Violence Symbolique

véritable fonction de cette description en étudiant tout d’abord le réalisme du portrait pour mettre ensuite en évidence son caractère symbolique. [Problématiques possibles : - quelle est la fonction de ce portrait réaliste ? - en quoi le portrait de Catherine Leroux est-il à la fois réaliste et symbolique ? - en quoi ce portrait réaliste a-t-il une fonction symbolique ? … ] I) Un portrait réaliste de Catherine Leroux La description est motivée par le narrateur : la présence des autres personnages aux

Le 27 novembre 2005 des émeutes à Clichy sous Bois vont être le point de départ d'une vague de violences urbaines au sein d'un grand nombre de banlieues françaises. Les sociologues Stéphane Beaud et Olivier Masclet on tenté de comprendre ce phénomène de violence à travers l'évolution du rapport à l'avenir et des conditions sociales dans lesquelles vivent les enfants d'immigrés. En effet, cette idée est illustré par deux événements marquant : La MARCHE POUR L'EGALITE ET CONTRE LE RASCISME aussi

L’ASSOMMOIR DE ZOLA 1- Le portrait des personnages 2- Les différents lieux d’habitations de Gervaise 3- La portée symbolique du récit 1-Le portrait des personnages. * Gervaise : Gervaise est le personnage principal, une femme plutôt belle, blonde et de taille moyenne.  Une brave femme mariée en première noce à Auguste Lantier, ce premier conjoint qui buvait et qui la battait dont elle aura 2 fils, Etienne et Claude. Puis, un second mari du nom de Coupeau, avec lequel elle aura

démocratisation culturelle et les inégalités liées à la démocratie culturelle. (Chap. 3) Une inégalité est « une distribution non uniforme d’un bien matériel ou symbolique socialement valorisé par les membres d’une société. » Bourdieu pense que la distribution la plus inégale, la plus cruelle, est la répartition du capital symbolique ; c’est-à-dire de l’importance sociale et des raisons de vivre. » Dans le domaine culturel, on peut distinguer des inégalités mesurables : 1) « quantitativement »

destinataire que l’on peut supposer (tutoiement) chute surprenante du poème, révélation au dernier vers qui éclaire différemment l’ensemble du poème. -Vision pathétique de l’amour : « craindre », « orage » [métaphore] de deux quatrains. Grande violence du poète par des rimes embrassées (« arme » est l’écho de « larme », rapprochement de « amoureux » et « douloureux ». L’amoureux est présenté comme victime « ton amour qui me brûle ». Mais il n’a aucun recours à cette douleur puisqu’il affirme qu’on

relation sociale qui exerce des effets (variables selon les différents paramètres qui peuvent l'affecter) sur les résultats obtenus. Sans doute l'interrogation scientifique exclut-elle par définition l'intention d'exercer une forme quelconque de violence symbolique capable d'affecter les réponses; il reste qu'on ne peut pas se fier, en ces matières, à la seule bonne volonté, parce que toutes sortes de distorsions sont inscrites dans la structure même de la relation d'enquête. Ces distorsions, il s'agit

Accentue l’idée de machine monstrueuse -> comparaison avec la terre « bloc » Le sui masque leurs visage on ne peut pas les distinguer -> idée de masse c. L’armée Idée de violence domine Foule de furieux Bâtons, drapeaux Rythme croissant des vers, 3 alexandrins Chantent la Marseillaise (chant de guerre) III. Porté symbolique du texte a. Animal Animal = misère Ils sont présentés comme des bêtes Misère/faim les a rendus comme ca ( animal) Champ lexical : sabots, mugissent, galopent b. Symbole

HISTOIRE DES ARTS – CYAN FROUX Ces oppositions sont ainsi mises en place de manière à développer une puissante charge symbolique Les éléments de gauches évoquent : - La guerre La mort La violence L’agressivité L’impérialisme Les baïonnettes font penser à un symbole phallique La force La machine de guerre Les éléments de droites évoquent : - La paix La vie La non-violence Le pacifisme La résistance La fleur évoque la virginité, la féminité Le courage L’humanité Ce visage de jeune fille, c’est

pont et l'écoulement de l'eau -> amoureux résistant au temps qui les éloigne comme l'eau sépare les deux côtés du pont ; impératifs "restons" et insistance sur leur union avec les répétitions "mains dans les mains" - opposition entre lenteur et violence : allégorie avec l'Espérance et insistance sur la douleur avec diérèse dans "violente" -> effort sonore qui montre une intensité - difficulté à ce que la plaie se referme : évocation de sa souffrance amoureuse -> structure particulière et important

c'est un instrument de guerre, offensif et défensif, contre l'ennemi. » Celui-ci la réalisa à la suite du bombardement de la ville de Guernica qui eut lieu le 26 avril 1937, lors de la guerre d'Espagne, et qui devint rapidement un symbole de la violence de la répression franquiste avant de se convertir en symbole de l'horreur de la guerre en général. La ville a été bombardée par les armées d’Hitler pour démoraliser les populations, les Républicains et venir en aide au mouvement nationaliste de Franco