Voix de poitrine

Et, toujours, nous tenaient enfermés dans leur ombre ! - Citoyen ! citoyen ! c'était le passé sombre Qui croulait, qui râlait, quand nous prîmes la tour ! Nous avions quelque chose au coeur comme l'amour. Nous avions embrassé nos fils sur nos poitrines. Et, comme des chevaux, en soufflant des narines Nous allions, fiers et forts, et ça nous battait là... Nous marchions au soleil, front haut, - comme cela, - Dans Paris ! On venait devant nos vestes sales. Enfin ! Nous nous sentions Hommes

anadyomène" est par définition, une œuvre d'art, une statue que confirme les mot "Clara vénus", sensé représenter un idéal et reconnu par tous comme celle figurant ci-dessus. Les Réparties de Nina Poème : Lui - Ta poitrine sur ma poitrine,      Hein ? nous irions, Ayant de l'air plein la narine,      Aux frais rayons Du bon matin bleu, qui vous baigne      Du vin de jour ?... Quand tout le bois frissonnant saigne      Muet d'amour De chaque branche, gouttes vertes,      Des

desserrer les lèvres : « Réjouis-toi, ô mère ! ton fils sera un saint ! » Elle allait crier ; mais, glissant sur les rais de la lune, il s'éleva dans l'air doucement, puis disparut. Les chants du banquet éclatèrent plus fort. Elle entendit les voix des anges ; et sa tête retomba sur l'oreiller, que dominait un os de martyr dans un cadre d'escarboucles. Le lendemain, tous les serviteurs interrogés déclarèrent qu'ils n'avaient pas vu d'ermite. Songe ou réalité, cela devait être une communication

construit sa nouvelle maison. * Ligne 80 à 250 Lors d’un dîner chez le professeur M., il fait la connaissance de Krespel. Le professeur raconte à son hôte la venue, quelques années auparavant de Krespel en compagnie d’une jeune femme, Antonie dont la voix est restée une légende. Mais le conseiller l’empêche de chanter. * Ligne 251 à 392 Invité chez Krespel, Théodore rencontre pour la première fois Antonie. Il se persuade alors que la jeune fille est tyrannisée par Krespel et décide de la sauver

Ruy Blas Acte II, scène 2 Victor Hugo 1. Une femme troublée par ses sentiments Dans cette scène on peut voir la reine seule évoquant ses sentiments à haute voix. L’acte II agit comme une sorte de parenthèse amoureuse. Cette scène est une scène lyrique/romanesque dans laquelle on retrouve le motif de la lettre, le motif de l’inconnu, avec de plus longs monologues. Mais on peut aussi voir le côté pathétique de la scène lorsque la reine exprime sa souffrance, sa solitude : « Abandonnée de

la dispute entre Doniphan et Briant. Doniphan accuse Briant d’avoir triché au cricket en depassant la ligne de deux pied Le 10 juin apres midi il ya eu une election du nouveau chef . Les condidats etaient : * Briant : 8 voix * Doniphan :3 voix * Gordon : 1 voix CHAPITRE 8 06 Août le vent retomba vers l’Ouest 25 Août vers onze heure les enfants saufs Iverson, Dole, et Costar quittent French Den pour aller chercher un endroit pour faire désobéit du patinage . Briant donne les

aussi ce magnifique recueil hallucinatoire : J'ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité. Est-il encore temps d'atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m'est chère? J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours et des années, je deviendrais une ombre sans

dans Poésies d’Arthur Rimbaud « Barbara » et « Le discours sur la paix », dans Paroles de Jacques Prévert « Le Déserteur » de Boris Vian « Gabriel Péri », dans Au Rendez-vous allemand de Paul Éluard « Les fusillés de Châteaubriant », dans Pleine poitrine de René-Guy Cadou « Ce cœur qui haïssait la guerre … », dans Destinée arbitraire de Robert Desnos « Strophes pour se souvenir », dans Le Roman inachevé de Louis Aragon « La concubine de l’hémoglobine » de M.C. Solaar DE TEXTES : Extrait de

la lettre serrée contre la poitrine. Je rentrai dans ma chambre. Lorsque je ressortis deux heures plus tard, Madame était toujours au même endroit mais l’ombre avait gagné la terrasse. Elle était étendue sur le dos, immobile, comme morte. Les quatre ou cinq feuillets de la lettre coincés sous une pierre bruissaient doucement dans la brise qui s’était levée. Lisez ! me dit-elle, lisez tout. Elle était clouée au sol, tétanisée. Lisez ! cria-t-elle violemment. Sa voix devenait hystérique, ses yeux

gros camion ne t'écrasera pas, c'est un mirage... Tu peux passer, passe... Mais non, les pâquerettes ne chantent pas, même si elles sont folles. J'absorbe leurs voix ; elles, je les efface !... Ne prête pas l'oreille au murmure du ruisseau. Objectivement, on ne l'entend pas. C'est aussi un faux ruisseau, c'est une fausse voix... Fausses voix, taisez-vous. (Au Roi.) Plus personne ne t'appelle. Sens, une dernière fois, cette fleur et jette-la. Oublie son odeur. Tu n'as plus de parole. A qui pourrais-tu