Vies minuscules

: SANTE-MEDECINES-BIEN-ETRE | consulté 601 fois | 0 commentaire(s) Les nanotechnologies contre le cancer Le Figaro observe en effet que « comme d’autres domaines de la médecine, la cancérologie se met à l’heure des nanotechnologies ». « La plupart de ces minuscules outils […] n’en sont qu’au stade de la recherche. Mais ils ouvrent à moyen terme, des perspectives passionnantes tant pour diagnostiquer que pour soigner les cancers », note le journal. Le quotidien relève que « côté diagnostic, l’un des défis

(Pourquoi construire ?) Je n’ai jamais prétendu changer le monde, ni même rêvé de le faire. Je ne fais pas partie de ceux qui passent leurs vies à entretenir courageusement l’espoir héroïque de changer la face des choses, la face des gens. Certains rêvent d’institutions, d’autres de grandes découvertes. Certains consument leurs vies entières en direction d’un but grandiose ou quelconque. La création engendre la création, tout comme la découverte appelle à être approfondie. Bien heureux

psychosociologues, fraîchement diplômés. Vivant à Paris, il trouve leur vie monotone et rêve d'autre chose. Le passage étudié se trouve au chapitre huit de la partie une. Ce chapitre met en évidence la vie de Jérôme et de Sylvie. On peut y voir un bilan sur leurs vies du jardin d'enfants à leurs études. I l met également en avant l'aspiration des personnages et leurs rêves pour une vie meilleure. Il permet également de montrer l'importance et les dégâts que peuvent causer leurs rêve dans leur quotidien. Le passage

Devoir de francais objet du quotidien On qualifierait un objet du quotidien comme un objet omniprésent dans nos vies et qu’on utiliserait tous les jours. En 1938, deux frères, les frères Bíro tous deux chimistes et d’origine hongroise, ont inventé un objet qui adhère malheureusement à mon quotidien. D’une forme anormalement allongée et composée de matériaux extrêmement polluant donc néfaste à l’environnement, le stylo bille est l’objet de ma répulsion. C’est un objet à première vu anodin.

publicitaires ». D’ailleurs l’attaque de la publicité peut s’incrémenter encore dans le futur, à cause de la recherche des technologies qui facilitent son introduction dans nos vies, comme l’idée d’une publicité personnalisée, par exemple. D’un autre côté, certaines personnes, comme Bill Bernbach, l’homme qui à lancer la minuscule « coccinelle »au pays des grosses voitures, et qui pense qu’il vaut mieux par « courtoisie » ne pas s’inviter de force « dans le salon des gens » pour que ceux-ci n’aient

des animaux l’homme a fait en sorte de se construire un environnement confortable, où il est le seul à régner en maître. C’est ainsi qu’on peut dire que désormais, l’animal et ses conditions de vies sont le reflet d’une évolution importante de l’homme, de ses espaces, de sa culture et de ses modes de vies. Introduction : Phrase d’accroche : Dans quelques semaines on établira ou non l’interdiction officielle de la pêche de thon rouge dans le but d’assurer la biodiversité, et la pérennité de la

écrire son premier livre, un recueil de nouvelles intitulé 'La Préférence nationale'. Son premier roman, 'Le Ventre de l'Atlantique', écrit avec humour et finesse, a remporté un franc succès. En 2006, elle publie 'Kétala' puis en 2008 'Inassouvies, nos vies'. Ses oeuvres sont inspirées de sa vie, de son intégration dans son pays d'adoption qu'est la France, son enfance au Sénégal et les relations qu'entretiennent les deux pays. Contrairement à ce qu'exigent les traditions de sa terre natale,

note: A+ Le système périodique CARBONE de Primo Levi Quel sens donnez-vous au texte? Le texte parle de la notion du temps et de la composition organique des corps terrestres. En se servant d’une histoire narrant deux vies possibles d’un atome de carbone, il explique que ce que nous, les humains, appelons temps n’est qu’une sensation, une notion complètement subjective et fictive. En effet, il n’existe pas de « temps » proprement dit, nous avons inventé ce terme pour mieux

ouvrir la porte, cette histoire de chiffres m’avait gaché la journée qui commençait pourtant très bien. Je scrutai la porte dans les moindres détailles et je fus l’homme le plus heureux du monde lorsque j’aperçus, en bas à droite de la porte une minuscule cerure. Par automatisme je mis la main dans ma poche afin de sortir mon trousseau de clef. Evidemment je me rendis vite compte que ma poche était vide et que de toutes façon il n’allait pas avoir la clef de cette porte puisque c’était la première

est celle de Jean Jacques Rousseau, extraite de l’essai Emile ou De l’éducation paru en 1762. Les deux autres textes publiés au XXe siècle sont extraits de Comme un roman écrit par Daniel Pennac et de La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules écrit par Philippe Delerm.]3[ Chacun de ses auteurs défend une certaine conception du livre et de la lecture. Pour Rousseau, non sans paradoxe pour un philosophe, les livres sont néfastes. « Je hais les livres »l.1 écrit-il avant de se justifier