Voïvodine

9 %[2]), les Allemands (2 %), les Slovaques (1 %), les Croates (0,8 %), les Roumains (0,3 %). Plusieurs importantes minorités hongroises vivent à la frontière des pays voisins, en particulier en Slovaquie, en Roumanie (Transylvanie) et en Serbie (Voïvodine), ce qui cause des problèmes diplomatiques avec ces pays. Des revendications nationalistes les concernant sont le fait de la droite populiste hongroise (proposition d'accorder le statut de citoyen hongrois à près de 1,5 million de Magyars qui vivent

régions autonomes (Voïvodine et Kosovo) où vivent des populations non slaves. Tito a « domestiqué » les nationalismes et la dictature communiste a empêché toute opposition de s’exprimer. Les Slovènes et les Croates sont des Slaves catholiques qui ont vécu dans l’Empire austro-hongrois jusqu’en 1918. Les Serbes, les Monténégrins et les Macédoniens sont des Slaves orthodoxes qui ont lutté contre l’Empire ottoman. Les Bosniaques sont des Slaves musulmans, les habitants de Voïvodine et du Kosovo sont

démilitarisation de la Yougos­lavie. Autre objectif majeur, le dépeçage de la République Fédérale de Yougoslavie : il se dessinait derrière les troubles et les bombardements précurseurs au Montenegro, et la destruction des ponts du Danube entre la Serbie et le Voïvodine. Il n’a pas été encore achevé. En fait, c’est l’intervention terrestre et diplomatique russe qui a débloqué la situation et sécurisé la Yougoslavie. Paradoxe : la lutte contre la purification ethnique aboutit à la création d’un Kosovo ethniquement

vu en cours, un conflit qui peut être qualifié à la fois comme « interétatique » car il opposa les Républiques et Provinces composants la Fédération Yougoslave (Macédoine, Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Serbie, Croatie, Moldavie et le Kosovo et la Voïvodine) mais aussi comme « intraétatique ». En effet, on évoque souvent plusieurs guerres civiles dans ce conflit car il y a eu de nombreux affrontements multiethniques dont le but était d’obtenir un territoire ethniquement homogène et de lutter pour les

la république est enfin reconnue sous ce nom en 1996, après la levée du veto grec. Mais la Bulgarie considère toujours que ce territoire est sien depuis les guerres balkaniques de 1912-1913. Enfin, la Serbie, avec les territoires «autonomes» du Voïvodine (Hongrois et Tsiganes) et du Kosovo (Albanais) et le Monténégro, mais peut-être plus pour longtemps pour ce dernier, si l’on en juge par les récents résultats de l’élection présidentielle monténégrine, restent unis au sein d’une fédération yougoslave

la Roumanie, la Ruthénie transcarpatie a la Tchécoslovaquie et la partie nord de la Prusse orientale qui est annexée. La Hongrie perd les gains du premier et second arbitrage de Vienne ce qui comprend le nord de la transylvanie, les carpates, le voïvodine et le banat. La Roumanie perd le nord de la Dobroudja face à la Bulgarie et la Moldavie face au russe. La Yougoslavie gagne des territoires face à l'Italie avec l’Istrie et le Zadar déjà zone de tension en 1919. La consolidation des nouvelles frontières

Premières actions politiques Fin 1913, Broz est mobilisé et sert dans l'armée de l'Autriche-Hongrie. En mai 1914, il remporte la médaille d'argent d'un concours d'escrime au sein de l'armée austro-hongroise à Budapest. Il est envoyé à Ruma (Voïvodine). Arrêté pour propagande anti-guerre, il est emprisonné à la forteresse de Petrovaradin près de Novi Sad. En 1915, il est envoyé en Galicie, sur le front de l'est, combattre contre la Russie. En Bucovine, il est gravement blessé par un éclat

Géopolitique :Les questions à se poser · Comment déceler et appréhender les faits politiques au travers des rivalités de pouvoir et de territoires qu’ils impliquent ?· Quels sont les acteurs en jeu dans ces rivalités, quelles que soient leur nature, leur fonction et leur échelle d’action ?· En quoi ces jeux d’acteur sont-ils produits et producteurs de relations spatiales et de territoires ? · Quelles sont les diverses représentations territoriales en jeu, et en quoi peuvent-elle être facteurs

yougoslaves en Bosnie, Kosovo, Macédoine. Les plaines Plaines, souvent vides, étaient utilisées jusqu’au XIXè s. comme terrain de parcours du bétail plutôt que comme espaces agricoles. Seules les plaines du N, en Slovénie, Croatie du N et Slavonie, en Voïvodine et dans le Banat de Timisoara, montraient des paysages fortement marqués par l’influence autrichienne, avec champs complantés, champs de céréales et légumes à aspect très ordonné + vignobles. Avec collectivisation après WW2, plaines de l’Europe balkanique

l’armée de l’air hongroise qui vont escorter ces avions. Or ils sont très vigilants sur le sort de leurs minorités à l’étranger. Les Hongrois craignent qu’en représailles à cette participation, les Serbes ne se vengent sur la population hongroise en Voïvodine (statut identique à celui du Kosovo : autonomie à l’intérieur du pays, supprimé par Milosevic). S’il y a des représailles contre ces minorités, est ce que l’on engage le conflit avec la Serbie ? Si oui, il faut adhérer. L’opposition entre Eltsine