Vitaphone

capacité d’enregistrer indépendamment le son et l’image et de les synchroniser lors de la projection. Mais il faut attendre le 6 octobre 1927 pour que le premier film parlant « le chanteur de jazz » d’Alan Crosland fasse son apparition grâce au vitaphone. Il connaît un grand succès au box-office. Les bénéfices réalisés par le film ont été la preuve que les évolutions technologiques étaient nécessaires pour une pérennité du cinéma. Le kinetophone Affiche du film « le chanteur de jazz » B)Le

com/sites/Phenderson/_files/Image/5%20Radio(10).jpg L’apparition du cinéma parlant L’audience grandissante de la radio coïncide avec les débuts du cinéma parlant. En 1926, deux procédés concurrents sont testés presque simultanément aux États-Unis. Le premier, baptisé Vitaphone, repose sur la synchronisation du film avec des disques de gramophone. Assez archaïque en son principe, cette technique parvient néanmoins à s’imposer grâce aux frères Warner qui lancent en octobre 1927, à grand renfort de publicité, Le Chanteur

grâce au phonofilms de Lee de Forest, technique par pellicule de projection encore utilisée de nos jours. Mais cette formidable découverte déjà à l’étude depuis 1903, intéresse relativement peu durant les années 20 et 30. On lui préfère en effet le vitaphone qui permet une synchronisation correcte bien que le procédé soit particulièrement rudimentaire. C’est avec ce dernier que seront tournés la majorité des films de la première moitié du XXeme siècle. ainsi, « Don Juan » d’Alan Crosland et réalisé en

A cette époque, dans le pays où le film a été tourné, c'est à dire aux Etats-Unis, le son était déjà très élaboré. Effectivement, le son, est synchronisé depuis le milieu des années 1920' grâce à de nombreuses et diverses inventions, comme le vitaphone, le tri-ergon... L'enregistrement sonore se fait grâce à des micros, placés prêts des comédiens. L'ambiance sonore, ou même le doublage des acteurs, sont soit en prise directe, soit post-synchronisés. En effet, au montage, on peut rajouter des bandes

complément d'information par rapport à l'image. 1907 : Léon Gaumont élabore le chronophone pour synchroniser le film et un disque sur lequel se trouve la musique enregistrée. 1927 : "Le chanteur de Jazz" - Premier film parlant avec le système Vitaphone. 1932 : le doublage s'impose et on dispose de plusieurs pistes son (dialogues, bruits, musique). On peut ainsi doubler le film dans plusieurs langues. IX - Du muet au parlant : trois films à voir "Les Temps modernes" (Modern Times) est une comédie

visage.
Exemple : L'opérateur page7image9288.png ¬ page7image9456.png ¬ page7image9616.png ¬ page7image9776.png ¬ 5 1930- 1945 DU PARLANT A L’ARMISTICE page8image960.png ¬ I. Les Etats-Unis A/ La révolution du son Le son est introduit grâce au Vitaphone : 1 projecteur et 1 tourne-disque pour 1 moteur. 
 A partir de 1932, le cinéma Hollyjhoodien sera à 100% parlant. 
 Ce système est racheté par les frères Warner qui tiendront la grande maison de production à faire des films « parlants ».
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séances, y compris une liste des accessoires nécessaires au bruitage. « Il faut attendre 1924 pour que Western Electric Company développe aux États-Unis, en collaboration avec Bell Telephone Laboratories, un système de synchronisation sonore, le Vitaphone, qui reprend le procédé du disque gravé. Les ingénieurs de Western Electric ont équipé l’appareil de projection et le phonographe de moteurs électriques synchrones qui entraînent les deux machines à la même vitesse. »7 Cette fois, la synchronisation