Voix de poitrine

nuit, tandis qu'Alfred achevait de fredonner l'air galicien de mata-perros. D'Auverney resta un moment rêveur, comme pour rappeler à son souvenir des événements depuis longtemps remplacés par d'autres ; enfin il prit la parole, lentement, presque à voix basse et avec des pauses fréquentes 4 Quoique né en France, j'ai été envoyé de bonne heure à Saint-Domingue, chez un de mes oncles, colon très riche, dont je devais épouser la fille. Les habitations de mon oncle étaient voisines du fort Galifet

conversation téléphonique » P.129 « signal de voiture » « freins » P.130 D.« remue-ménage » « branle-bas » « bruits de voiture » Debut de tableau « l’eau du robinet /douche» « tousser » « frappe a la porte » « voix rauque » « souffler » »eau couler » « brrr » « claque la porte » « voix méconnaissable » « barrissement » « en criant » « troupeau dans la rue » p.169 « bruits d’un assez grand nombre de rhinocéros » « soupir » p.170 « course de rhinocéros » « tousse » « souffles » p.178 « galoper »

Destinataire • animateur Expression corporelle : le son Ces jeux amusants permettent de découvrir un moyen d’expression important : la voix. Voici une façon d’exploiter ses aptitudes vocales et ses capacités créatrices en jouant avec le son et la voix. Chanter en chœur, à l’unisson, inventer ou imiter des sons, tout un travail de recherche vocale pour trouver une harmonie individuelle et collective. Le bruitage Le but • Bruiter oralement une scène mimée. L’exercice • Chacun

couleurs. Le mot ​“​tâla”​, quant à lui, désigne différentes structures rythmiques et métriques. Nous resterons ici sur le ​“râga​” pour dégager l’ensemble de ses techniques, plus précisément au niveau de la voix. Un rāga se développe toujours autour de trois parties : ​“alap”​, ​“jhor” et “jhala”​. ​“Alap”, c’est un soliste qui initie le ​“rāga” de manière très lente en présentant ses aspects. ​“Jhor” est dans la continuité

nordiques. Il reste quelques vases grecs qui racontent les aventures d'Ulysse : sur ceux qui sont antérieurs au IIIe siècle av. J.-C., les sirènes apparaissent comme des oiseaux à tête de femme. Par la suite, elles acquièrent des bras, puis une poitrine humaine, attributs peut-être seulement esthétiques, même s'ils constituent des éléments supplémentaires de séduction, puisque les sirènes sont désormais représentées jouant d'un instrument, flûte ou cithare. Ainsi, elles s'humanisent au cours de

me suis juste perdu pour que se soit toi qui me retrouve. Je t'aime un peu plus chaque jours mon amour. Et tu sais, il y a un "boum boum dans ma poitrine, et quand tu es là, c'est bizarre. Tu sais ce que j'aime chez toi ? Et bah je vais te le dire : J'aime ta façon d'écrire. J'aime ta façon de marché (même que tu ressemble à Kasimodo IZZY). J'aime ta voix. J'aime ta façon de t'exprimer. J'aime ton regard. J'aime ton sourire, surtout ton rire. J'aime ton visage. J'aime tes cheveux. J'aime quand tu

courir vers elle, et de l’énorme cadavre allongé sur ses jambes immobiles. L’un d’eux, avec cruauté, lança un monstrueux coup de pied dans l’enveloppe du défunt cheval afin de vérifier s’il était mort. Un long filet de sang jaillit de la plaie de la poitrine de l’équidé. Celui ci atterri sur le visage de Louise qui était lui-même gonflé par les pleurs. De plus, ayant touché un nerf, l’antérieur d’Echo se souleva brutalement. Celui-ci cogna la tête de Louise de plein fouet. C’en était trop pour la cavalière

mois de mai, qui rit dans les branches lascives, Et tous les billets doux de son amour bavard, Avaient laissé leur trace aux pages du buvard ! Les oiseaux dans les bois, molles voix étouffées, Chantent des triolets et des rondeaux aux fées ; Tout semble confier à l’ombre un doux secret ; Tout aime, et tout l’avoue à voix basse ; on dirait Qu’au nord, au sud brûlant, au couchant, à l’aurore, La haie en fleur, le lierre et la source sonore, Les monts, les champs, les lacs et les chênes mouvants

Toi quand tu seras morte Tu seras belle et toujours désirable. Je serai mort déjà, enclos tout entier en ton corps immortel, en ton image étonnante présente à jamais parmi les merveilles perpétuelles de la vie et de l’éternité, mais si je vis Ta voix et son accent, ton regard et ses rayons, L’odeur de toi et celle de tes cheveux et beaucoup d’autres choses encore vivront en moi, Et moi qui ne suis ni Ronsard ni Baudelaire, Moi qui suis Robert Desnos et qui pour t’avoir connue et aimée, Les

se venger. En pleine mêlée, maintenant, il frappe comme un baron. Il tranche les épieux et les boucliers et les pieds et les poings et les selles et les poitrines. Qui l’aurait vu démembrer les Sarrasins, abattre un mort sur un autre, pourrait se souvenir d’un bon vassal. Il n’oublie pas le cri de guerre de Charles : « Monjoie ! », crie-t-il, à voix haute et claire. Il appelle Roland, son ami et son pair : « Sire compagnon, venez donc près de moi : à grande douleur nous serons aujourd’hui séparés. »