Volcan gris

« Des ciels gris de cristal. Un bizarre dessin de ponts, ceux-ci droits, ceux-là bombés, d'autres descendant ou obliquant en angles sur les premiers, et ces figures se renouvelant dans les autres circuits éclairés du canal, mais tous tellement longs et légers que les rives, chargées de dômes, s'abaissent et s'amoindrissent. Quelques-uns de ces ponts sont encore chargés de masures. D'autres soutiennent des mâts, des signaux, de frêles parapets. Des accords mineurs se croisent et filent, des cordes

luisantes. Au milieu se trouve une table ronde à dessus de marbre Sainte-Anne décorée de ce vase en porcelaine blanche ornée de filets d’or effacés à demi » maison extérieure + jardin « Cette maison jaune et moine, qui sentait le vert de gris du comptoir, avait des délices… » « La façade de la pension donne sur un jardinet. Le long de la façade, entre la maison et le jardinet, règne un cailloutis en cuvette, large d’une toise, devant lequel est une allée sablée, bordée de géraniums

'étais en mer , un soir d'hiver , j'entendais les mouettes et les goélands , quand tout à coup plus un bruit.Le ciel changea d'une couleur gris acier , la mer devenue noire me faisait frissoner par sa soudaine ressamblance au néant. Tout à coup , le comportement des oiseaux devint affolant , ils survolaient mon bateau d'un oeil noir et affligeant , et de temps en temps ils volaient si près de moi , voir même me foncaient dessus si violamment que c'était avec peine que j'arrivais à les esquiver tant

genoux, vieille peau ! Béatrice Appelez-moi le directeur, Appelez-moi le directeur !! (Sirène de police et lumière type gyrophare vers les spectateurs.) Scène 1 (Axelle, Sharon et Béatrice) (Décor de bureau dans un commissariat, meuble gris, chaise grise, un uniforme de policier suspendu, la photo encadrée du président, quelques cartes postales de vacances, une grande carte de France, une autre de Paris. Un téléphone, un ordinateur et un talkie, une lampe de bureau. Axelle est habillée

distraitement alors qu’elle pianotait des clefs informatiques devant elle. Mes yeux errèrent à travers le comptoir brun foncé, avec la ligne orange brillante sur les bords des années soixante-dix. Les murs et tapis avaient étés mis à jour dans le plus neutre gris, mais le comptoir attestait du décor original du bâtiment. « Hmmmm, » le murmure de Mme. Stanley était d’un ton plus haut que normal. Je lui jetais un coup d’œil, seulement à demi-intéressée, me demandant si c’était une araignée sur le bureau

du tableau et se détachent par le contraste qu’ils provoquent du fait de leur couleur gris clair sur un fond très sombre. L’absence presque totale de perspective accentue une impression de désordre. L'œil ne sait pas trop où s'arrêter, il est sollicité de toutes parts, des formes géométriques, des contrastes blancs et noirs violents s'entrechoquent et donnent une impression de chaos. Une multitude de plans gris perturbent la lecture de l'image. La composition forme un triangle, dont la base est le

constitue le toit de la partie rectangulaire : il s’évase en montant vers une grande terrasse solarium qui coiffe, elle, la partie rectangulaire. Le tout est peint d’une couleur de terre brun-rouge, qui tranche durement sur le bleu de la mer et le gris de la roche. L’escalier fait corps avec la maison il en est a la fois l’origine, le départ qui le relie a la terre et l’échappée vers le ciel, comme suggèrent sont élargissement progressif vers le haut. L’escalier fait la moitie de la maison en longueur

camionnette par deux hommes en uniforme bleu et blanc, des soldats… Carine se jette sur eux, sa bouche s’ouvre mais aucun son n’en sort, pourtant ses yeux criards parlent pour elle et je lis sur ces lèvres. Elle les supplie de lâcher son fils. Les yeux gris de Lucas son plein de larmes, je peine à garder la tête hors de l’eau et je me retiens au bord de la piscine, je tremble de tout mon corps. Tout ce qui se passe autour de moi me parait irréel. Comment ces hommes peuvent-ils faire ça ? Pourtant mon

lumière provient du fond du tableau, ce qui en évidence le drapeau et la femme. Les couleurs indiquent une harmonie entre couleur chaude, il y a peu de couleur froides, les couleurs dominantes sont le bleu, le blanc et le rouge quiémergent tous le gris et le marron du tableau .

terminer, les personnes "hiver" ont les cheveux foncés, les yeux clairs ou foncés. La femme hiver a soit un teint ivoire, pêche, porcelaine soit un teint mat, olive. Ses cheveux sont châtains foncés, bruns, noirs bleutés, gris ou blancs et ses yeux sont marrons, bleu-vert, gris-bleu. Tout comme la femme été, elle doit se maquiller avec des tons froids à base d'argenté et de bleuté et choisir des bijoux en argent, en or blanc, avec des diamants ou des rubis. Elle peut se permettre de porter des coloris