Visage

Nous sommes faits d’une manière telle que seuls les autres peuvent voir notre visage. Et si je veux me voir réellement, je n’ai pas d’autre choix que de me regarder dans un miroir. C’est la raison pour laquelle je me suis approchée du grand miroir qui se trouve dans le hall d’entrée de mon appartement, non pour me coiffer ou me maquiller mais pour observer mon visage .Je me suis retrouvée face à une image correspondant exactement à celle que vous voyez, même apparence

champ lexicale du visage, comme nous le voyons ligne 4 « sa tête », ligne 5 « sa figure » et ligne 6 « ses yeux ». Le portrait monte vers le visage puis vers les yeux qui « sont pleins de feu et distraits », grâce à la métaphore nous pouvons faire le rapprochement entre le feu et le diable qui annonce la mort de la religieuse. Nous apprenons également grâce à la ligne 6, « ses yeux, dont l’un, c’est le droit, est plus haut et plus grand que l’autre », qu’elle possède un visage difforme. De plus,

l’attention sur les forces inconscientes. "   Cette sculpture symbolise ce principe car nous pouvons voir que dans cette sculpture il y a un visage difforme superposé dans une main. Cette symbolisation explique la beauté d’un visage, mais qui doit être difformé pour attirer l’attention. Interprétation: "   Dans ce cas nous pouvons interpréter que ce visage est soumis à cette main, qui donc l’empêche de vivre. Cette main fonce son nez avec une force qui donc pourrait symboliser la force de

Laurent perçoit-il le corps de Camille ?  I. Une description très détaillée du cadavre II. Laurent est fasciné par le cadavre III. Camille semble vivant Les parties du corps : Laurent le décrit de la tête aux pieds. Il s’attarde essentiellement sur le visage : Les couleurs : le cadavre de Camille se décompose, les couleurs sont sales… Antithèse : la blancheur des dents s’oppose à la saleté, à la noirceur du reste. Le narrateur insiste sur ces dents (Camille se moque de Laurent ; il l’a mordu aussi et

BP Esthétique, elle travaille avec son époux qui s'occupe de la confection des ongles et des modelages du corps, de nombreuses formations lui sont attitrées en onglerie et en modelage. Madame BUIATTI a pour secteur d'activité, les soins du visages, les soins du corps, les épilations, la confection d'ongles ainsi que le modelage du corps. « Beauté Nature Institut se situe 72 Grande Rue Jean-Jaurès à Bourg de Péage dans la Drôme , les heures d'ouverture sont du mardi au samedi de 9h à 12h

de son poing dans le visage de quiconque l’insultait et gratifiait d’un joli majeur la société. Cependant, elle avait un ami à qui elle disait tout, Mohamed, son hamster. Il était lui aussi très violent et avait des réactions inhabituelles de la part d’un hamster, c’est pourquoi Juliette et lui étaient si complices. Dans les yeux noirs de son fauve, Juliette était persuadée de lire la même rage qui l’agitait. Tous les jours, en rentrant du collège, Juliette coinçait son visage mince entre les barreaux

divisé en 9 carrés sur lesquels WARHOL a reproduit le visage de Marilyn sur un fond monochrome. Au niveau de sa structure, cette œuvre est organisée selon le principe de répétition d’un même motif, mais chacune des 9 vignettes est traitée de façon autonome. Les vignettes 1,5 et 9 forment une diagonale de la gauche vers la droite qui attire le regard en raison de l’utilisation du rouge et du fushia qui sont des couleurs chaudes. Le visage est mis en avant grâce à un cadrage qui est très resserré

figure. Les cheveux sombres, recouverts d’un léger voile, encadrent le visage aux sourcils épilés qui attire toute l’attention du spectateur[ détail b ]. UNE PRÉSENCE « QUI CRÈVE L’ÉCRAN » Avec son regard pénétrant et son léger sourire, Monna Lisa semble défier le spectateur et s’en amuser. Léonard a su capter une expression fugace passée sur le visage de la jeune femme. Il représente avec précision les muscles de son visage et tous leurs mouvements, notamment aux contours des yeux et aux commissures

demandait comment monsieur de Rustillon avait pu si mal vieillir. Sa vieillesse ressortait par les plis de son visage. Son visage était fermé, il ne souriait pas. Sa blancheur maladive était semblable à celle d’un homme qui aurait déjà un pied dans la tombe. Son nez osseux et recourbé était celui d’un gypaète qui sentait son gibier. On aimerait enlever cette écorce d’arbre de son visage pour retrouver cet homme tel qu’il était auparavant. Le gouffre de ses yeux était plein d’horribles pensées. Il

rigidement encadrer le front. La robe ensevelissait le corps comme dans un vaste linceul, et ne permettait de voir d'autre forme humaine qu'un visage étroit et pâle. Sans le bras décharné, qui ressemblait à un bâton sur lequel on aurait posé une étoffe et que le vieillard tenait en l'air pour faire porter sur le jeune homme toute la clarté de la lampe, ce visage aurait paru suspendu dans les airs. Une barbe grise et taillée en pointe cachait le menton de cet être bizarre, et lui donnait l'apparence de