Visage

vives réactions au théâtre de la ville à Paris. Intitulé « sur le concept du visage du fils de Dieu » ce spectacle utilise le portrait du Christ comme élément central. Deux passages ont marqué les esprits et ont engendré de vives manifestations. Sur scène des enfants ont sorti de leur cartable des grenades en plastique puis les ont lancées sur le portrait du Christ. Dans une autre scène un liquide noir se déverse sur son visage, pour ensuite déchirer la toile, laissant apparaître une inscription « you

comparaison de la Bouvillon avec un animal est aussi méprisante * Elle porte un harnais = lexique du monde agricole * Sa gorge et son visage se confondent = aspect bestial (exagération) Le physique du personnage : « gros visage enflammé et de petits yeux » « dos suant » « rougeurs sur le visage et le corps » Exagération sur sa poitrine ≠ portrait d’une héroïque classique Ici le portrait est marqué par l’exagération

pétille de mille feu à la lueur du soleil. Son couvercle s'enlève en un clip et laisse apparaître sa couleur. Vermeille, foncé, velours ou simplement un pur rouge se dévoile. Le contact avec cette partie chaude du visage le rend crémeux, il fond pour dégager son pigment. Proche du visage, il diffuse un parfum sucré et gourmand. Au fil du temps, il se dissout pour ne devenir qu'un objet sans importance. Premier paragraphe : - Description du lieu ou le rouge à

Description ordonnée : impression de loin puis visage de haut en bas puis retour à visage global "Héroïne" seule et répugnante . registre réaliste Association mort de Nana / contexte historique ( dernière phrase = A Berlin ) : dimension symbolique fin de Nana // fin d'une époque : le second empire Lexique Lampe, cierge, allumé, flambeaux, cuivre, lumière vive, clarté de la bougie aspect grisâtre de boue, trou noir, croûte rougeâtre Chair, visage, figure , oeil, nez , joue, bouche, rire,

regard et donc d’une sorte de comparaison continue. Le premier regard, est le regard du présent, comment est sa mère très âgée à l’heure d’aujourd’hui, alors qu’il lui rend visite. Le deuxième est un regard passé, il se souvient de sa mère, de son visage, de ses aspects lorsque il était enfant. Il se souvient à la fois de c’est deux époques et effectue ainsi une comparaison temporelle grâce à des connecteurs. Il se souvient de sa mère « trente ans auparavant » (lignes 1 et 48), il fait appel à ses

s’assoit et lève la tête avec un grand sourire. Lise lui explique « Je dois laver la chaise du repas d’Axel, il a été malade, il a vomi sa purée, et même le lait du matin » Son visage est calme et souriant, concentrée sur son explication. Le sourire de Joe, se modifie au fur et à mesure que Lise lui explique, et à la fin son visage est défait, elle est proche des larmes. « Tu peux continuer à jouer avec la tortue, je suis juste à côté de l’autre côté du portillon. Tu peux me voir », ajoute Lise en souriant

institut. L’institut de Gorron a fermé momentanément en 2010 pour changement de propriétaire, ce qui a contribué à une augmentation de la clientèle sur Désertines Marques utilisées : L'institut utilise la marque SOTHYS pour les soins visages et corps, Peggy Sage pour le maquillage et l'onglerie. Stratégie commerciale : L'institut distribue une carte de fidélité à chaque client, récompensant les clients au bout de la 12ème prestation par une réduction de 15 %. L'institut

lieu la silhouette « sèche et maigre », puis le front, les yeux, le visage, le cou, le corps elle retourne au chapeau et se fixe sur le regard • Couleurs : Ombre/Lumière On notera l’aspect cireux de la silhouette dans le clair obscure du cabinet le voile « transparent », les reflets « bleuâtre » et la « couleur de nacre sale » du voile recouvrant les yeux du personnage. La pâleur « livide », cadavérique de son visage (« Le visage pale, livide, et en lame de couteau […] semblait mort), « l’ombre

spectacles, aux promenades, aux assemblées ; son visage peut se manifester, peut soutenir le grand jour, il fera plaisir à voir, il n'y a qu'à le promener hardiment, il est en état, il n'y a rien à craindre. TRIVELIN, à Euphrosine : Elle développe assez bien cela. CLEANTHIS : Madame, au contraire, a-t-elle mal reposé ? "Ah ! qu'on m'apporte un miroir ; comme me voilà faite ! que je suis mal bâtie !" Cependant on se mire, on éprouve son visage de toutes les façons, rien ne réussit ; des yeux

l’image, recouvre la partie inférieure de son corps. Il y a des clous un peu partout sur son corps : on peut en dénombrer cinquante-six. Ses longs cheveux noirs et ses sourcils épais mettent en valeur ses yeux où coulent des larmes qui inondent son visage. Nous pouvons observer un arrière-plan assez travaillé : en effet, il représente une sorte de terre craquelée aride jaune mélangé avec du vert, sous un ciel bleu. Les lignes de forces du tableau sont des lignes plus ou moins droites. Il y a