Vision Negative Du Monde

LE ROMAN ET SES PERSONNAGES, VISIONS DE L’HOMME ET DU MONDE Extrait de Germinal (1885) D’Emile Zola (a créé le courant naturaliste : courant qui fait percevoir une âme collective chez ceux qui partagent la même détresse) Introduction : - Contexte : Le courrant naturaliste du XIX siècle qui s’intéresse aux déterminations sociales, aux classes sociales et au monde du travail. - Genre littéraire : Le roman, texte narratif. - Types de texte : Début du roman. - Contenu : Il s’agit de Maheu

Introduction L’humanisme se construit par un travail philosophique et/ou spirituel qui a pour but de donner du sens, d’expliquer le monde et de le transformer. Une telle conception aboutit à cultiver l’esprit de tolérance, de dialogue et l’esprit critique. L’éthique humaniste préconise la responsabilité et l’engagement de tous pour assurer la continuité de la civilisation et l’égale dignité de chaque membre de la société. I_Le mouvement humaniste aux XVe et XVIe siècles C’est avec

Inaccessible, ce but devient destructeur car il devient une obsession dévorante, écartant finalement le protagoniste de toutes ses chances de l’obtenir un jour. En regardant autour de moi, je me suis aperçue que cette vision n’était pas si caricaturale que ça. Le « bonheur » est fantasmé, et le monde entier semble insatisfait de ne jamais le trouver. Je pense simplement que cette définition est mauvaise. Pour moi, ressentir le bonheur ne nécessite pas d’avoir une vie parfaite, exempte de devoirs ou de désagréments

l'éloge de son temps en s'appuyant sur un contre exemple : l'âge d'or. Quelle vision du bonheur défend voltaire ? I- ( Je veux montrer que) voltaire fait l'apologie de l'époque moderne a) car il fait l'éloge de l'âge de fer. -v1 à 12 : c'est la prise de position du poète car il est mis en relief par le « moi » v 5 -V13 à 21:c'est l'éloge de l'abondance , époque ou on vit dans l'abondance , l'aisance , c'est une vision matérialiste -v22 à 29 : éloge du progrès avec les échanges commerciaux entre

groupe => Un singulier à valeur d'universel: oiseau symbole de tous les poète maudits - Antithèses = opposition entre deux visions de l'albatros: Vision positive: - Amical, pacifique, «indolent», nonchalant... - Grandeur, ampleur, majesté, caractère universel des oiseaux - Pureté de la forme poétique - Pureté (ailes), associé au ciel, beauté... Vision négative: - Adjectifs + adverbes péjoratifs, société vulgaire, trivial - Prosaïsme de l'environnement humain, salissure du blanc de la

française et fut l’objet d’une adaptation cinématographique Ce livre nous expose le système japonais du monde du travail qui consiste à réclamer la perfection aux employés mais aussi à mettre à l’écart sans licencier les employés jugés incapables. Amélie, jeune diplômée belge, a un contrat d’un an dans la grande entreprise de Yumimoto au Japon, pays qu’elle adore. Elle est au service de tout le monde mais sa supérieure directe est la superbe Mori Fubuki. Amélie a du mal à s’adapter au système japonais

le titre précise qu'il va être question de la vision qui justement ne devrait pas être confondue avec la pensée. La vision comme métaphore de la perception en général est une fausse piste ( ?). Dans L'Œil et l'Esprit, l'œil ne renvoie qu'à la vision et non à la perception. L'esprit quant à lui, renvoie à la pensée: mais la pensée est presque absente de L'Œil et l'Esprit, ou plutôt elle se place en second plan. Il s'agit en effet de savoir si la vision peut être réductible à la pensée. La thèse du

expérience peut l’aider à réussir dans sa vie. II) Vautrin développe alors une image assez négative et en même temps assez cynique de la société et des moyens d’y réussir. A) La société est un univers immoral, dénué de valeurs et de toute vertu. - En effet, c’est le désir d’argent qui selon Vautrin guide les hommes et détermine leurs relations : => champs lexical de l’argent fourni (sommes précises) -> vision de Vautrin d’une obsession de la société de l’argent. => tous les groupes sociaux

   DISSERTATION    Sujet : Le roman est-il le reflet du monde ou celui de son auteur ?      Le roman devient le genre littéraire dominant du XIX siècle. Flaubert a écrit à propos de son roman « Madame Bovary, c’est moi ». Le roman est-il seulement le reflet du monde ? Nous allons voir que le roman est le miroir du monde mais aussi celui de son auteur.   Il est vrai que le roman est le miroir du monde.   Tout d’abord on y trouve des personnages ordinaires. Madame Bovary est une femme

et une vision progressive de l’extérieur vers l’intérieur. Puis dans un second temps, nous verrons comment Francis Ponge donne une vision poétique du pain à travers l'allégorie de la création du monde, le sacrifice qui donne un effet de rupture et le pain comme étant un objet de plaisir. Tout d'abord Francis Ponge décrit et définit la surface du pain comme si il citait la définition d’un dictionnaire: « elle est... elle donne l'impression... elle a... ». Puis il lui donne une vision panoramique