Vieille Charité

armoriées, mais vides » symbolise cette toute puissance de l'argent et de l'apparence . C'est une critique acerbe de la société de l'époque. Balzac, procède également à une critique de l’Église. En effet il reproche à cette dernière son manque de charité et son mercantilisme. Là encore les relations sont faussées par l'argent et l'Eglise est vidée de son rôle premier qui est l'offrande et l'aumône. L'enterrement de Goriot repose sur l'argent, et est précipité. Nous voyons le clergé intervenir de

par présenter l’institution qui le porte et le coordonne. 1. Présentation du centre communal d’action sociale de la ville de Grenoble Le traitement de l’aide sociale et de la pauvreté est ancien et on le retrouve dans l’histoire sous la forme de charité chrétienne et des bureaux de bienfaisance. Ces derniers ont évolué et sont devenus avec le temps les bureaux d’aide sociale jusqu’au 6 janvier 1986, où sont créer officiellement les centres communaux d’actions sociales. Rôle et missions Le centre

folie sont des signes des dieux. Conduisait à des attitudes de rejet. Platon: « les fous ne doivent pas paraître dans la ville, chacun d'eux sera gardé chez eux par ses proches ». Moyen-âge: ce sont des pauvres parmi les pauvres : ils dépendent de la charité ou de la philanthropie. - RF développe l'idée d'assistance publique mais on continu à parlé d'infirmes. - 19e appréhension du handicap prend une forme sociale plus marquée. - Sous influence des accidents du travail et de la 1ère GM on parle de

commun, les surplus sont partagés avec ceux qui sont en manque. Il n’y a pas de propriété privée, les maisons ne leur appartiennent pas. Sur cette île, la spiritualité joue un rôle important. Les habitants d’Utopia se reconnaissent dans l’idée de charité du Christ et prennent donc soins des plus démunis. Les Utopiens sont une communauté de nature dans la dignité de la valeur humaine. L’utopie de More prônait la morale, mais Machiavel écrit qu’il ne peut y avoir de bonnes lois si les armes ne

et un pauvre ermite. Dom Juan veut faire blasphémer le pauvre qui préfère mourir de faim que d’avoir été tenté I) Opposition entre deux personnages 1) Dom Juan, personnage sarcastique -Personnage Noble, Athée, libertin, qui ne respecte pas la charité et commet une erreur, pêché =) méprise de DJ envers Pauvre. -Se moque du Pauvre : l.6 + l.26 = ironie or on parle pas comme ça aux pauvres. Oblige le pauvre à blasphémer, à jurer pour lui donner de l’argent. 2) Le pauvre : un personnage honnête

l'hypocrisie sociale Ligne ''tortueusement couché'' => e. péjoratif de Paris par l'adverbe tortueusement, vient de tordu => connotation péjorative cf à l'immoralité Parisienne => cf serpent : animal tentateur.3) Critique de l’Eglise : manque de charité de l'Eglise :  Ligne ''tout ce que l'on peut avoir pour soixante-dix francs (...) prier gratis" => présent de vérité générale, 2 Cl mêlés argent/religion : Lien direct => argent=religion. Peu de moyen donc enterrement expéditif : '' nous pourrons

convulsif – rires déchirés – haletants – mystérieuses paroles – acclamations furibondes – le sabbat. Interprétations possibles : La misère insoutenable peut conduire des hommes vers des rites liés à l’enfer. Ces hommes semblent abandonnés par la charité chrétienne, ils se tournent alors vers le diable… Les élèves doivent formuler leurs propres hypothèses. Conclusion de cette première partie : cette peinture des forçats présentée comme un rite démoniaque fait accéder le lecteur aux conditions

gouvernement » ; V19 « président » Alors que les circonstances ne le justifient pas, il n’est question que d’une huître. Il ridiculise les 2 pèlerins  il ne fait que suivre leurs comportements - Pèlerins = connotation religieuse, donc normalement charité chrétienne mais paradoxe car ils se disputent et ne veulent pas partager : on se moque V15 « bel incident » doute du sens de l’abjectif - « bel »  ironique, plutôt un incident mesquin: antiphrase - ils se ridiculisent par leur entêtement à ne

en application du principe de la charité chrétienne, la mission de « recueillir » les pèlerins, et les indigents, de les nourrir et d’en prendre soin, à défaut de pouvoir les soigner. Il confère en outre aux biens hospitaliers un caractère inaliénable, dans le but notamment de garantir une partie de leur autofinancement. A cette époque, l’histoire de l’hôpital évolue, de façon parfois erratique, dans une triple direction : celle du champ religieux et de la charité vers le champ laïc de l’assistance

universelles ou contre elles. L’homme doit élire parce qu’il est né pour agir ; ne pas agir, c’est ne pas exister.[9] D’après Voltaire, le constituant de base de la société est l’amour-propre. Sans amour-propre on ne peut pas apprendre à éprouver la charité envers les autres, envers l’autrui. Ce sont la loi divine et la Religion qui doivent cultiver l’amour-propre pour en former un sentiment subtil qui peut initier le vrai amour chrétien, qui doit devenir la relation élémentaire de la société. Quant