Vol De Nuit Sur Le Bonheur

CITATIONS 1 —> Certitude Aucun bonheur n'est possible dans l'ignorance, la certitude seule fait la vie calme." Emile Zola "Ce n'est pas le doute qui rend fou : c'est la certitude." Friedrich Wilhelm Nietzsche "Ce que les hommes veulent en fait, ce n'est pas la connaissance, c'est la certitude." Bertrand Russell "C'est à ne pas penser que la pensée de l'homme s'use ; et c'est celui qui pense peu qui se prévaut de certitudes." John Steinbeck "C'est la certitude qu'ils tiennent la vérité

prochainement. Une nuit Don Carlos entre chez Dona Sol. Mais il surprend un rendez-vous entre Dona Sol et son amant, le bandit Hernani. Jaloux, il provoque un duel entre lui et Hernani. Le duel est interrompu par le retour de l’oncle, Don Ruy Gomez. Ce dernier, mécontent de trouver deux jeunes hommes dans la chambre de sa promise, s’énervent contre eux. Don Carlos avoue qu’il est le futur roi d’Espagne et use de tout son pouvoir pour apaiser l'oncle et protéger Hernani. La nuit suivante, le roi

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges il voudrait arrêter le temps Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, le lac est un témoin de ce qu’est passé Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi

dans la phrase, soit une préposition (comme), une locution (moins que ) ; un adjectif (semblable, pareilles, telles) ; ou un verbe ( ressemblait à , me comparais, faire songer à ). 2/ 1. Comparaison : taille / bonheur. Avec l’outil de comparaison « que ». L’auteur parle du bonheur éprouvé pendant son enfance, plus il grandissait plus il était heureux, mais il s’est heurté à la difficulté de la vie d’adulte, qui est pour lui une souffrance (étranglé). 2. Métaphore : Chevaux du temps. L’auteur

L'occasion lui fit trouver une finesse : Silvandre, me dit-elle, objet de mes amours, Afin de t'assurer que j'aimerai toujours, Ma main dessus cette eau t'en signe la promesse. Je crus tout aussitôt que ces divins serments, Commençant mon bonheur, finiraient mes tourments, Et qu'enfin je serais le plus heureux des hommes. Mais, ô pauvre innocent, de quoi faisais-je cas ? Étant dessus le sable elle écrivait sur l'onde, Afin que ses serments ne l'obligeassent pas. « Les adieux »,

personne du singulier à de nombreuses reprises dans ce texte. Comme au vers 31 « Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore / Va dissiper la nuit. ». Ensuite nous constatons que le texte présente des métaphores comme au vers 21 : « ô temps ! Suspends ton vol... ». On peut aussi retrouver le champ lexical du temps présent dans le texte comme au vers 21 « temps », ou encore au vers 2 « nuit », ou ensuite au vers 23 « rapide » , ou d'autres encore présents dans le texte. On peut voir

BOLTANSKI : C’est de l’art ; fiction ; évocation d’un camp ; interprétation ; réflexion intellectuelle ; émotions fabriquées (mémoires) ; le bruit ; l’odeur ; vêtements ; boîtes rouillées ; atmosphère fabriquée ; lumière du jour (ou des poteaux la nuit) ; sensibilité artistique ; gêne avec un degré plus faible ; cette œuvre n’est rien si nous n’allons pas la voir ; images moins touchantes ; psychique ; psychologique ; absence de présence avec des vêtements à la place des corps ; ordre (vêtements/désordre

Vapeur, non, une fleur qui éclose au matin, Vieillit sur le midi, puis au soir elle est morte. Une fleur, mais plustost un torrent mene-bruit Qui rencontre bien-tost le gouffre où il se plonge; Torrent, non, c'est plustost le songe d'une nuit, Un songe! Non vrayement, mais c'est l'ombre d'un songe. Encor l'ombre demeure un moment arresté, L'homme n'arreste rien en sa course legere; Le songe quelquesfois predit la vérité, Nostre vie est toujours trompeuse et mensongere.

LE SAVETIER ET LE FINANCIER de Jean de la Fonaine Fable ( récit court, divertissant, qui se conclue par une morale générale qu'il illustre) edité en 1888 qui traite comme beaucoup d'autres de la recherche du bonheur ,ici ses liens avec l'argent. En effet le savetier, pauvre, gagne sa vie au jour le jour , est gaie , alors que son voisin le riche financier est triste et souffre d'insomnie. Ce dernier va offrir de l'argent au savetier et tout va changer. Le récit est au service de la morale délivrée

sentiments à la façon des romantiques. Jaccottet est très proche de Lamartine par sa vision pessimiste du temps "Ô temps suspend ton vol" mais aussi très croyant faisant souvent référence à des termes religieux, liturgie, Cantique. Il y a beaucoup de pessimisme dans "la liturgie de l'année", cette suite de mouvements répétitifs reproduits années après années. La nuit qui connote le rêve mais aussi la mort dont il commence à prendre conscience le terrifie. L'inaction lui fait peur, son travail poétique