Violence Symbolique

Le symbolisme de la fleuret de lʼépée, au centre de la composition, présente comme une lueur dʼespoir. Sa délicatesse, sa fragilité résonne face au désordre et à lʼhorreur de la scène. Lʼépée brisée complète la symbolique de paix. Cependant, Guernica nʼest en aucun cas un tableau symbolique. Les visages expriment lʼexpression de lʼuniversel. Les yeux (en larmes) et la bouche édentée (symbolisant la personne désarmée) de la femme tombant dans les flammes (Guernica a été bombardé avec des bombes incendiaires)

Charles Baudelaire, « Le Spleen », Les fleurs du mal Problématique : Quelle est la place et la fonction du poète dans la société ? I. Une représentation symbolique du spleen 1) Paysage du spleen • champ lexical de l’humidité et de l’obscurité → un environnement qui se décompose comme son esprit • paysage bestiaire :

se remettait à monter », « il se trouva debout sur un roc immense et bien sur d’être séparé de tous les hommes », « debout sur son grand rocher », « dans le champ au-dessous du rocher », « Il voyait à ses pieds vingt lieues de pays » La valeur symbolique est mise en avant par le héros lui-même : « Cette position physique le fit sourire ; elle lui peignait la position qu’il brûlait d’atteindre au moral. » Sur ce perchoir, il est proche des rapaces dont il envie la « force ». • C.D. Friedrich :

de se comporter et de se déplacer en ville, ect.), et aussi un physique (paragraphe 2 : "grand", "moustache", "joli garçon"). Tout en répondant aux données de l'incipit, l'auteur effectue un zoom sur le personnage principal. II- Le portrait symbolique d'un personnage omniprésent A) Un personnage envahissant - mise en forme du texte : Son nom est présent dès la première ligne de l'incipit (l.2 : Georges Duroy). De plus, "Georges Duroy" est repris de nombreuses fois par le pronom "lui" et "il"

précisions sur le physique de Julien pour montrer que ce qu’a dit le père est vrai. Il renchérit sur l’objectivité du père avec le champ lexical de la violence pour montrer qu’à l’intérieur Julien est un être violent, faux et hypocrite ; comme il se fait passer pour une victime il est donc manipulateur. Sa seule valeur est la lecture, pas la violence physique « du bien… Julien lisait ». En réduisant l’idée « lisait », la consigne du père est anéantie, comme on peut le voir dans la proposition principale

avance vers la lumiere la liberté . Elle represente les republicains et le peuple qui ne se resigne pas . Au premier plan de la composition apparaît un combattant dont le corps est morcelé et décapité. Ce personnage porte sur son visage toute la violence de la guerre : la dentition précise, et la décapitation sont les signes de la brutalité, les yeux vides . Le taureau est un symbole de la force brute, de la cruauté. Au milieu de la débâcle il apparaît impassible. L'iconographie tauromachique

d’intervalles est intéressante. On pourrait en effet l’associer à une répétition mentale de K. afin de se souvenir de ses obligations. De plus, contrairement à Aldo, K. n’est pas séparé par une vitre de Pepi, et cette dernière n’est pas la représentation symbolique de la femme mais elle est simplement elle, d’où la difficulté pour K. de se dérober à son désir. Aldo ne désire-t-il pas simplement un moment, une image sacralisée plutôt que cette femme qu’il peut posséder ? La réponse que cherche Aldo semble se

brisée montre également la symbolique de la paix. Le fantôme tient dans sa main une bougie qui symbolise l’indignation de la communauté internationale qui veut éclairer ce qui vient de ce produire. Un prisonnier est brûlé vif, le bras levé au ciel pour imploré dieu ; des larmes coules sur ses joues, se qui signifie la douleur. Au premier plan apparaît un combattant dont le corps est décapité, il porte sur son visage la violence de la guerre, la brutalité

que c'est l'heure de la proie, l'instant est bon =>Une mise en scène mélodramatique , notamment par la peinture d'un brigand prêt à égorger la République confiante. # Mais sous couvert d'un ton plus doux en apparence, c'est un passage d'une violence contenue parce que présente à chaque instant dans l'ironie perceptible. En faisant semblant de faire le plaidoyer du coup d'Etat, Victor Hugo dénonce ainsi, et d'une manière chronologique, les intentions réelles du Prince Louis Napoléon. Il prononce

Maheude et l’enfant dans ces bras, sur Maheu ouvrant sa chemise et présentant sa poitrine nue. Certaines scènes comme par exemple celui de la castration de Maigrat conserve presque tous les détails présents dans le livre dans le but de bien rendre la violence sanglante du réalisme que Zola décrit dans le livre. La fosse du Voreux, cette sorte de beffroi qui contient les câbles des cages d’ascenseur, va ainsi devenir, comme dans le roman, un personnage à part entière, une véritable bête humaine, un monstre