Vision Traditionnelle Du Héros

fait encore partie de l’incipit. Les 3 courts paragraphes qui précèdent ont précisé le cadre spatio-temporel. Le roman commence un chaud dimanche d’été, sur un boulevard désert de Paris. Le passage qui nous intéresse raconte la rencontre des deux « héros » du roman : Bouvard et Pécuchet, deux médiocres copistes. Nous pourrons voir comment l’auteur propose un 1er portrait assez ironique et parodique de personnages qui s’apparentent à des antihéros en adoptant le parcours de lecture suivant : Idée directrice

tragique : le silence des protagonistes terrassés par la nouvelle, qui fait office de destin, de fatalité transcendante (« rappelés », « départ sombre », « voyage nocturne où nul de nous ne dit mot »). Ce silence isole les trois voyageurs comme le héros tragique face à son destin, et la mort est présente (celle des pneus, qui correspondent en chiffre aux trois voyageurs, celle des phares – même chiffre). Le désordre émotionnel des mobilisés se traduit par le mouvement tournant et un peu chaotique

situation initiale : on est plongé dans l’action dont on découvre ici une péripétie (cf. schéma narratif)=> le lecteur est amené à s’interroger sur ce qui s’est passé avant, les raisons de ce meurtre…. • Passé simple et imparfait : système des temps traditionnel pour la narration mais la durée du récit est plus longue que celle de l’action (on met plus de temps à lire la page que l’action ne met de temps à se dérouler.) Il y a donc une impression de ralenti (cf. technique cinématographique) qui intensifie

volume) • En quoi Ulysse peut-il être qualifié d’« homme de la parole » ? • Ulysse n’est-il que le héros « aux mille tours » ? • En quoi peut-on dire d'Ulysse qu'il est « l'homme aux mille tours » ? • Ulysse vous semble-t-il conforme à l’image traditionnelle du héros épique ? • Dans quelle mesure Ulysse apparaît-il, dans les chants V à XIII, comme un héros épique ? (manuel Bréal) • Quel type de héros est Ulysse ? • Quelles sont les différentes facettes d’Ulysse dans les chants V à XIII ? (Profil

au nord-ouest, vers l'intérieur de l'île, on voit le terrain s'élever assez rapidement, et après trois heures de marche […] on se trouve sur le bord d'un maquis très étendu ». Mérimée prend également soin d'ancrer son décor dans les pratiques traditionnelles du paysage corse, à l'image des « cépées très épaisses » qui sont typiques de cette région. Le narrateur explique longuement comment elles se forment au début du second paragraphe, car « C'est cette manière de taillis fourré que l'on nomme maquis

points) Problématique et proposition de plan : Problématique : Le sportif est-il encore un héros ? Thématique : la fabrique du sportif Plan proposé Introduction : Le sportif actuel , même s’il joue encore un rôle important dans notre société et dans notre imaginaire ne correspond plus à l’image traditionnelle du héros. I. Le sportif : un faux héros fabriqué de toutes pièces - Le sportif actuel : une représentation conventionnelle : clichés de l’aventurier

Chapitre Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Le mot « roman » est apparu au XIIe siècle. Il a alors deux significations : il peut désigner la langue parlée dans le nord de la France ou bien un récit en vers français (comme les romans de la Table ronde). Le roman ne renvoie à des textes en prose qu’à partir du XIVe siècle. Mais il a déjà son sens moderne, tel que le définit Le Petit Robert : « œuvre d’imagination en prose, assez longue, qui présente et fait vivre dans

portables. Il y a cinq ans, un roman a été diffusé sur le portable. C’est un changement de support. Il a été diffusé à 6.000 exemplaires. Aux États – Unis, il y a des produits appelés hypertextes (son, image, interaction), on n’est plus dans la forme traditionnelle. Il y a une production littéraire appelée « rhétorique de l’hypertexte », c’est une littérature qui se passe dans le virtuel. Il y a des associations, des prix littéraires. Les pays du golfe sont en avance sur les pays arabes. GOOGLE a acheté

l’autobiographie, le roman historique, certains courants de la fantasy – toute forme littéraire tournée vers le passé dans le souci de le représenter. Ces sous-catégories littéraires puisent dans un matériau historique ou traditionnel, plus ou moins fidèle ou idéalisé, pour en proposer une vision particulière. II. Le mythe Le mythe n’est pas à proprement parler un genre ni une forme littéraire ; comme ne le sont pas, à l’origine, les récits oraux : ils ne deviennent littérature que lorsqu’ils sont écrits

Stendhal : Lucien Leuwen (extrait du ch. 1) Commentaire composé Texte [En 1834, Stendhal (1783 – 1842) commence un roman, Lucien Leuwen, qui restera inachevé et connaîtra une publication posthume (1855). Dans ce passage, le héros, Lucien Leuwen, fils d'un riche banquier parisien, devenu sous-lieutenant du 27e régiment de Lanciers, entre, avec son escadron, dans la ville de Nancy.] Lucien leva les yeux et vit une grande maison, moins mesquine que celles devant lesquelles le régiment