Vivre libre ou mourir

pour comprendre qu’ils sont tous les trois nécessaires, tous les trois liés, et pour éclairer le processus qui mène l’un à l’autre. Ce sont trois poles dans un même champ, qui est le champ d’aimer. Ou trois moments dans un même processus qui est de vivre. Eros est le premier, toujours et ce que Freud, Platon ou Schopenhauer nous rappelle ; agapè est le but (vers lequel nous pouvons au moins tendre) que les Evangiles ne cessent de nous indiquer ; enfin philia est le chemin ou la joie comme chemin :

d’expliquer l’existence du roman à thèse : Le Dernier Jour d’un condamné[1]. La première est due à la présence d’un document écrit qu’un condamné à mort avait rédigé avant sa peine de mort et qui montre ses souffrances, ses pensées  et ses émotions avant de mourir. Une chose affreuse et insupportable.   La deuxième explication suppose que les papiers trouvés puissent faire l’objet d’une création poétique, philosophique d’un homme qui s’est rendu compte de la peine de mort et ses conséquences néfastes. Le

abandonnée par son père. Étant fragile de santé, Camille est couvé constamment par sa mère qui est beaucoup trop protectrice. De ce fait, Thérèse doit subir une atmosphère maladive et étouffante mêlée de solitude et de repliement. Elle rêve de courir libre au bord de la Seine. Les années passent, les deux enfants grandissent ensemble sans jamais vraiment s'apprécier. Naturellement, Mme Raquin trouve normal de faire épouser Thérèse avec son cher fils et de s'assurer ainsi une fin de vie paisible. Ainsi

pure et simple, sans retour alors que d'autres comme un rite de passage, où chaque homme doit surmonter sa peur et faire le jugement de sa vie afin d'accéder à un autre monde. Enfer ou paradis, vie éternelle ou fin définitive, mourir pour être libre, pour échapper à la vie, mourir pour ne plus souffrir du manque de l'être aimé, pour être en paix. Peur et fascination à la fois, la mort inspire les poètes de toutes les époques. • La mort est présente dans notre vie au quotidien, dans les journaux, à la

comme un mouton, bonne comme du pain"(l.21).Elle a de bon rapports avec les habitants de son quartier, n'en voulait jamais à personne, et quand on lui faisait la remarque, elle répond "On doit se pardonner entre soi, n'est-ce pas, si l'on ne veut pas vivre comme des sauvages"(l.25) Depuis un malheur à sa jambe, elle a grossit et est devenu

La vie en société nous contraint-elle à renoncer à la liberté ? Justifier le « oui » en argumentant Vivre en société, des individus progressant à côté les uns des autres, implique des règles et une organisation commune. On connaît tous la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Vivre en société, c’est donc vivre avec des droits et des devoirs, avec des lois et des institutions. Celles-ci instaurent des règles, l’homme en société ne peux donc pas tout se permettre. Prenons un exemple

dérobé une douleur futile, une joie sotte, un désir aveugle, un entretien flatteur, combien peu t’est resté de ce qui est tien : et tu comprendras que tu meurs prématurément. » Quelles en sont les causes ? Vous vivez comme si vous deviez toujours vivre ; jamais vous ne pensez à votre fragilité. Vous ne remarquez pas combien de temps est déjà passé, vous le perdez comme s’il venait d’une source pleine et abondante, alors pourtant que ce jour même, dont vous faites cadeau à un autre, homme ou chose

qui n’advient pas, qui restera l’affaire intime d’un seul, en butte à l’impossibilité de se faire entendre - ou à celle de s’exprimer » Son écriture lui a permis d’apprendre à vivre et à mourir, atteint du SIDA, il meurt à l’âge de 38 ans. La pièce composée de 2 parties, qui raconte le retour de Louis, 34 ans qui va mourir prochainement et qui retourne auprès de sa famille après une longue absence de 12 ans pour leur annoncer le drame qui va se produire. Cette pièce, écrite par Jean-Luc Lagarce est-ce

faire respecter les lois en tuant Antigone malgré le fait que ce soit sa nièce, ou doit-il transgresser ce qu'il avait dit auparavant afin d'échapper Antigone de la mort ? Mais Antigone ne se pose pas ce genre de questions, et elle est bien résignée à mourir pour cette juste cause et elle va le faire comprendre à son oncle.  Problématique : Comment Antigone affirme-t-elle sa liberté ? Nous allons donc étudier l'extrait d'Antigone d'Anouilh en trois temps afin de répondre à notre problématique

sommes en soins palliatif et que nous savons que nous allons mourir pourquoi devrions-nous attendre et souffrir si nous sommes prêts lorsqu’en plus nous savons que nous avons plusieurs moyens de mourir. Lors d’une conférence à laquelle je devais assister pour mon cours de philosophie, deux personnes ont échangé leurs points de vue sur l’euthanasie. La question à laquelle je dois répondre est: Peut-on aider quelqu’un qui le demande à mourir dans la dignité? Madame Irène Durand, enseignante d’histoire