Vilaine

Quasimodo le bancal ! Noël ! Noël ! On voit que le pauvre diable avait des surnoms à choisir. - Gare les femmes grosses ! criaient les écoliers. - Ou qui ont envie de l'être, reprenait Joannes. Les femmes en effet se cachaient le visage. - Oh ! le vilain singe, disait l'une. - Aussi méchant que laid, reprenait une autre. - C'est le diable, ajoutait une troisième. - J'ai le malheur de demeurer auprès de Notre-Dame ; toute la nuit je l'entends rôder dans la gouttière. - Avec les chats. - Il est

Stade rennais université-club. Il dispute ses premières compétitions officielles à partir de 1902 au sein du Comité de Bretagne de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques. En 1912, le club emménage sur un terrain situé au bord de la Vilaine, sur lequel est érigé l'actuel Stade de la route de Lorient. Après avoir brillé dans les compétitions régionales, le Stade rennais se fait un nom au niveau national en atteignant la finale de la Coupe de France en 1922 et 1935. Au cours de cette

étudiants. Le soir, Raphaël décide d'en parler à ses parents, qui lui conseillent de ne pas réagir, mais le jeune élève n'en fait qu'à sa tête. Le lendemain, pour contrecarrer la punition générale, Raphaël et ses amis décident de jouer un tour à la vilaine enseignante : visser les pieds de sa chaise à l'estrade de la classe. La manoeuvre est risquée, mais ils parviennent tout de même à réussir leur entreprise. Grivet entre, et est furieuse de constater qu'elle ne peut plus bouger sa chaise. Réginald

adorait les fritures de Seine, les gibelottes et les matelotes, les tonnelles des cabarets et les cris des canotiers. Il aimait partir avec elle, par un jour clair, sur l'impériale d'un train de banlieue et traverser, en disant des bêtises gaies, la vilaine campagne de Paris où bourgeonnent d'affreux chalets bourgeois. Et quand il lui fallait rentrer pour dîner chez Mme Walter, il haïssait la vieil- le maîtresse acharnée, en souvenir de la jeune qu'il venait de quitter, et qui avait défloré ses désirs

elle avait pour ramer deux crins de cheval blanc. C'était charmant. Et elle savait aussi chanter, et son chant était doux et gentil, tel qu'on n'avait jamais entendu le pareil ici. Une nuit qu'elle était couchée dans son délicieux lit, arriva une vilaine grenouille qui sauta par la fenêtre; il y avait un carreau cassé. La grenouille était laide, grosse et mouillée, elle sauta sur la table où Poucette était couchée et dormait sous l'édredon de feuilles de roses rouges. "Ce serait une femme parfaite

plaignez la piqûre, Oh ! plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie De les écraser, Pour peu qu'on leur jette un oeil moins superbe, Tout bas, loin du jour, La vilaine bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour ! Victor HUGO, « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », 1856 I. UN ELOGE PARADOXAL 1. Un poème lyrique → expression d'un amour paradoxal 1e PS + 3e PS sentiment

Forçat (« Je suis forçat, voici la chaîne que je porte »), mais aussi l’Épée, la Mer, la Borne du chemin, la Patrie, ou encore une « Voix dans l’air » ou la Conscience (« Tout s’en va » et « Le Bord de la mer »). Ailleurs, il donne la parole à « la vilaine bête et la mauvaise herbe » qui « murmurent : Amour ! » (Les Luttes et les Rêves). • Le poète peut donc – et doit – prêter sa voix à ceux à qui ne savent pas s’exprimer : « La poésie, c’est quand le silence prend la parole » (Georges Duhamel)

négatifs qui tout au long du poème décrivent l'araignée et l'ortie Victor Hugo décrit ces animaux comme de "Vilaine bête et mauvaises herbes" , « plaignez la laideur » vers 21, « Noirs être rampants » vers6 ; « gueux » vers 12 ; « couleuvre » vers 11, « fauve horreur » vers 23.«chétives », « l’ortie est une couleuvre », « mauvaise herbe », « L’araignée un gueux », « pauvre animal », « La vilaine bête » la nature nous est montrée dans toute son horreur. On voit bien que dès le début du poème la nature

lui tous les airs et toutes les manières d’un homme fait », p. 85. Il est un personnage-pivot, car il fait basculer Oliver dans le monde des voleurs au chapitre 8. Fagin Il est d’abord présenté comme « un très vieux Juif tout ratatiné, dont la vilaine et repoussante figure disparaissait à demi sous des touffes de cheveux roux » (p. 90). Vieillard autoritaire et manipulateur, il dirige la bande des voleurs et parvient à convaincre Oliver qu’il en fait désormais partie : « Après avoir, par

comme : « l’ortie est-une couleuvre » v-11 ; « la mauvaise herbe » v-27. Par ailleurs, le poète utilise des expressions présentant l’araignée comme une horreur. En effet, on le voit avec : « L’araignée un gueux »v-15 ; « pauvre animal »v-18 et « la vilaine bête » v-27. De plus, ce qui nous dévoilent que le poème est sur la laideur c’est le champ l’lexical de l’obscurité. En effet, on constate bien l’apparition de l’obscurité et du noir dans ce poème, ce qui permet de voir la nature dans tous ce qu’il