Visage

assez universelle : on peut voir les êtres humains comme des organismes vivants ou comme des objets matériels, sans signification. C’est un choix que Giacometti donne aux spectateurs par l’inclusion des aspects reliés à la vie et la mort sur ce visage irréel. Cependant, il faut qu’on l’analyse intérieurement et extérieurement pour mieux comprendre cette dichotomie. En regardant l’œuvre suivant un angle interne—tels que le sujet, l’iconographie, la composition, l’utilisation de la couleur, et

dimension à la fois réaliste (réalisme des visages ainsi constitués et réalisme des constituants, surtout vus en gros plan) et imaginaire (ces têtes deviennent des allégories) sinon fantastiques. A ce titre, ces têtes composées pourraient être un emblème de la peinture elle-même. - principe de composition métaphorique : le visage est la métaphore du sujet. Il devient ainsi une allégorie : un visage sombre représente l’hiver, un visage épanoui représente l’été, un visage lumineux représente le printemps.

de prima porta ; l’attitude et le visage rappellent le Doryphore de Polyclète, incarnation du canon grec classique. Ce type idéalisé, diffusé partout et imité par la suite contraste avec les premiers portraits qui présentaient des traits personnels et expressifs, des mèches mouvementées. Le portrait renoue sous Vespasien avec l’ancien réalisme qui s accompagne d’une profusion de détails, puis évolue sous Trajan et Hadrien. Le caractère hautain des visages laisse place sous la dynastie des Antonins

deux « masses » suspectes. Il prit des photos de son visage pour pouvoir observer l’évolution. Une fois partie, je restais seule avec la patiente. Sa plaie était inflammatoire et douloureuse (elle se cotait à 5/10) mais, elle avait déjà un traitement antalgique lourd (SKENAN® et ACTISKENAN®, donc rien n’était prescrit pour la réfection du pansement). Elle n’avait pas encore de prothèse, et me disait se sentir gênée de voir son visage et ses cheveux dans cet état. En effet, cette

représente dans l’œuvre de 1906 en buste (de la tête à la hanche) avec sa palette, face au spectateur alors que celle de 1907, l’autoportrait est un gros plan sur le visage. Sur l’Autoportrait à la palette, l’expression du visage est plus rêveur, serein et il a un regard dans le vide contrairement à Self-portrait avec qui son visage est déterminé et nerveux, angoissé. Les traits dans la première œuvre est fins et légers alors que sur le deuxième tableau, les traits sont beaucoup moins fins, très

être une pièce unique captant les traits précis d'un visage, le caractère, la profondeur du regard. Ensuite, les couleurs vives, fortes, parfois foncées sur certains portraits font presque disparaître son visage. Sur deux des portraits, le visage de l'actrice ressort bien(2,10). Étrangement, ce sont les deux qui se rapprochent le plus de la réalité, en terme de couleur (jaune pour les cheveux, beige pour la peau). Sur d'autres son visage est comme écrasé sous les couleurs si bien qu'il

 demande à la voiture de s’arrêter et demande de l’eau au  conducteur. Nathan accepte et repart aussitôt.  FIN                 Acte 1     Scène 1     Vue de dos dans la voiture, serein. Quelques plans sur son visage.     Scène 2     Retour sur la vue de dos avec en fond le coureur. Plans sur le  visage de Nathan qui fixe le coureur qui chancèle.     Scène 3     Scène au rythme lent  La voiture arrive au niveau du coureur, Nathan sort (serein)  Nathan : ​ Tout va bien ?  Coureur : ​ (respire bruyamment et essaye de répondre en vain) 

Le visage de la guerre par Salvador Dali Description de l' artiste : Salvador Felip Jacint Dali Domènech connu sous le nom de Salvador Dali était un peintre, dessinateur, écrivain, sculpteur et scénariste (cinéma) surréaliste espagnol, né le 11 mai 1904 et mort le 23 janvier 1989 à Figueras en Catalogne. Il a créé, à Figueres, son propre musée le "Téatre-Museu Gala Salvador Dali" en 1974. Son enfance a été marquée par le décès de son frère ainé, lui aussi appelé Salvador et adoré par la

que l'accès au visage est d'emblée éthique. C'est lorsque vous voyez un nez, des yeux, un front, un menton, et que vous pouvez les décrire, que vous vous tournez vers autrui comme vers un objet. La meilleure manière de rencontrer autrui, c'est de ne pas même remarquer la couleur de ses yeux! Quand on observe la couleur des yeux, on n'est pas en relation sociale avec autrui. La relation avec le visage peut certes être dominée par la perception, mais ce qui est spécifiquement visage, c'est ce qui ne

dramatique et le fantastique par l'humour. Il fait mourir son personnage principal, M., pour le faire revivre sous des bandelettes. Lorsque M. se redresse de son lit d'hôpital, face caméra, son visage caché par des bandelettes, le spectateur pense évidemment à la momie et à l'homme invisible (dont le visage est recouvert de bandelettes) Bien évidemment, Kaurismäki ne fera pas de M. un voyeur. Il ne restera d'ailleurs invisible que quelques minutes. On notera que c'est une femme qui le rend visible