Vito Acconci

nous est exposé). rouleau, 1984 poursuite au mur a+a+a, 1987 suite pour trois angles, mi-rasante, mi-brisée, 1990 extérieur nuit (poursuite en chantier), 2004, odéon 5 Vito acconci http://www.acconci.com/ avant d’expérimenter des médias comme la photographie, le son ou la performance, vito acconci se consacrera d’abord entièrement à la poésie. il a déjà une approche très plastique de l’écriture et de la page qu’il considère comme un espace de performance réduit. c’est à partir de

sur sa propre situation sa vie d’artiste, les expérience survenue ds sont taf. Il aborde aussi la critique de la société, la représentation de soit, et l’importance du moi et l’étude du comportement, la relation entre les êtres. Marina Abramovic Vito acconci Laurie anderson Joseph beys Gilbert and George Rebecca horn

…), ces vidéos sont mises en œuvre, très souvent, de manière spontanée et authentique et les artistes sont, dans la plupart des cas, leurs propres acteurs. Les exemples les plus marquants de ces artistes et acteurs à la fois sont Bruce Nauman et Vito Acconci. Pour ces deux artistes, l’œuvre n’est plus l’objet en tant que tel mais c’est le processus physique de la création artistique. Pour se rendre compte, je conseille de regarder cette vidéo : Pinch neck de Bruce Nauman. (2) [pic]

centre (la perte de divin) avec la perte d’axe principale. Postmoderne au point de vue de l’architecture : la forme de bâtiment montre la capacité de l’homme pour changer le monde. « langage d’Architecte postmoderne » par écrivain anglais « Vito Acconci Studio » un dvd a empreinte a la bibliothèque Sur youtube : the postmodern city, par Edward Soja. 08.11.2011 Éléments fondateurs du situationnisme : psycho-géographie, ça signifie que le centre de la ville qui disparaît avec l'urbanisme et remplacé

ou la sociologie, tandis que la deuxième privilégient des propositions ayant une forte charge poétique liée à l'imaginaire et à l'éphémère. On trouve aussi des œuvres synthétisant ces deux tendances, notamment celles d'artistes américains comme Vito Acconci, Carl Andre, Nancy Holt ou encore Robert Smithson, ces derniers prolongeant les expérimentations linguistiques de la poésie concrète. L'artiste Lawrence Weiner lança par écrit de « faire une action déterminée », par exemple lancer une balle

conclusion précise qui ouvre les possibilités du spectateur par rapport à son propos. Ce livre présenté sous forme d’essai, réexamine les ouvres de Carolee Schneeman, Gina Pane, Valie Export, Michel Journiac, Otto Mühl, Günter Brus, Chris Burden, Vito Acconci, Dennis Oppenheim, Hermann Nitsh ou Rudolf Schwarzkogler. Il est assorti de l’apparat scientifique de rigueur: la bibliographie, l’index des notes. Les sous-titres de chaque chapitre, le déroulement simple et progressif des images, les analyses

différentes couleurs. Puis « Stamping in that studio » où il danse. En posant la caméra à l'envers, il déroute la question du spectateur. Dans « Remote Control », il montre dans un film deux personnes qui sont dans deux boites, il y a une femme et Vito Acconci, elle doit exécuter ses ordres, ce qui l'intéresse c'est le contenu visuel. Dans une autre performance, il était sous une sculpture, les gens ne savaient pas où il était et pendant ce temps là il était en train de se masturber. Le corps était un

aussi la réception de ses œuvres venant bouleverser le rapport au public. Duchamp au début du XXème siècle disait « ce sont les regardeurs qui font le tableau » : ici ils ne sont plus regardeurs mais acteurs même dans la réalisation de l’œuvre. Vito Acconci, en 1969, avec « following piece » réalise une action dans les rues de New York où il se sert du public comme matériau même de l’œuvre : sélectionnant un passant qu’il va suivre aussi longtemps que possible c’est à dire le temps que ce passant

public un point de vue particulier, une façon de voir, de penser ou vivre. Ils élaborent leur travail afin de mettre en état de possibilité le spectateur, par un espace ou un temps dans lequel celui-ci à la place de faire sa propre expérience. Vito Acconci, VD lives / Tv must Dies, 1978.L'occasion d'aiguiser ses facultés perceptives, d'apréhender l'espace sans à priori, un espace qui devient indéfini (sculptural ou livresque), où les mots (Robert Barry, Wall Piece, 1991) ne définissent pas l'œuvre

pouvons remarquer le fait que ce thème du privé et du public avait été amorcé précédemment, notamment avec Vito Acconci[39] qui réalisa en 1969 Following piece. Ce dernier, déambulant des les rues new-yorkaises sélectionnait un passant au hasard et commençait alors une filature. Tout comme chez Goldberg, l’artiste prend possession de l’espace public et a comme limite l’espace privé. Acconci pistait l’individu tant que celui-ci déambulait dans ce qu’il nommait l’espace public (rues, restaurants, cinémas)