Vie quotidienne

apprend. Selon moi il est important d’user de notre logique pour ne pas rejeter continuellement tout ce dont on doute. Je me dis que des penseurs exceptionnels ont faits avancer notre monde et qu’il serait absurde de remettre en question le travail d’une vie à chaque fois! Une autre grande caractéristique de sa conception est le fait de séparer l’esprit du corps. Il est vrai que le raisonnement de Descartes pour arriver à cette conclusion est logique, mais il m’est difficile d’y adhérer. Je ne serais

aérienne : 1) Un univers infini : 2) Supériorité du poète : B) L’art poétique : 1) Noblesse et pureté de forme : 2) La noblesse du poète : 3) La liberté poétique de Baudelaire : III) Le spleen de Baudelaire : le poète dans la vie : A) Réalisme et réalité : 1) Une civilisation hostile : 2) Capture et environnement : 3) Mal universel : B) Fatalismes et regrets : 1) Un idéal impossible à atteindre : 2) Un voyage vers la mort : C) Le poète marginale et exclu :

place, son mot à dire dans la société moderne. Il est vrai cependant, me direz-vous, qu'il doit être merveilleux de voir tous nos doutes et indécisions balayés par une certaine exaltation qui nous ôterait tous les tracas et questionnements de la vie quotidienne, qui balayerait les remises en question. Nos propos et pensées nous donneraient assurance et confiance. Mais à tout ceci je répond non. Si ne pas avoir de doutes provoque il est vrai, une certaine assurance, tout ceci n'est rien d'autre qu'une

"une ville de province" décrit une ville mais elle est moins préambule décoratif ou documentaire qu'une tentative de montrer en quoi l'homme est déterminé par son miliei comme son milieu l'est par lui. La ville n'est pas seulement le théâtre de la vie humaine : elle y joue un rôle actif, repoussoir ou réceptacle des ambitions, miroir vivant des antagonismes. la ville parvenue au rang de forme visible, de paysage, offre à l'imagination poétique le point de départ des plus riches métamorphoses

impératifs vitaux minimaux, à une sphère « économique » comme disent les Grecs. « D'autre part, la première communauté formée en vue de la satisfaction de besoins qui ne sont pas purement quotidiens est le village. » Il faut comprendre que famille et village sont régis par le besoin, par la nécessité naturelle de la vie, et ne sont pas propres à l'humanité. Le cas de la « polis » est différent. « Ainsi, formée au début pour satisfaire les besoins vitaux, elle existe pour permettre de bien vivre. » Dans

dans la vie quotidienne. Ensuite, la nature disparaît pour laisser sa place à des usines polluantes et à l’industrialisation. Les savants sont plus nombreux et prennent une place importante sur la fresque (leurs noms sont indiqués tel que Ampère, Ohm, Biot, Savard…). A la fin de la fresque il n’y a plus de place pour l’homme, il n’y a plus que des installations électriques et des Dieux. Il ne reste plus qu’une seule couleur : le bleu, symbole de l’électricité mais aussi d’un monde sans vie. Il a

Etre hospitalisé signifie véritablement être en rupture avec le monde extérieur, avec la vie ordinaire. L’accident, aléa bête et brutal, vient te saisir comme un aigle dans ta petite vie tranquille, bien réglée, et il t’emmène dans ses serres tout là-haut dans son aire. C’est fini. Tant que tu resteras dans ce repaire tout là-haut, rien ne sera vraiment comme avant. Pas mal la métaphore de l’aigle, mais pour ce qui est de cette (més)aventure, l’altitude ne correspond pas trop, on se verrait plutôt

insignifiantes que des insectes dans une lutte beaucoup plus grande entre des forces plus  grandes qui ne prête aucune importance à l'humanité en raison de la taille minuscule de cette  dernière.  Je  voulait representer a travers mes oeuvres cette idee de l'insignifiance de la vie humaine  mais aussi des forces surnaturels qui hante nos cauchemars ?    J’en ai realise deux projets, le premier est une serie de dessin en noir et blanc qui represente  les forces cryptiques, etres parisitiques qui ne fonctionne pas a notre avantage(nos 

Verdun, 19 octobre 1916, 7h30 Ma très chère mère, vous qui m’avez mise au monde, mais dans quel monde ! Par quel miracle suis-je encore en vie ?! Je me pose cette question chaque heure. Pourquoi moi ? Je n’ai pourtant rien de plus que les autres. Au contraire, je ne suis qu’un jeune homme d’à peine 20ans, qui n’a ni femme, ni enfants. Des centaines de camarades on une famille qui les attendent chez eux. Une famille, qui, tous les matins se rongent le sang en attendant le facteur et en priant

Le désir est-il l’essence de l’homme ? Le désir , au point de vue étymologique , vient du latin ‘’ desiderare’’ qui signifie ‘’ Chercher’’ , ‘’désirer’’. Dans la vie courante , désirer serait une tendance consciente vers un objet jugé agréable. Tout désir apparaît donc a la conscience. Spinoza écrit même dans l’Ethique : ‘’ le désir est l’appétit avec conscience de lui-même’’. A la différence du désir , subjectif et conscient , le besoin est jugé objectivement nécessaire. Le besoin est donc