Volatilite Des Prix Agricoles

développement. Ils cumulent les handicaps d'une spécialisation sur quelques produits primaires et d'un endettement excessif souvent mal employé. 1) Des spécialisations Inadéquates Les PMA sont très spécialisés sur quelques produits primaires (agricoles et miniers) qui procurent l’essentiel des recettes d'exportation. Par exemple, le coton procure 75% de ses recettes d'exportation au Bénin et 50% au Mali. Les PMA sont très vulnérables aux variations des cours des produits qu'ils exportent. L'instabilité

politiques susceptibles de contenir et d’atténuer la contagion. Plusieurs interventions de la Banque centrale européenne (BCE) ont été motivées par la nécessité d’éviter la contagion, car cette dernière entrave notre capacité à maintenir la stabilité des prix dans la zone euro. Si j’ai choisi de consacrer cet article à la contagion, cela ne signifie pas pour autant que les autres sources de risque systémique sont moins présentes dans le contexte actuel d’instabilité. Bien au contraire, les importants déséquilibres

anonyme au capital de 1,8 milliard de FCFA. L`Etat est l`actionnaire majoritaire de la DSX avec 23% du capital réparti comme suit : Société nationale des investissements, 8% ; Caisse nationale de prévoyance sociale, 5% ; Caisse de stabilisation des prix des hydrocarbures, 5% ; Crédit foncier 5% ; le reste des 63,7% du capital est détenu par dix banques et des sociétés financières. Ces banques, établissements financiers et assurances sont à capitaux camerounais et étrangers. Et enfin 13% par des compagnies

incitation via le prix du carbone, et ce alors que les émissions qui progressent le plus en France font partie de ces émissions non couvertes. L’élargissement du système des quotas se heurterait rapidement à des limites techniques (émissions diffuses, sources mobiles) et de coût (nombre d’installations). Un système de projets domestiques aurait en revanche l’avantage de toucher les secteurs les plus sensibles et les plus diffus en matière d’émissions en leur envoyant un signal prix sur le carbone.

Néanmoins le fonds carbone LSF a mieux résisté à la crise. En 2008, il a réalisé une performance d’environ 20%. Le fonds à cette période a profité d’un contexte favorable, le prix des certificats à la revente était en moyenne à 25 euros la tonne. Notons que la rentabilité du fonds en 2011 pourrait être menacée si le prix des CER continue à chuter dans le quatrième trimestre de l’année. De plus, il est difficile de généraliser les résultats de notre étude aux autres fonds carbones car nous n’avons

qui consistaient à produire localement les biens de consommation finale qui, autrefois, provenaient de l’extérieur. Ces stratégies ne se sont pas limitées aux efforts de développement industriel mais se sont également intéressées au développement agricole afin de réduire la dépendance des économies africaines vis-à-vis des produits de rente et de renforcer la place des produits viviers. Ces stratégies de développement se sont traduites par un accroissement rapide des investissements et de l’emploi

naturelles), ne font que les détourner pour mieux les renforcer. L'intensité énergétique (IE) a tendance à croître dans tous les pays développés entre 1950 et 1970, date à partir de laquelle elle diminue très fortement sous l'impact du renchérissement du prix du pétrole (Villa, 1998, CEPII). Prendre comme angle d'analyse le régime d'accumulation fordiste conduit nécessairement à minimiser le rôle joué par le rapport à l'environnement. Cela n'explique toutefois pas le rôle prépondérant accordé au rapport

marocain est caractérisé par une forte présence de banques étrangères dans le capital des banques locales. Ainsi toutes les grandes banques privées du royaume comptent dans leur actionnariat des banques étrangères de premier ordre telles: le crédit agricole qui est l'actionnaire de référence pour le crédit du Maroc, la banque BNP-Paribas qui contrôle la BMCI. Et la société générale France qui est considérée comme la maison mère de la SGMB. 2. Présentation du crédit du Maroc Le CREDIT DU MAROC

semble davantage être une cause seconde de cette prospérité qu’une cause première. En effet, le commerce dépend surtout de l’habileté productive d’un pays, c’est-à-dire de sa capacité à produire un bien ou un service avec un meilleur rapport qualité-prix qu’un autre pays. Cette habileté productive est elle-même déterminée à long terme par les capacités d’organisation, le progrès technique et l’innovation, ainsi que par la démographie du pays en question. Un pays ou une entreprise ne peut pas décider

avec l’aide de conditions pluviométriques clémentes. (b) Le Maroc n’a pas profité de cette conjoncture favorable autant qu’il aurait dû le faire : nos voisins et concurrents directs ont quasiment tous crû à un meilleur rythme que le nôtre. (c) La volatilité de la croissance marocaine (même si elle s’est atténuée) demeure forte. (d) Le niveau des investissements directs étrangers s’est sensiblement amélioré. Ceux-ci restent néanmoins : a) concentrés dans quelques secteurs; b) peu représentatifs d’une