Volcanisme

mobylette, les installations de chauffage et les installations industrielles : dioxydes de carbone, de soufre et d’azote, poussières, etc. il existe deux types de sources ; anthropiques : émissions des chaudières, moteurs, usines…, et naturelles : volcanisme, émissions naturelles de méthane. Des pics de pollution atmosphérique ont souvent lieu en été. Les principaux polluants atmosphériques sont les particules fines, le dioxyde de soufre (SO2), l’ozone, les oxydes d’azote (NO et NO2), les composés organiques

tertiaire et au quaternaire un volcanisme intense sur la bordure nord du plateau. D’immenses épanchements de basalte issus de laves très fluides ont recouvert presque sans interruption le socle ancien jusqu’au fossé de la Mbéré, tandis que les éruptions ont édifié d’imposants massifs volcaniques, tel : - le tchabal Gangdaba (1960m), - le tchabal Ngangha (1923m), - le tchabal Mbabo (2460m). Tout ailleurs, le paysage de la zone d’étude porte l’empreinte du volcanisme : anciennes coulées de laves

réservoirs (atmosphère, biosphère, hydrosphère et lithosphère). La circulation du carbone entre les réservoirs se fait par divers mécanismes biologiques et physico-chimiques naturels (photosynthèse, respiration, dissolution, dégazage, fossilisation, volcanisme et altération). Les combustibles fossiles (charbons, pétrole, gaz,...) représentent de l’énergie solaire fossilisée très concentrée (1L de pétrole = 23 t. de MO transformée), leur combustion par l’Homme libère instantanément du CO2 dans l’atmosphère

de soufre, gaz carbonique, azote, par exemple), des cendres. L’étude des volcans est la volcanologie ou vulcanologie. L’activité volcanique est l’une des manifestations de l’activité interne de la Terre due à l’énergie emmagasinée en son sein (V. volcanisme) wikipédia |   | 4 | « Deux hommes parurent. L’un venait de la Bastille, l’autre du Jardin des Plantes. Le plus grand, vêtu de toile, marchait le chapeau en arrière, le gilet déboutonné et sa cravate à la main. Le plus petit, dont le corps disparaissait

: -450 millions d'années : la baisse du niveau des océans réduit le nombre d'espèces vivantes de 60% -350 millions d'années : diverses causes d'extinction réduisent le nombre d'espèces vivantes de 60% -250 millions d'années : le fort volcanisme réduit le nombre d'espèces vivantes de 90% -195 millions d'années : diverses cause d'extinction réduisent le nombre d'espèces vivantes de 20% -65 millions d'années : une météorite ou l'activité volcanique réduit le nombre d'espèces vivantes

L’économie rurale repose sur l’agriculture, l’élevage, la pêche. La plupart des matières premières proviennent des campagnes. Et la terre campanienne, dans l’Antiquité comme aujourd’hui, est très fertile grâce aux oligo-éléments apportés par le volcanisme. L’agriculture fournit les céréales, les fruits et les légumes. L’élevage apporte la viande, les produits laitiers et la laine. La mer toute proche offre poissons, fruits de mer et sel. L’économie urbaine comprend l’artisanat et la transformation

Liens utiles sentheim.geologie.free.fr www.musee.ensmp.fr/mineral/catalogue.html www.brgm.fr www.geocities.com/CollegePark/Classroom/2937/Cycle_des_roches.html www.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/intro.pt/planete_terre.html svt.ac-bordeaux.fr/Volcanisme/classification_roches.htm

rejetés par des véhicules à moteur, des installations de chauffages etc. Pour faire claire on distingue deux types de pollution atmosphériques: anthropiques causé par l'homme ( ex: les apareils de cuisine, moteurs, usines...) naturelles (ex: volcanisme, érosion, éolienne etc) Il y a donc les véhicules à moteur dont on a déjà parlé qui rejète du gaz carbonique, du monoxyde de carbone, des oxydes d'azotes... Les industries avec par exemple la fabrication d'appareils domestiques libèrent des substances

l'épandage de lisiers -20% de la circulation routière -15% de l'épandage de boues et compost C)Les principales origines On parle : -de pollution naturelle: elle existait bien avant que l'homme ne transforme son environnement. C'est le volcanisme , les incendies et l'érosion(d'origine hydrique ou éolienne)mais aussi la présence de métaux lourds due au fond géochimique dont ils sont issus.(par exemple l'arsenic au Bangladesh). Mais cette pollution,si il faut la citer, est minime comparée

l'agglomération. Mais là n'est pas le seul problème. Le caractère "insoutenable" de la ville de Mexico remonte à loin et il est multiforme Il est difficile de trouver un site plus dangereux (inondations, glissements de terrain, effondrements du sol, volcanisme, séismes). Il s'agit donc d'un des endroits les plus insoutenables et les plus exposés du globe, soumis à une combinaison de risques dits naturels, de risques technologiques souvent mal maîtrisés dus à des industries lourdes, de nuisances, de cumul