Visages d'Orient

La Peste. Les personnages : Bernard Rieux : Docteur, femme malade, 30 ans, taille moyenne, visage presque rectangulaire, les yeux sombres et droit, les mâchoires saillantes, le nez fort est régulier, cheveux noirs coupés très court, l’air d’un paysan sicilien avec sa peau cuite. Raymond Rambert : Jeune, journaliste, court de taille, les yeux clairs et intelligents. Jean Tarrou : jeune, visage massif et creusé, barre d’épais sourcils, yeux gris. Joseph Grand : Employé de Mr Rieux, homme

Je vais vous présenter un exposé qui explique comment Otto Dix exprime son expérience des combats de la première guerre mondiale à travers ses œuvres. Voici une toile peinte par Otto Dix en 1920 qui s'intitule «Les joueurs de Skat». C'est une huile et collage sur toile mesurant 110×87 cm. Elle est conservée à la galerie Nationale de Berlin. Pour commencer la description on voit que au dessus des trois hommes sont affichés des articles de journaux allemands on en conclu donc que ce tableau a

avec Thérèse quand il aura tué Camille. Camille : C'est une personne qui est assez naïve. Il est maigre, blond, pas très séduisant : « Il était petit, chétif, d'allure languissante, les cheveux d'un blond fade, la barbe rare, le visage couvert de taches de rousseur, il ressemblait à un enfant malade et gâté » C'est une personne avec beaucoup de défaut : Il est d'« un égoïsme féroce », « abruti et vaniteux » (ch.XI); dans les conversations du jeudi soir il se donne « une importance

Scarron dans ces 2 textes utilise un comique de situation et de physique, dans le texte 2 le comique exprimé est un comique de situation mais il utilise aussi la description de « Madame Bouvillion » qui n’a pas un physique facile : « -Son gros visage enflammé et ses petits yeux ». Le comique de situation qui est mis en avant dans cette scène est le fait que « Destin » se fait charmer par cette dévergonder qui n’a aucune gêne, et lui qui est trop timide ne sais comment refuser : « _Sa mauvaise

brusquement. Elle avait un visage blanc, éclatant,orné de petites taches de rousseur entourant le plus beau nez qu'il n'avait jamais vu. Elle le regarda longuement puis le chef de rayon partit. L'Américain la regarda, puis fut pris d'une terrible timidité, il était fige sur place, incapable d'aligner trois mots. Elle le regarda avec attention puis formula une question qui détendit quelque peu l'atmosphère : "May I help you sir?" L'Américain était trop absorbe par le visage si frêle de la jeune fille

Avant de découvrir cette borne, je me suis d’abord trouvé au centre de plusieurs écrans géants nous présentant différentes animations. L’un des écrans diffusait le portrait de la Joconde changeant de temps en temps son expression du visage. Je n’avais pas l’habitude de voir la Joconde si expressive, elle qui est si énigmatique dans l’œuvre originale de Léonard de Vinci. En effet, sur le vrai tableau du célèbre peintre, la Joconde constitue le portrait de l’idée de sérénité. Son sourire

POEME N°1 (René Depestre) Mon avenir sur ton visage est dessiné comme des nervures sur une feuille, Ta bouche quand tu ris est ciselée dans l’épaisseur d’une flamme, La douceur luit dans tes yeux comme une goutte d’eau dans la fourrure d’une vivante zibeline, La houle ensemence ton corps et telle une cloche ta frénésie à toute volée résonne à travers mon sang Comme tous les fleuves abandonnent leurs lits pour le fond de sable de ta beauté, Comme des caravanes d’hirondelles regagnent tous les ans

il s’agit d’annoncer au milieu du roman la chute possible de Merteuil, de créer une sorte d’écho entre 87 et 175. Un renversement est possible, de la gloire à l’opprobre. On trouvera dans le film le même écho (le sourire social et faux quittant le visage de Merteuil pendant la scène de l’opéra // la transformation de Merteuil dans la scène finale de l’opéra).  B /un intérêt d’ordre thématique, (presque ou peut-être dramatique ) : illustration d’une stratégie libertine (la manière de conquérir :

rayon de soleil délaya l’obscurité du couloir. Tout au bout, une porte donnait sur l’extérieur : j’étais sauvée. Je me précipitai, allongeant la foulée. La porte –chimérique apparition- se rapprochait. Je pouvais presque sentir le vent griffer mon visage, et je distinguai déjà la liberté, par delà la vitre. Puis… Je poussai sauvagement le battant, y laissant probablement une empreinte rouge. Une fois sur le trottoir, je m’arrêtai. Le soulagement implosa en mon crâne ; une douce odeur de succès

camarade, elle venait de se coucher près de lui, à plat ventre, le menton dans une main, mangeant de l'autre avec lenteur. Leurs lampes, entre eux, les éclairaient. Catherine le regarda un moment en silence. Elle devait le trouver joli, avec son visage fin et ses moustaches noires. Vaguement, elle souriait de plaisir. - Alors, tu es machineur*, et on t'a renvoyé de ton chemin de fer... Pourquoi ? - Parce que j'avais giflé mon chef. Elle demeura stupéfaite, bouleversée dans ses idées héréditaires