Violence Politique Dans Lorenzaccio

soudain Quiconque ose pleurer un ennemi romain ! Pierre CORNEILLE, Horace, acte IV, scène 5, extrait, 1641. › Texte 2 Le Duc de Florence, un débauché tyrannique, est craint et détesté par tous les habitants de la ville. Lorenzo, surnommé Lorenzaccio, a gagné la confiance du Duc pour l’assassiner. Il lui a donné rendez-vous dans sa chambre, lui faisant croire que sa tante Catherine est prête à passer la nuit avec lui. Il est accompagné de son valet Scoronconcolo. Scène 11 La chambre de Lorenzo

........................................................................................26 Le mouvement Dada et le Surréalisme (1916-1940).............................................................................26 Littérature et engagements politiques (1930-1960)...............................................................................27 Culture de masse (1918-1960)..............................................................................................................28 De 1918 à 1940

d'exhiber des lois scientifiques à partir de l'observation du réel. Ces lois sont, d'une part, celles de l'hérédité (c'est la folie de la tante Dide qui pèse ensuite comme une tare sur le psychisme de tous les membres de la famille, s'exprimant dans la violence ou dans l'alcool), d'autre part, celles de la société (les intérêts économiques déterminent les hommes). Cette dimension est manifeste dans la définition générale que donne Zola de sa série des Rougon-Macquart : « l'histoire naturelle et sociale

évolution vers la République. Mais la Révolution avorte. C'est l'avènement de la Monarchie de Juillet avec le roi Louis-Philippe. C'est une grande déception pour la classe intellectuelle. Sous ce régime règnent l'immobilisme social, le conservatisme politique, et un dynamisme économique favorisant la bourgeoisie. Cette période est vécue comme une descente aux Enfers pour les Français rêvant de liberté et d’espoir. Malgré les révolutions et les attentes de toute une nation, le pouvoir en place reste

de communication utilisé (visuel ou auditif). En privilégiant la fonction esthétique, la littérature s’éloigne de la communication utilitaire, qui se donne pour dessein de transmettre des informations (c’est le cas des écrits de la presse, de la politique), pour s’intéresser à la forme. Par conséquent, la littérature apparaît comme un art dont on a du mal à tracer les frontières notamment lorsqu’on s’intéresse aussi à des écrits philosophiques ou à des textes appartenant à des arts du spectacle tels

environ, bouleversa radicalement le visage de la littérature ainsi que ceui de la peinture. « Etre romantique c’est prendre au sérieux ses rêves» Selon Malraux c’est vouloir que l’imaginaire appartienne au réel ; cela débouche souvent sur une vision politique du monde révolté, voire révolutionnaire. Sommaire : I. Le romantisme dans l’histoire (pages 2 à 4) a) Contexte historique b) Le mal de siècle c) La fin du courant II. Le romantisme en littérature (pages 5 à

poésie sentencieuse, à vocation morale), dans des proverbes rimés par exemple. Le distique. Des poètes grecs très anciens, du VII° s. av.J.-C. environ, Callinos et Tirtée, ont composé des exhortations morales ; Solon a composé des distiques politiques ; Théognis (fin du VI° s. av. J.-C.) aussi ; tout comme l’illustre Sappho de Lesbos ; etc. Ce mètre devient rapidement celui de la passion amoureuse. Cette vocation du distique élégiaque va se confirmer avec la poésie de l’époque alexandrine

marqués par l'histoire de leur époque et des évènements très précis. Ils sont les petits fils de la révolution. 1789 constitue un point de rupture irréversible pour eux. Ça oblige la France de la première moitié du XIX à repenser ses structures politiques et idéologiques. On est dans une période extrêmement instable politiquement. On a même parlé d'Histoire désespérante. 1793-1794 Terreur 1794-1799 Directeur 1799-1804 Consulat 1804-1815 Empire 1815-1830 Restauration 1830-1848 Monarchie de Juillet

disloqué lui aussi par des coupes en cascade (v. 1-2-3). Rares sont les coupes à la césure, en général du reste détruites par un enjambement capricieux (v. 3-4, 9-10, 21-22), par des rejets (v. 5-6). À ce désordre syntaxique et rythmique s’ajoute la violence des mots intensifs : adverbes d’affirmation (« Oui », v. 6) ou de négation (« non », v. 26) ponctuent le discours et viennent affoler le rythme par autant de points d’orgue. Le lexique dépréciatif exprime aussi la rage de Don Salluste contre ceux

rencontrer les textes proposés. Le corpus, en posant la question de la représent ation sur scène de la marque son lien avec mort, l’objet d’étude au programm les textes vous amènent e. De façon plus profonde également à réfléchir , sur la place de la violence théâtre, sur la fascinatio n qu’elle exerce sur le au spectateur comme l’exprime sujet de dissertation. le s¬,E¬PARATEXTE Le paratexte, réunissant tout ce qui accompagne le texte (ses référence et les chapeaux introducte s, les notes urs), constitue