Vincenzo Scamozzi

des particuliers connaissent au 16e siècle, après les périodes d'architecture byzantine et gothique, un ordre classique éliminant peu à peu les couleurs et privilégiant la blanche pierre d'Istrie. Ce sont surtout les architectes-artistes Antonio Da Ponte, Vincenzo Scamozzi, Antonio Contin et Andrea Palladio, qui contribueront à la splendeur de la ville en s'adaptant à la disposition urbaine prééxistante en donnant aux palais la puissance de nouvelles proportions, dans une architecture grandiose et monumentale d'apparat

femmes (1663) et l’Impromptu de Versailles (1663) où Molière règle ses comptes avec ses rivaux. Il finit par autoriser Tartuffe en février 1669. Tous les princes ne sont pas cependant des amateurs d’art éclairés. En aout 1627, le duc de Mantoue Vincenzo vend à Charles Ier Stuart la très riche collection d’œuvres des Gonzaga qui comprend entre autres, les Douze Césars de Titien, une Sainte Famille de Raphael, des toiles du Caravage et du Cortège. L’acquisition et le transport de cette collection

la Basilique est entourée par un portique à l'antique. Ce dernier rappelle la Bibliothèque de Sansovino. Il dessine aussi le Théâtre olympique qui est une restitution du théâtre antique. Ce dernier est achevé après sa mort par son disciple, Vincenzo Scamozzi (1552-1616). Palais et villas : Palladio construit surtout des demeures. Il construit des palais à l'antique comme les palais de Thienne (1542-1553) ou Iseppo Porto (av. 1552). Après 1530, sous l'impulsion de la noblesse vénitienne, il construit