Vigny La Maison Du Berger

Amours jaunes, « Le Poète et la Cigale » TEXTE 2 J. de La Fontaine, Fables, « Le Loup et les Bergers » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 Plutarque, « Le banquet des sept Sages » ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE J. de La Fontaine, Fables, livre VII TEXTE 3 Fontenelle, Histoire des oracles D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 G. E. Lessing, Nathan le Sage ANALYSE D’IMAGE TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS J. de La Fontaine, « Le Loup et les Bergers » Florian, « La Fable et la Vérité » 57 57 59 59 60 61 62 63 64 64 64 65 65 66 Paraboles

Mercure de France, I-X, 1910, Emile Saillens, australien et Le bush (3) son poète. : Verlaine dit aussi et révoltés, u « Ils nasillent des chants bizarres, nostalgiques LES ORIGINES 11 « « « gner de la ; maison. ils Ils sourient et ne sont ; « « — — se pas heureux ils ils chantent et ne sont pas gais sont las et pourtant ils vont toujours ; ils aiment et ne peuvent s'arrêter ; — marient et restent « « « guettent litaires

Sirventès serventois en français. Ce sont des compositions politiques ou critiques. - Pastourelles - Chanson des femmes chanson mise dans la bouche d’une femme où elle s’exprime, mais pas écrite par une femme. - Chanson pieuse bergers et bergères. Gab : il consiste à un exercice littéraire d’exagération. Il peut parler sur la valeur, le courage, le savoir faire. D’autres parlent sur l’amour. Joc Partit : jeu qui est soumis à des convections. Ce sont deux personnages qui dialoguent

soleil qui les rend sombres / Avec elles disparaîtra » (v. 5-8). Vers qui ne sont pas sans rappeler le troisième distique de « Colloque sentimental » de Verlaine (Les Fêtes galantes, 1869). Ce sont d’ailleurs des spectres qui, dans le poème « La maison des morts » (p. 50), font serment de fidélité et promesse d’amour éternel aux vivants rencontrés sur leur chemin, tout se passant comme si l’amour n’était pas de ce monde et comme si sa durée était confondue avec l’éternité de la mort. L’errant

sentir." [ Alphonse Allais ] "Treize à table n'est à craindre qu'autant qu'il n'y aurait à manger que pour douze." [ Grimod de la Reynière ] "Noël, c'est la veille, c'est l'attente." [ Georges Dor ] "Le Père Noël ne fait jamais de réveillon dans sa maison, car il rentre au mois de mai ; ce n'est plus la saison." [ Francis Blanche ] "Le chocolat plonge des êtres par ailleurs normaux dans d'étranges états extatiques." [ John West ] "Une huître, c'est un poisson fait comme une noix." [ Jean-Charles ]

coupable et Tartuffe Si l’on s’en tient au plan des deux pièces, cette scène de La Mère coupable correspond à la scène 3 de l’acte IV de Tartuffe. On étudiera les personnages en présence, leur nombre et la nature de leurs liens avec le chef de maison, la teneur de leurs interventions. Quels membres de la maisonnée sont absents ? Lequel des deux « abusés » est-il le plus difficile à convaincre de la fourberie de l’hypocrite ? Comment la tentative de détromper l’abusé est-elle amenée ? Les deux

- Que dénote-t-il ? - Répertorie les sens connotés par ce mot. - Que peut-on dire du texte littéraire par rapport au texte non littéraire ? EXERCICE 2 Texte 1 J’aime ce peuple, grouillant sur le trottoir, coincé dans un petit espace de maisons et d’eaux, cerné de brumes, de terres froides, et la mer fumante comme une lessive. Je l’aime, car il est double. Il est ici et il est ailleurs. (…) La Hollande est un songe, monsieur, un songe d’or et de fumée, plus fumeux le jour, plus doré

rôle politique à leur époque. C'est au romantisme, en tant qu'enfant de la Révolution française et initiateur de bien des consciences nationalistes, que revient cette conception du rôle du poète : il trouve une première expression dans le Moïse de Vigny. Nous y voyons le personnage religieux, le prophète qui touche au divin devenir aussi le guide des Hébreux. Sa quête mystique est aussi au service de son peuple. Mais sa mission lui pèse et il ne rêve que de revenir « au sommeil de la terre ». C'est

le titre de la première. Je sais seulement qu'elle se plaçait quelque part en Belgique ou en Hollande ; il y était question d'une vieille armoire d'où sortait, chaque nuit, une petite figure féminine qui, finalement, se trouvait être la fille de la maison et devenait la femme du voyageur... C'était certainement de Gide... Espérons qu'il ne m'arrivera pas cette fois ce qui m'arrive avec un confrère allemand, auquel, tous les cinq ans, lorsque je le rencontre, je dis mon enthousiasme pour une prestigieuse

de s’en aller. Leurs lèvres se rencontrèrent encore dans un dernier long baiser. Puis, le petit corps, dans sa blanche livrée, glissa par la fenêtre, vola au travers du petit jardin baigné des clartés de la lune et s’évanouit par la fenêtre de la maison voisine. Quand ils se retrouvèrent dans la sacristie le lendemain matin, l’enfant leva son visage à la beauté de fleur et le prêtre, mettant délicatement ses bras autour de lui, le baisa tendrement sur les lèvres. – Mon chéri, mon chéri ! Ce fut tout