Virginia Satir

politique livre 8 => philosophique La Fontaine est quelqu'un de poétique qui aime beaucoup la solitude; il n'invente pas le sujet de ses fables (sauf pour une vingtaine), il les adapte Lecture méthodique linéaire Les axes étudiés ici sont la satire et l'art du fabuliste Ici la fable est divisée en 5 parties: vers 1 à 16 : premier acte de la comédie vers 17 à 23 : parenthèse et intervention du narrateur vers 24 à 38 : coup de théâtre, deuxième acte vers 39 à 51 : deuxième coup de

hâter son propre mariage. Mais, devant son échec, il décide de ramener Agnès au couvent. Un retournement de situation permet finalement à Agnès de rester avec Horace. L’intrigue est donc assez simple. Elle permet cependant de faire la satire d’un homme qui lui-même, aime à se moquer des autres. Finalement Arnolphe évite de justesse le cocufiage. S’il n’est pas la risée de ses contemporains, il est la risée des spectateurs. Le comique Dans cette pièce, toutes les ficelles du

au discours indirecte libre. • Le narrateur parle au lecteur : - interpellation au lecteur : « vous serez » (l.63) • Genre : poésie : fable • Registres : didactique, comique et satirique • Thèmes : la naïveté et satire de la justice, de la cour et du pouvoir • Problématiques possibles : - Quelles images de l’âne La Fontaine cherche-t-il à donner et pourquoi ? - Le lecteur avait-il besoin d’une morale explicite ? • Liens avec d’autres textes :

de la mort. Problématique : comment la satire de la justice se fait-elle dans la conscience de Meursault qui attire le récit ? I) La satire de la justice 1) un récit satirique ← par le regard de Meursault, étranger et naïf ← la justice va être ridiculisée ← vocabulaire de l’étonnement ← multiplication des formules de modestie ← permet au lecteur de percevoir la justice sous un autre angle, regard neuf 2) Une satire de la rhétorique ← dénonciation des «

juge capricieux et superficiels. Il use alors de la satire pour dévoiler immoralité ainsi que les défauts du souverain. Elle est liée entièrement à la manière dont Montesquieu arrange son dispositif narratif en construisant de cette façon la fiction d'un regard étranger. Cette caricature masque le sérieux et parfois la gravité de l'œuvre prise en son ensemble. Remarquons la phrase « les français changent de mœurs selon l'âge de leur roi ». La satire se transforme en une accusation qui montre implicitement

leçon à tirer (instruire) a) La méthode expérimentale b) Le registre didactique, la démonstration c) Précurseur des Lumières III) Une forme spécifique au Lumières a) L'implicite et l'ironie contre la censure b) La satire pour mieux dénoncer la superstition c) La raison et la science maitre-mots des Lumières - En quoi ce texte est-il emblématique des Lumières ? * Plan : I) Un récit satirique marque l'ironie a) Apologue b) Conte philosophique II)Un

III. La leçon de la lettre A) Les préjugés des français - A la l.22 : « c’est une chose bien extraordinaire » : Les parisiens pensent alors qu’il ne peut pas y avoir des personnes avec d’autres cultures et d’autres modes de vie. B) La satire - A la l.15 « quelque chose d’admirable » : critique du type européen C) L’efficacité de l’ironie - A la l.6 et 7 « Ils n’étaient presque jamais sortis de leur chambres » : critique de Montesquieu aux parisiens : Ils portent jugement mais

Il y avait = il était une fois. Passé indéterminé Le lieu= "le château, un beau château, le plus beau des châteaux" Pronom archaïque= icelui. Titre du chapitre est archaïque. Quelque chose de pourri dans le château du baron. II/ Satire Voltaire dénonce les vices. Château->loin d'être un paradis terrestre. 1. respectabilité douteuses -les femmes st nymphos. -Candide est un enfant batard->liaison entre mère et voisin. Cunégonde est précoce. Voltaire se

les langues ou plutôt ici celui qui parle tout le tps!!!) – Voltaire détourne donc les codes du conte. Seul Candide échappe à la caricature et est décrit en des termes mélioratifs, les autres sont les moyens pour Voltaire de faire une satire de la société. II) Satire de la société féodale A) L'ironie – ironie présente dans les oppositions entre les images valorisantes et dévalorisantes – château // une porte et des fenêtres > évidence!!! Tous les châteaux en ont!!! truisme lapalissade – grande

au fond des yeux » ce qui laisse transparaitre un malaise. La progression de ce passage va de l'amour à la froideur «  et c'était fini, il se sentait lié, marié » et de la certitude de Jean « je vous aime » au doute « il s'étonnait ». II) Une satire du mariage bourgeois de son temps 1) Une scène distancier malgré un point de vue interne Le point de vue est apparemment interne avec la focalisation de Jean mais celui ci est simplement en position d'observateur de Mme Rosémilly « il la suivait