vie. Elle m’annonce fidèlement l’heure qu’il est et comptabilise pour moi mes années, mes mois, mes jours, mes heures et les minutes, régulièrement et avec une grande justesse. Elle m’est aussi dévouée que ce cœur qui bat librement à l’intérieur de ma poitrine et qui est en dehors de ma volonté. Ma pendule m’apprend avec la sincérité et la justesse de son mécanisme, le temps derrière lequel je cours, insoucieux, sans m’inquiéter du lendemain

maison. Langlois contemple avec obsession le portrait d´un homme qui est en réalité M.V, l´époux de la brodeuse. Après son mariage avec Delphine, il s´installe dans un bungalow qu´il a lui-même construit et prend l´habitude de fumer son cigare quotidien. Un jour, il rend visite à Anselmie et lui demande de sacrifier une de ses oies. Langlois contemple avec fascination le sang qui coule sur la neige. Le soir même il allume une cartouche de dynamite au lieu de son cigare. Dans ce roman, les points

première édition en 1989, deuxième édition en 1999, Massage à la portée de tous, éditions Édimag, 1998,(épuisé), Massage pour enfants, éditions de Mortagne, 2001, Sagesse ancienne, aujourd’hui et demain, éditions Gilles Morand, tome I. Un appel à la vie et à la santé holistique, 2001, (épuisé), tome II, Le massage à la portée de tous, 2001, tome III, Énergie apprivoisée et évolution, 2002, tome IV, Évolution de la conscience, 2003, tome V, Urgence planétaire 2003-2012, 2004, (épuisé), tome VI

et omniprésent, dont l’inconscient n’est que la proie, berné de belles promesses. Au fond, nous sommes tous à notre insu, plus ou moins victimes du délabrement social. Regardez autour de vous ; à qui ment-on si ce n’est à nous même ! Notre lieu de vie est factice, notre environnement est factice, nos croyances sont factices et notre routine l’est aussi. Tout ce que l’homme touche ou instaure n’est autre que le fruit d’une transformation idéologique à l’encontre de la nature. Notre civilisation

Il   n'a   plus   la   même   vie   physique,   ni   le   même   monde   en   nombre,   la   démographie   ayant   soudain,   pendant   la    durée   d'une   seule   vie   humaine,   bondi   de   deux   vers   sept    milliards   d'humains  ;  il  habite  un  monde  plein.       Ici,   son   espérance   de   vie   va   vers   quatre-­‐vingts   ans

notre. Ils ont un coeur eux aussi donc pourquoi faudrait ils leur oter la vie sans raison ? Dans le gouvernement qui nous compose, il existe des milliers de loi qui defendent tout un tas de chose mais pas celle des animaux malgres que eux vivent des souffrance au quotidien il ne peuvent beneficier de protection que une fois une espece en voie d'extinction ce qui est injuste pour ceux qui vivent des soufrance au quotidien: ceux qui se font exiber pour de l'argent dans des foires, des cirques ces

celui-ci peut être atteint par différents facteurs. Par exemple une personne qui aime son métier, qui gagne son salaire, qui a de bonnes relations avec d’autres personnes, qui a des loisirs sera heureuse à long terme. Même si les hauts et les bas du quotidien peuvent exister, une personne qui est en accord avec elle-même a toutes les chances d’être heureuse. Qu’en est-il pour les animaux ? Chez l’animal, le bonheur est moins complexe. S’il peut se nourrir, s’il peut se déplacer librement et s’abriter

inaccessible. - J'ai été embauché, s'écria Xavier, je suis le plus heureux des hommes ! - Voyons mon frère, comment peux-tu être heureux alors que tu vas travailler ? - Mais Nicolas ! murmura-t-il, mon bonheur se construit tout au long de ma vie et le travail aide à cette construction. - Non ! Le bonheur n'est pas de ce monde ! hurla Nicolas, tous les hommes cherchent le bonheur et aucun n’atteint son but. Tout leurs gestes sont justifiés par leur objectif jusqu'à leur suicide lorsqu'ils

disparition, et l’exemple le plus commun, c’est la perte des êtres aimés, qui force l’esprit à s’engager dans la vie quotidienne et à subir la rupture du temps dans un cadre de vigilance anonyme et personnelle. Alors, dans un sens ontologique, la mort est à l’origine de la vie, puisqu’elle s’inscrit dans la conscience la plus personnelle qui existe. D’où le double mouvement qui caractérise la vie humaine : aller vers l’autre dans ce que nous pouvons nommer l’acceptation de l’histoire à travers le présent