Vivre Au Sens Biologique

Ces deux livres renouvellent la question de nos rapport avec l'animalité. Leurs points de vue me semblent éclairer et compléter ce que j'ai pu avancer sur le rôle du cerveau dans l'ouverture au non-biologique (la distanciation). Nous verrons qu'alors que pour Giorgio Agamben, l'homme est tout entier dans son effort de différenciation de l'animalité (L'homme est un animal qui "se reconnaît ne pas l'être" 46), pour Michel Boccara, et sans contredire à ce processus d'arrachement au monde animal, notre

d'un horizon de sens a pour principe essentiel l'unité. C'est ainsi cette unité qui transaparaissait d'ores et déjà à travers l'action unificatrice des monarques et la centralisation exacerbée du pouvoir s'affirmant face à l'autorité spirituelle et aux seigneurs locaux.Cette unité se couple avec la généralité décrite par pierre rosanvallon dans le modèle politique français et traduit une véritable abstraction des données sociologiques (origine sociale) et des données biologiques (origine ethnique)

La filiation est la transmission de la parenté lorsqu'une personne descend d'une autre. De cette transmission nait une relation entre lascendant et le descendant. Celle-ci sur le plan biologique est prouvee par lheritage des genes provenant des parents. Elle peut etre materielle sans pour autant etre biologique. Dans ce cas, lhomme ou la femme ne soccup que des besoins materiels de lenfant. Sur le plan emotionnel, on parle de parent affectif lorsquun homme ou une femme a tisse une relation affective

certains cas on est obligé de faire confiance en quelqu’un par manque de connaissance ou manque de temps. Descartes : on a tous une raison et autant les uns que les autres. Raison : capacité a bien juger, discerner le vrai du faux Juger : sens moral (bien-mal), sens logique (vrai-faux) Quitter la doxa (opinion commune) pour le logos (la raison) Plaisir de savoir 2) La quête difficile de la vérité Etude de l’Allégorie de la Caverne. Platon, La république Allégorie : histoire imaginé dans

nous concernait pas. La première réponse que nous devons étudier correspond donc à la question est : ne faut-il pas vivre comme si on ne devait jamais mourir? 1) Après tout, pensons-nous dans l’opinion, la mort, on aura tout le temps d’y penser quand elle sera là, en attendant, on n’a qu’à vivre et ne pas y penser ! Alors, autant faire "comme si" la mort n'existait pas, et vivre dans l'insouciance, ne songeant qu'à nos projets, nos plaisirs du moment, ou à nos plaisirs futurs. Il y a

cause extérieure aux hommes et donc pourrait provenir de cette cause fut-elle le destin ou dieu, soit l'homme seul en est  la cause première. Dans le premier cas l'homme subi des affects et il n'est en rien responsable des actes dont il est l'agent, au sens ou il ne peut ni ne doit répondre  de ce qui est  fait dès lors que ce n'est pas lui qui fait mais les causes qui agissent sur lui: c'est comme ça, le mal est un malheur au même titre qu'un événement naturel peut produire une catastrophe. Dans le deuxième

de coût financier : la personne âgée est perçue comme consommatrice de soins. Et la médicalisation de la vieillesse alimente cette image. LA DÉPENDANCE EST UN « FAIT SOCIAL RELATIONNEL » Or la dépendance est un « fait social relationnel » dans le sens où il ne faut pas confondre « dépendance » et « perte d’autonomie » : on peut rester autonome, c’est-à-dire continuer à décider pour soi-même, malgré des handicaps physiques. Et être dépendant, c’est ce qui m’inscrit dans la société : c’est par les

quoi la psychanalyse saline les sentiments de son destinataire, de sorte que celui-ci est moins enclin lui accorder son intrt ou sa foi. ( tant donn quun modle scientifique nest pas un reflet du rel mais une construction mentale visant lui donner sens, sa lgitimit ne se voit pas il faut accepter dy entrer, lui accorder une attention avant den comprendre lintrt. ( tant donn quun nouveau modle scientifique vient toujours par rupture (Bachelard), il concurrence un modle plus ancien, plus enracin dans

psychanalyse s’aliène les sentiments de son destinataire, de sorte que celui-ci est moins enclin à lui accorder son intérêt ou sa foi ». ( étant donné qu’un modèle scientifique n’est pas un reflet du réel mais une construction mentale visant à lui donner sens, sa légitimité ne se voit pas : il faut accepter d’y entrer, lui accorder une attention avant d’en comprendre l’intérêt. ( étant donné qu’un nouveau modèle scientifique vient toujours par rupture (Bachelard), il concurrence un modèle plus ancien,

Selon Pierre Bourdieu, la vision androcentrique du monde est devenue indiscutablement le fondement objectif de la construction des genres. La force de la sociodicée masculine vient du fait que celle-ci légitime la domination grâce à des raisons biologique qui est elle-même une construction sociale naturalisé. La différenciation genrée des habitus s’effectue par un travail collectif de socialisation continue, donc de reproduction des distinctions des normes sexuées qui sont représentées par la division